samedi 2 août 2008

Far breton aux pruneaux

Cette semaine, le thème du souper était la cuisine bretonne !! J'étais en charge du dessert, et j'ai opté pour le classique des classiques, le far breton aux pruneaux. C'est un dessert frais et très léger, qui ressemble beaucoup à la tarte impossible. Il a semblé être bien apprécié, puisqu'il n'en restait plus à la fin du souper !

La recette provient du Journal des femmes.

Malheureusement, Jasmine n'a pas eu le temps de confectionner un chapeau breton pour l'occasion. On a bien pensé patenter une coiffe bretonne en dentelle avec un vieux napperon pour Sébastien, mais nous ne disposions pas du matériel nécessaire. Vous pouvez toutefois l'imaginer avec une coiffe dentelée de type "bergère" avec de grands rubans qui volent au vent derrière sa tête et sa typique face de Zoolander... Moi ça me fait bien rire :)

4-6 portions

2 1/4 tasses de lait
3 oeufs
15 pruneaux séchés dénoyautés
45g de sucre
3 c. soupe bombées de farine
20g de beurre salé
1 c. soupe de rhum
1 gousse de vanille

Chauffer le lait et la gousse de vanille fendue en deux à feu moyen-doux jusqu'à frémissement. Retirer du feu. Gratter l'intérieur des gousses de vanille et mettre les graines et les gousses dans le lait. Laisser tiédir.

Beurrer un plat à gratin contenant environ 1L. Déposer les pruneaux au fond du plat.

Dans un petit bol, mélanger la farine et le sucre. Réserver.

Ôter la gousse de vanille du lait et y ajouter les oeufs. Fouetter puis incorporer le mélange de farine en fouettant toujours.

Fondre le beurre et le mélanger avec le rhum. Ajouter au mélange de base.

Déposer le tout dans le plat beurré, sur les pruneaux. Cuire au four à 400°F pendant environ 30 minutes.

Réfrigérer quelques heures. Servir froid (avec un peu de sirop d'érable c'est délicieux, quoique pas très breton...).

1 commentaire:

  1. Oui, il était hyper bon! (J'en aurais bien repris, mais il n'y en avait plus...) J'adore les desserts aux oeufs, que voulez-vous. C'est simple, mais c'est un délice!

    Je me suis bien marrée en lisant l'histoire de la coiffe bergère. Je l'imaginais en train de courrir dans un champs en tenant sa jupe d'une main et sa coiffe de l'autre (ah, j'avais oublié de dire, dans mon histoire à moi il porte une robe... hi hi hi).

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