Quand j'ai acheté mon livre de Peter Greweling, cette recette m'a frappée immédiatement. C'est beau et ça a l'air bien cochon. Ça m'aura pris un an avant de l'essayer. Oh boy... Pas de surprise, c'est un pur délice. Ai-je besoin d'en dire plus ?
Au niveau réalisation, je vous conseillerais de dépoussiérer les pacanes hachés (si vous les hachez vous-mêmes) car s'il y a trop de poussière, c'est elle qui colle au chocolat, laissant les beaux morceaux de noix derrière. En fait, il est resté le 3/4 des noix sur mon comptoir après avoir brisé le croquant en morceaux !
Rendement environ 2 lbs... si les pacanes tiennent sur le chocolat !
225g de beurre salé
200g de sucre
60ml d'eau
1/2 cuillère à thé de lécithine de soya (facultatif)
Chocolat noir tempéré en quantité suffisante (3/4 lbs environ)
225g de pacanes
Dans un chaudron, fondre le beurre avec le sucre, la lécithine et l'eau. Amener à 146°C. Ne pas remuer tant que le sucre n'est pas totalement fondu ! Cela entraînerait une cristallisation du produit fini, ce qui est non désirable. Il n'est pas nécessaire de brasser en continu, il s'agit simplement d'empêcher la masse de coller au fond du chaudron. Retirer du feu. Verser la préparation sur un tapis de silicone ou une plaque chemisée d'un papier parchemin et étaler. Laisser figer.
NOTE : On peut retirer du feu au-dessus de 146°C (disons 150-155°C) mais pas plus sinon il y a cristallisation et séparation de la masse.
Pendant ce temps, griller les noix à 350°F jusqu'à ce qu'elles dégagent leur odeur (environ 10 minutes). Laisser refroidir. Hacher. Tamiser pour éliminer la poussière de noix.
Lorsque bien figé, essuyer chaque côté du croquant avec un essuie-tout pour enlever le surplus de gras si nécessaire. Étaler la moitié du chocolat tempéré sur un côté avec une spatule. Avant que le chocolat fige, saupoudrer de pacanes. Bien presser. Laisser prendre le chocolat. Répéter de l'autre côté.
Casser en morceaux. Conserver dans un contenant hermétique.
vendredi 23 décembre 2011
mercredi 21 décembre 2011
Chocolats 2011
Une petite pause dans la fabrication de mes chocos pour vous présenter la collection 2011 ! Cette année, j'ai expérimenté avec les couleurs et les textures. Alors dans l'ordre "dactylo", soit de gauche à droite en haut, puis en bas :
Ganache framboise, Ganache café, Caramel au beurre salé et aux pacanes, Truffe noisette pralinée et miel, Truffe Chaï, Caramel au cidre de glace Neige, Ganache caramel (au lieu de la crème chaude, on verse un caramel à la crème chaud sur le choco pour faire la ganache... !!!!), Nougat mou au chocolat, Ganache mangue, Ganache fraise balsamique, Carré coco-arachide, Truffe pain d'épices.
Ganache framboise, Ganache café, Caramel au beurre salé et aux pacanes, Truffe noisette pralinée et miel, Truffe Chaï, Caramel au cidre de glace Neige, Ganache caramel (au lieu de la crème chaude, on verse un caramel à la crème chaud sur le choco pour faire la ganache... !!!!), Nougat mou au chocolat, Ganache mangue, Ganache fraise balsamique, Carré coco-arachide, Truffe pain d'épices.
mardi 20 décembre 2011
Gaufres au babeurre et pain d'épice
Il me restait du babeurre et je ne sais jamais quoi en faire. En faisant des recherches, je me suis rendue compte qu'il n'existe pas tant que ça de recette avec cet ingrédients ! Généralement, on trouve des pancakes, gaufres, muffins, gâteaux, scones et du poulet frit. Comme j'avais déjà fait les pancakes, les gâteaux et le poulet dans le passé, j'ai décidé d'opter ou bien pour les gaufres, ou bien pour les scones. La paresse l'a emportée encore une fois : pas le goût de découper de la pâte à l'emporte-pièce. Donc j'ai opté pour les gaufres. En fait, j'ai opté pour la recette la plus simple possible (même pas d'oeufs dedans, donc pas besoin de monter les blancs en neige !) trouvée chez The Nesting Project. Je suis un bel exemple de quelqu'un qui recherche la facilité, ça c'est certain !
Ces gaufres sont très différentes de ce que je suis habituée de manger. Elles sont hyper croustillantes à l'extérieur et ultra moelleuses-fondantes à l'intérieur avec une saveur acidulée très distincte (ça goûte un peu la pomme acidulée... mais il n'y a pas de fruits dans la recette, c'est l'action du babeurre !). C'est vraiment surprenant, nouveau et sans contredit à essayer (et refaire !).
Bon, avec la préparation des chocos ces temps-ci, pas eu le temps de prendre de photos. Vous allez devoir les essayer pour les voir de vos propres yeux !
12 gaufres
2 tasses de farine
3 cuillères à soupe de sucre
Une pincée de sel
1 cuillère à soupe d'épices à pain d'épice*
2 tasses de babeurre
1/4 tasse de beurre fondu
* Pour réaliser mon mélange d'épices moulus, j'utilise 50% gingembre, 30% cannelle, 10% muscade, 5% girofle et 5% anis étoilé.
Mélanger la farine, le sucre, les épices et le sel. Incorporer le babeurre en fouettant, puis le beurre fondu.
Chauffer le gaufrier. Badigeonner les grilles de beurre puis cuire les gaufres 1/3 tasse à la fois (ou selon la taille de votre gaufrier).
Ces gaufres sont très différentes de ce que je suis habituée de manger. Elles sont hyper croustillantes à l'extérieur et ultra moelleuses-fondantes à l'intérieur avec une saveur acidulée très distincte (ça goûte un peu la pomme acidulée... mais il n'y a pas de fruits dans la recette, c'est l'action du babeurre !). C'est vraiment surprenant, nouveau et sans contredit à essayer (et refaire !).
Bon, avec la préparation des chocos ces temps-ci, pas eu le temps de prendre de photos. Vous allez devoir les essayer pour les voir de vos propres yeux !
12 gaufres
2 tasses de farine
3 cuillères à soupe de sucre
Une pincée de sel
1 cuillère à soupe d'épices à pain d'épice*
2 tasses de babeurre
1/4 tasse de beurre fondu
* Pour réaliser mon mélange d'épices moulus, j'utilise 50% gingembre, 30% cannelle, 10% muscade, 5% girofle et 5% anis étoilé.
Mélanger la farine, le sucre, les épices et le sel. Incorporer le babeurre en fouettant, puis le beurre fondu.
Chauffer le gaufrier. Badigeonner les grilles de beurre puis cuire les gaufres 1/3 tasse à la fois (ou selon la taille de votre gaufrier).
lundi 12 décembre 2011
Mais que font les chats le jour ?
Si vous avez des chats, vous aurez sûrement remarqué qu'ils ont une routine. Les miens ont calqué leur routine sur la mienne. Ils dorment quand je dors, ils se lèvent quand je me lève, ils m'accueillent au retour du travail. Sauf qu'au lieu de travailler toute la journée... ils dorment !
C'est rare que je passe une journée entière chez moi, même durant le weekend. En fin de semaine, j'ai fait du chocolat les deux jours et j'ai pu observer leur routine. Pareille les deux jours. Lever avec moi vers 7h30. Ils jouent jusqu'à environ 11h et tout à coup, ils disparaissent tous en même temps pour ne réapparaître que vers 17h (heure à laquelle je reviens habituellement du travail).
Mais où passent-ils donc leur journée ???
C'est simple... voyez par vous-mêmes !
C'est rare que je passe une journée entière chez moi, même durant le weekend. En fin de semaine, j'ai fait du chocolat les deux jours et j'ai pu observer leur routine. Pareille les deux jours. Lever avec moi vers 7h30. Ils jouent jusqu'à environ 11h et tout à coup, ils disparaissent tous en même temps pour ne réapparaître que vers 17h (heure à laquelle je reviens habituellement du travail).
Mais où passent-ils donc leur journée ???
C'est simple... voyez par vous-mêmes !
La bande de chats avec leurs petits yeux endormis... (sauf Gros Chat, il a toujours ses grands yeux cons). Mais où est Clipi ?
samedi 10 décembre 2011
David's tea
Depuis environ un an, j'ai découvert la boutique David's tea et j'ai eu l'occasion de goûter plusieurs de leurs thés. Il faut dire que c'est la folie le thé ces derniers temps et David's tea sait très bien exploiter ce créneau en créant des collections de thés (certaines saveurs étant saisonnières) avec des saveurs plutôt originales. Je dois avouer que je suis moi-même assez puriste en matière de thé et que j'ai hésité devant cette boutique. Je préfère généralement les classiques (vert, oolong, noir, etc.). Je snobbe généralement les thés en sachet d'épicerie et de resto sauf quelques exceptions. Pour chez moi, je n'achète que du thé en feuilles dans des boutiques spécialisées. (Je vous l'ai déjà dit, je suis une snob du thé mais je m'assume !!)
Malgré donc mon purisme, j'ai tenté différents produits chez David's tea et j'ai été agréablement surprise, notamment par leur gamme de thé chaïs. Je reste encore sur ma faim sur les thés arômatisés à plein de trucs (fruits, noix, etc.). Je trouve qu'ils sentent bons mais qu'ils ne goûtent pas grand chose... et parfois même rien du tout ! Étant donné l'attrait des gens pour cette boutique et la panoplie de produits offerts, je vous présente donc mes critiques des thés que j'ai eu la chance de goûter.
Vous pouvez vous procurer les thés en magasin (Québec, Sherbrooke, Laval, Repentigny, Montréal, Trois-Rivières, St-Bruno pour ne nommer que ceux-là) ou via la boutique web, livré directement chez vous (en deux jours la dernière fois que j'ai commandé) avec en prime, 3 petits échantillons de thé gratuits.
Thé noir
Chaï au chili chocolaté. C'est sans conteste mon plus grand coup de coeur en matière de thé au cours des dernières années. Un mélange de thé noir, chili, poivre rouge et chocolat. Malheureusement, je n'ai jamais trouvé que ce thé avait le piquant du chili (j'aurais bien aimé !) mais la saveur est tout à fait exquise. À servir avec un peu de sucre et de lait. Attention, il fait partie de la collection d'hiver, donc disponible seulement de novembre à mars. Il semble revenir d'année en année. Pour ma part, je fais une méga réserve en mars pour passer à travers l'été. Je le bois chaud ou froid.
Chaï citrouillé. Ce chaï faisant partie de la collection d'automne 2011 est très réconfortant avec ses notes de caramel et d'épices. Les morceaux de citrouille dans le thé sont plus décoratifs qu'autre chose car on ne les goûte pas. Parfait pour les soirs d'automne lorsque le froid commence à s'installer.
Chaï de Saïgon biologique. Un thé chaï bien épicé aux arômes de cannelle très présents, presque piquant. Il contient aussi d'autres épices mais c'est réellement la cannelle qui vole la vedette. Lors de ma première dégustation, il ne m'avait pas impressionnée, mais à force d'en boire, j'ai fini par m'en racheter un autre gros pot. Il crée une dépendance !
Le Darjeeling de David. Un thé noir classique excellent au goût riche. Pas besoin d'ajouter quoique ce soit à cette infusion. Je le bois nature, les soirs où j'ai envie d'un thé passe-partout. Un must à avoir chez soi.
Lisez sur mes lèvres. Avis aux fans d'After Eight : ce thé est pour vous ! Un excellent thé aux saveurs de menthe et de chocolat, parfait en digestif et presque un dessert quand on ajoute du sucre et du lait. Une belle découverte. À boire en tout temps pour se faire plaisir.
Thé vert
Sencha du Japon biologique. Un excellent thé vert vivifiant, un classique qu'on se doit d'avoir chez soi. Attention toutefois lors de l'infusion, bien respecter la température inscrite sur le contenant. Si vous l'infusez avec de l'eau bouillante, vous allez le brûler et il aura une saveur amère. C'est un des thés verts que j'utilise pour faire du thé marocain à la menthe (ajouter un bouquet de menthe lors de l'infusion et servir avec beaucoup de sucre).
Tarte aux pommes de Maman. C'est rare que je dis ça, mais je ne recommande pas ce thé. Malgré toutes ses bonnes intentions, il contient des arômes artificiels de pomme verte qui tombent rapidement sur le coeur. Après 1/2 tasse, je l'ai jeté. Pas capable les arômes artificiels de fruits. Heureusement que je l'avais reçu en échantillon seulement. Ce thé fait partie de la collection d'automne 2011.
Tisane
Noix magiques. Cette tisane est parmi les meilleurs vendeurs chez David's tea. Pour ma part, je ne comprends pas l'engouement. Il n'y a aucun thé ni aucune herbe dans ce mélange. Seulement des noix, des pommes séchées, de la betterave séchée et de la cannelle. Bien sûr, ça sent hyper bon... mais ça ne goûte rien. J'ai dû laisser infuser 15 minutes pour obtenir une saveur, mais le thé était bien sûr devenu froid. Je n'en rachèterai pas.
Rooibos
Cabane à sucre. Je ne sais trop quoi penser de ce thé. Il sent terriblement bon, il goûte bon mais la saveur d'érable est artificielle (pas de produits de l'érable dans le mélange). J'ai essayé de le sucrer au sirop d'érable pour l'améliorer, mais on dirait que le mélange de vrai et faux érable est étrange... Un thé ok si on veut se sucrer le bec (il faut quand même ajouter du sucre) mais je n'en rachèterai pas.
Chaï au coco. Un chaï différent, avec une belle saveur de coco et un petit fond piquant pas désagréable du tout. Il est excellent avec du lait et du sucre, chaud ou froid. Un bon thé versatile. Je préfère toutefois les chaïs à base de thé noir.
Thé blanc
Crème au beurre. J'ai reçu un petit échantillon pour goûter ce thé. Il a une saveur légère. Il n'est pas mauvais, mais pas impressionnant non plus. Ce que je n'ai pas aimé : au lieu de sécher dans mon infuseur en métal, il a collé partout et ça a été difficile à nettoyer. Je juge donc qu'il ne vaut pas le travail qu'il m'a demandé. Ce thé fait partie de la collection d'automne 2011.
Malgré donc mon purisme, j'ai tenté différents produits chez David's tea et j'ai été agréablement surprise, notamment par leur gamme de thé chaïs. Je reste encore sur ma faim sur les thés arômatisés à plein de trucs (fruits, noix, etc.). Je trouve qu'ils sentent bons mais qu'ils ne goûtent pas grand chose... et parfois même rien du tout ! Étant donné l'attrait des gens pour cette boutique et la panoplie de produits offerts, je vous présente donc mes critiques des thés que j'ai eu la chance de goûter.
Vous pouvez vous procurer les thés en magasin (Québec, Sherbrooke, Laval, Repentigny, Montréal, Trois-Rivières, St-Bruno pour ne nommer que ceux-là) ou via la boutique web, livré directement chez vous (en deux jours la dernière fois que j'ai commandé) avec en prime, 3 petits échantillons de thé gratuits.
Thé noir
Chaï au chili chocolaté. C'est sans conteste mon plus grand coup de coeur en matière de thé au cours des dernières années. Un mélange de thé noir, chili, poivre rouge et chocolat. Malheureusement, je n'ai jamais trouvé que ce thé avait le piquant du chili (j'aurais bien aimé !) mais la saveur est tout à fait exquise. À servir avec un peu de sucre et de lait. Attention, il fait partie de la collection d'hiver, donc disponible seulement de novembre à mars. Il semble revenir d'année en année. Pour ma part, je fais une méga réserve en mars pour passer à travers l'été. Je le bois chaud ou froid.
Chaï citrouillé. Ce chaï faisant partie de la collection d'automne 2011 est très réconfortant avec ses notes de caramel et d'épices. Les morceaux de citrouille dans le thé sont plus décoratifs qu'autre chose car on ne les goûte pas. Parfait pour les soirs d'automne lorsque le froid commence à s'installer.
Chaï de Saïgon biologique. Un thé chaï bien épicé aux arômes de cannelle très présents, presque piquant. Il contient aussi d'autres épices mais c'est réellement la cannelle qui vole la vedette. Lors de ma première dégustation, il ne m'avait pas impressionnée, mais à force d'en boire, j'ai fini par m'en racheter un autre gros pot. Il crée une dépendance !
Le Darjeeling de David. Un thé noir classique excellent au goût riche. Pas besoin d'ajouter quoique ce soit à cette infusion. Je le bois nature, les soirs où j'ai envie d'un thé passe-partout. Un must à avoir chez soi.
Lisez sur mes lèvres. Avis aux fans d'After Eight : ce thé est pour vous ! Un excellent thé aux saveurs de menthe et de chocolat, parfait en digestif et presque un dessert quand on ajoute du sucre et du lait. Une belle découverte. À boire en tout temps pour se faire plaisir.
Thé vert
Sencha du Japon biologique. Un excellent thé vert vivifiant, un classique qu'on se doit d'avoir chez soi. Attention toutefois lors de l'infusion, bien respecter la température inscrite sur le contenant. Si vous l'infusez avec de l'eau bouillante, vous allez le brûler et il aura une saveur amère. C'est un des thés verts que j'utilise pour faire du thé marocain à la menthe (ajouter un bouquet de menthe lors de l'infusion et servir avec beaucoup de sucre).
Tarte aux pommes de Maman. C'est rare que je dis ça, mais je ne recommande pas ce thé. Malgré toutes ses bonnes intentions, il contient des arômes artificiels de pomme verte qui tombent rapidement sur le coeur. Après 1/2 tasse, je l'ai jeté. Pas capable les arômes artificiels de fruits. Heureusement que je l'avais reçu en échantillon seulement. Ce thé fait partie de la collection d'automne 2011.
Tisane
Noix magiques. Cette tisane est parmi les meilleurs vendeurs chez David's tea. Pour ma part, je ne comprends pas l'engouement. Il n'y a aucun thé ni aucune herbe dans ce mélange. Seulement des noix, des pommes séchées, de la betterave séchée et de la cannelle. Bien sûr, ça sent hyper bon... mais ça ne goûte rien. J'ai dû laisser infuser 15 minutes pour obtenir une saveur, mais le thé était bien sûr devenu froid. Je n'en rachèterai pas.
Rooibos
Cabane à sucre. Je ne sais trop quoi penser de ce thé. Il sent terriblement bon, il goûte bon mais la saveur d'érable est artificielle (pas de produits de l'érable dans le mélange). J'ai essayé de le sucrer au sirop d'érable pour l'améliorer, mais on dirait que le mélange de vrai et faux érable est étrange... Un thé ok si on veut se sucrer le bec (il faut quand même ajouter du sucre) mais je n'en rachèterai pas.
Chaï au coco. Un chaï différent, avec une belle saveur de coco et un petit fond piquant pas désagréable du tout. Il est excellent avec du lait et du sucre, chaud ou froid. Un bon thé versatile. Je préfère toutefois les chaïs à base de thé noir.
Thé blanc
Crème au beurre. J'ai reçu un petit échantillon pour goûter ce thé. Il a une saveur légère. Il n'est pas mauvais, mais pas impressionnant non plus. Ce que je n'ai pas aimé : au lieu de sécher dans mon infuseur en métal, il a collé partout et ça a été difficile à nettoyer. Je juge donc qu'il ne vaut pas le travail qu'il m'a demandé. Ce thé fait partie de la collection d'automne 2011.
jeudi 8 décembre 2011
Sata Sushi
Prix : autour de 15-20$ avant taxes
Décor : très bien
Quartier : Hochelaga-Maisonneuve
Type de cuisine : japonaise fusion
Adresse : 3349 rue Ontario Est
Tél. : 514-510-7282
Mercredi soir, je devais passer une nuit à l'hôtel pour assister à une conférence le lendemain dans le cadre de mon travail. Malheureusement, l'hôtel était situé sur Sherbrooke, juste à côté du stade olympique. C'est pas le meilleur coin pour les restos disons... Et j'avais envie de sushis pour souper. (Des vrais là, pas des Sushi Shop !!) En faisait des recherches, je suis tombée sur ce petit resto dans Hochelaga-Maisonneuve : Sata Sushi. Les critiques étaient unanimes : un des meilleurs restos de sushis à Montréal. Je serais folle de m'en priver !
D'abord le décor est vraiment super. Il est fait d'objets recyclés dont un superbe cheval de carroussel à l'entrée et ce qui ressemble à de grandes planches de grange vernies pour les murs. Par contre, l'endroit est très petit (pas plus de 30 places) et les tables sont très serrées. Malgré que nous étions un mercredi soir, c'était plein et une réservation n'aurait pas fait de tort. Le weekend, je vous conseille vivement de réserver.
Niveau bouffe, c'est vraiment excellent. Il faut absolument essayer les makis gratinés (au saumon ou au thon - nous avons choisi le thon), une spécialité de la maison. Ce sont des makis sur lesquels on dépose un tartare de poisson qui est gratiné à la torche. Pas de fromage ici, seulement un mi-cuit totalement délectable qui fond en bouche. Je vous recommande aussi le maki Coco composé notamment de poulet et de noix de coco. Étonnant et complètement délicieux. Les cocktails sont aussi intéressants, particulièrement ceux à base de saké (saké avec litchi pour moi). Nous ne nous sommes pas rendu au dessert, on a mangé trop de sushis !
Bref, bonne bouffe, bel endroit, excellent service, abordable et stationnement facile en plus. Ah oui, et si vous n'aimez pas les algues, le poisson cru ou certains autres ingrédients, le chef se fait un plaisir de se plier à tous vos désirs et de modifier tout ce que vous voulez dans vos sushis. Vous n'avez aucune raison de ne pas y aller !
Décor : très bien
Quartier : Hochelaga-Maisonneuve
Type de cuisine : japonaise fusion
Adresse : 3349 rue Ontario Est
Tél. : 514-510-7282
Mercredi soir, je devais passer une nuit à l'hôtel pour assister à une conférence le lendemain dans le cadre de mon travail. Malheureusement, l'hôtel était situé sur Sherbrooke, juste à côté du stade olympique. C'est pas le meilleur coin pour les restos disons... Et j'avais envie de sushis pour souper. (Des vrais là, pas des Sushi Shop !!) En faisait des recherches, je suis tombée sur ce petit resto dans Hochelaga-Maisonneuve : Sata Sushi. Les critiques étaient unanimes : un des meilleurs restos de sushis à Montréal. Je serais folle de m'en priver !
D'abord le décor est vraiment super. Il est fait d'objets recyclés dont un superbe cheval de carroussel à l'entrée et ce qui ressemble à de grandes planches de grange vernies pour les murs. Par contre, l'endroit est très petit (pas plus de 30 places) et les tables sont très serrées. Malgré que nous étions un mercredi soir, c'était plein et une réservation n'aurait pas fait de tort. Le weekend, je vous conseille vivement de réserver.
Niveau bouffe, c'est vraiment excellent. Il faut absolument essayer les makis gratinés (au saumon ou au thon - nous avons choisi le thon), une spécialité de la maison. Ce sont des makis sur lesquels on dépose un tartare de poisson qui est gratiné à la torche. Pas de fromage ici, seulement un mi-cuit totalement délectable qui fond en bouche. Je vous recommande aussi le maki Coco composé notamment de poulet et de noix de coco. Étonnant et complètement délicieux. Les cocktails sont aussi intéressants, particulièrement ceux à base de saké (saké avec litchi pour moi). Nous ne nous sommes pas rendu au dessert, on a mangé trop de sushis !
Bref, bonne bouffe, bel endroit, excellent service, abordable et stationnement facile en plus. Ah oui, et si vous n'aimez pas les algues, le poisson cru ou certains autres ingrédients, le chef se fait un plaisir de se plier à tous vos désirs et de modifier tout ce que vous voulez dans vos sushis. Vous n'avez aucune raison de ne pas y aller !
dimanche 4 décembre 2011
Gâteau au chocolat au lait, caramel et praliné noisette
Ce gâteau, quand je l'ai vu chez Lili, j'ai su que je devais trouver une occasion pour le faire. Ça n'a pris que quelques semaines avant d'une amie propose de faire un souper. Évidemment, moi de m'exclamer "SHOTGUN SUR LE DESSERT !". (Bon c'est pas ce que j'ai dit, mais j'aime bien romancer mes aventures, hihihi !) En général, personne ne se plaint quand c'est moi qui fait le dessert et comme j'en cuisine rarement pour moi, je profite des occasions entre amis pour faire des trucs complètement décadents.
Je me suis donc attelée à une journée entière de travail pour la réalisation de ce gâteau. Et honnêtement, la seule chose qui a bien été est la fabrication du praliné !!! Donc, le matin, je prépare le gâteau. La pâte est belle, très fluffy, et remplit pas mal le moule. Je me dis que c'est pas grave, ça va lever à la cuisson. ERREUR !! Ce gâteau reste très plat à la cuisson (quoique ultra moelleux), alors il y a de la pâte qui a coulé partout sur les grilles et dans le fond du four. Bravo championne. Ensuite je fais la garniture au caramel. Malgré que la crème était quasiment bouillante, la cassonnade a figé en partie quand je l'ai versée dans le chaudron. J'ai dû brasser très longtemps pour la faire refondre. Ensuite, lors de l'ajout de la gélatine, celle-ci a granulé... J'ai dû passer le mélange au pied mélangeur pour défaire les petites granules (comme si ça ne salissait pas déjà assez de vaisselle cette recette, hihihi !!). Ensuite, ma crème au beurre a mottoné et commençait à se séparer (malgré que ma meringue était totalement température pièce). Je croyais l'avoir ratée... jusqu'à ce que j'ajoute le chocolat dedans, ça a stabilisé le tout. (La prochaine fois, je croise que je réfrigérerai la meringue quelques minutes avant d'y mettre le beurre, pour être bien sûre que ça reste bien froid !).
Au bout du compte, ce gâteau était débilement bon. Vraiment. Le babeurre donne une texture hyper moelleuse au gâteau et la garniture au caramel de même que la crème au beurre sont hyper légères en bouche (mais bon, on s'entend que c'est quand même 1 lb de beurre et 1 1/2 tasse de crème 35% !!). J'aurais bien voulu décorer le gâteau à la douille avec de la ganache pralinée mais je n'ai pas eu le temps. Je vous recommande donc très fortement ce gâteau, c'est une pure merveille !
Ah oui, nous avons même trouvé une façon de l'améliorer : ajouter une rangée de tranches de bananes bien mûres au centre du gâteau. Ça irait à merveille avec le caramel, les noisettes et le chocolat au lait. Mmmmm...
Ceci étant dit, je n'ai jamais sali autant de vaisselle pour une recette... Robot, batteur électrique, pied mélangeur, toutes mes casseroles, tous mes bols à mélanger, tout ce qu'il me restait de petites et de grosses cuillères... Comme dirait Mannekenpix : "Il ne me reste plus rien dans ma couisine !" hihihi !
Pour la photo, disons qu'avec quelques (plusieurs ?) verres de vin dans le nez, j'ai presque oublié de la prendre. Pendant qu'on était en train de le manger, j'ai allumé qu'il me fallait une photo pour mon blog !!
8-10 portions
Note : Vous pouvez préparer le praliné noisette plusieurs jours en avance (même plusieurs semaines... ça se conserve très bien). Vous pouvez aussi faire la crème au beurre 3-4 jours à l'avance et la conserver au frigo.
Gâteau au chocolat au lait
3/8 tasse de beurre demi sel
1/3 tasse de sucre
1/3 tasse de cassonade
2 oeufs
3/4 cuillère à thé de vanille
115g de chocolat au lait fondu tiédi
2/3 tasse de babeurre
1 1/6 tasse de farine
3/4 cuillère à thé de poudre à pâte
1/2 cuillère à thé de bicarbonate de soude
Préchauffer le four à 350°F. Beurrer un moule à gâteau de 8 pouces, placer un rond de papier ciré au fond du moule et le beurrer aussi. Réserver.
Dans un grand bol, battre le beurre, le sucre et la cassonade. Ajouter les oeufs un à un en battant entre chaque addition. Incorporer la vanille et le chocolat fondu. À basse vitesse, ajouter le babeurre. Lorsque le mélange est homogène, incorporer la farine, la poudre à pâte et le bicarbonate de soude.
Verser le mélange dans un moule puis cuire au centre du four pendant 40 minutes, jusqu'à ce qu'un cure-dent inséré dans le gâteau ressorte propre. (Prenez soin de déposer le moule à gâteau sur une plaque avant la cuisson pour éviter les dégâts dans le fond du four...)
Laisser refroidir complètement avant de démouler et d'enlever délicatement le ciré. Réserver.
Praliné
Réaliser cette recette. Il vous restera pas mal de praliné. Vous pourriez aussi faire une demi recette. Pour le gâteau, vous aurez besoin de praliné en poudre.
Garniture au caramel
1 1/2 tasse de crème 35% à fouetter
1/2 gousse de vanille fendue et grattée (pâte de vanille pour moi)
80g de cassonade
1/2 sachet de gélatine
Chauffer la crème et la vanille au point d'ébullition. Réserver.
Pendant ce temps, chauffer à sec et à feu vif la cassonade jusqu'à ce qu'elle soit entièrement fondue. Retirer la gousse de vanille de la crème bien chaude et verser dans la cassonade fondue (abaisser le feu pour cette étape) en mélangeant constamment. Chauffer en brassant jusqu'à ce qu'il ne reste plus de cassonade visible (ça a pris plusieurs minutes dans mon cas). Retirer du feu et incorporer la gélatine. Fouetter vigoureusement. (Prochaine fois pour éviter les granules : dissoudre la gélatine dans un peu de crème, laisser reposer quelques minutes puis incorporer au caramel.)
Laisser reposer au frais quelques heures (1h a été amplement suffisante pour moi) puis battre jusqu'à l'obtention de pics mous. (Jamais vu de pics mous... et plus je battais, plus ça avait tendance à se séparer alors j'ai plutôt compté sur l'action de la gélatine pour faire le travail...). Conserver au frais jusqu'à utilisation.
Crème au beurre au chocolat au lait
2 oeufs
40g d'eau
2/3 tasse de sucre
20g de sirop de maïs
1 tasse de beurre demi sel ramolli coupé en cubes
77g de chocolat au lait fondu et tiédi
Casser les oeufs dans un grand bol. Réserver.
Dans une petite casserole, porter à ébullition l'eau, le sucre et le sirop de maïs jusqu'à ce que le thermomètre indique 117°C.
Fouetter les oeufs jusqu'à ce qu'ils soient bien mousseux. Incorporer le sirop chaud en mince filet en battant continuellement et en évitant les fouets du batteur. Continuer à battre jusqu'à refroidissement complet, soit 10-15 minutes. (Je propose même de mettre le mélange quelques minutes au frigo pour éviter la séparation de la crème.) Ajouter le beurre un ou deux cubes à la fois en battant bien entre chaque addition. (Attention, je crois que mon beurre était trop mou... Donc je présume qu'on veut un beurre plus mou que froid, mais plus ferme que température pièce.) Incorporer le chocolat au lait fondu et tiédi et battre jusqu'à homogénéité. Conserver au frigo.
Montage du gâteau
Battre la garniture au caramel et la crème au beurre (séparément) pour les rendre plus maniables. Réserver.
Couper le gâteau en deux sur l'épaisseur. Poser le morceau du bas dans une assiette et étaler l'ensemble de la garniture au caramel. Saupoudrer de praliné. Déposer le deuxième morceau de gâteau. Glacer avec la crème au beurre (ça m'a pris pratiquement toute la crème) en lissant le plus possible. Décorer le pourtour de praliné. (Si quelqu'un sait comment faire ça proprement, qu'il se lève et parle !)
Pour le service, le gâteau est nettement meilleur température pièce. Froide, la crème au beurre a la texture d'un bloc de beurre dur sucré... (pas très bon...) Pour ma part, je ne l'ai donc pas réfrigéré entre sa fabrication (terminé vers 16h) et sa consommation (vers 21h-22h). Si vous aviez à le réfrigérer, sortez-le pas mal en avance avant de le manger, il n'en sera que meilleur.
Je me suis donc attelée à une journée entière de travail pour la réalisation de ce gâteau. Et honnêtement, la seule chose qui a bien été est la fabrication du praliné !!! Donc, le matin, je prépare le gâteau. La pâte est belle, très fluffy, et remplit pas mal le moule. Je me dis que c'est pas grave, ça va lever à la cuisson. ERREUR !! Ce gâteau reste très plat à la cuisson (quoique ultra moelleux), alors il y a de la pâte qui a coulé partout sur les grilles et dans le fond du four. Bravo championne. Ensuite je fais la garniture au caramel. Malgré que la crème était quasiment bouillante, la cassonnade a figé en partie quand je l'ai versée dans le chaudron. J'ai dû brasser très longtemps pour la faire refondre. Ensuite, lors de l'ajout de la gélatine, celle-ci a granulé... J'ai dû passer le mélange au pied mélangeur pour défaire les petites granules (comme si ça ne salissait pas déjà assez de vaisselle cette recette, hihihi !!). Ensuite, ma crème au beurre a mottoné et commençait à se séparer (malgré que ma meringue était totalement température pièce). Je croyais l'avoir ratée... jusqu'à ce que j'ajoute le chocolat dedans, ça a stabilisé le tout. (La prochaine fois, je croise que je réfrigérerai la meringue quelques minutes avant d'y mettre le beurre, pour être bien sûre que ça reste bien froid !).
Au bout du compte, ce gâteau était débilement bon. Vraiment. Le babeurre donne une texture hyper moelleuse au gâteau et la garniture au caramel de même que la crème au beurre sont hyper légères en bouche (mais bon, on s'entend que c'est quand même 1 lb de beurre et 1 1/2 tasse de crème 35% !!). J'aurais bien voulu décorer le gâteau à la douille avec de la ganache pralinée mais je n'ai pas eu le temps. Je vous recommande donc très fortement ce gâteau, c'est une pure merveille !
Ah oui, nous avons même trouvé une façon de l'améliorer : ajouter une rangée de tranches de bananes bien mûres au centre du gâteau. Ça irait à merveille avec le caramel, les noisettes et le chocolat au lait. Mmmmm...
Ceci étant dit, je n'ai jamais sali autant de vaisselle pour une recette... Robot, batteur électrique, pied mélangeur, toutes mes casseroles, tous mes bols à mélanger, tout ce qu'il me restait de petites et de grosses cuillères... Comme dirait Mannekenpix : "Il ne me reste plus rien dans ma couisine !" hihihi !
Pour la photo, disons qu'avec quelques (plusieurs ?) verres de vin dans le nez, j'ai presque oublié de la prendre. Pendant qu'on était en train de le manger, j'ai allumé qu'il me fallait une photo pour mon blog !!
8-10 portions
Note : Vous pouvez préparer le praliné noisette plusieurs jours en avance (même plusieurs semaines... ça se conserve très bien). Vous pouvez aussi faire la crème au beurre 3-4 jours à l'avance et la conserver au frigo.
Gâteau au chocolat au lait
3/8 tasse de beurre demi sel
1/3 tasse de sucre
1/3 tasse de cassonade
2 oeufs
3/4 cuillère à thé de vanille
115g de chocolat au lait fondu tiédi
2/3 tasse de babeurre
1 1/6 tasse de farine
3/4 cuillère à thé de poudre à pâte
1/2 cuillère à thé de bicarbonate de soude
Préchauffer le four à 350°F. Beurrer un moule à gâteau de 8 pouces, placer un rond de papier ciré au fond du moule et le beurrer aussi. Réserver.
Dans un grand bol, battre le beurre, le sucre et la cassonade. Ajouter les oeufs un à un en battant entre chaque addition. Incorporer la vanille et le chocolat fondu. À basse vitesse, ajouter le babeurre. Lorsque le mélange est homogène, incorporer la farine, la poudre à pâte et le bicarbonate de soude.
Verser le mélange dans un moule puis cuire au centre du four pendant 40 minutes, jusqu'à ce qu'un cure-dent inséré dans le gâteau ressorte propre. (Prenez soin de déposer le moule à gâteau sur une plaque avant la cuisson pour éviter les dégâts dans le fond du four...)
Laisser refroidir complètement avant de démouler et d'enlever délicatement le ciré. Réserver.
Praliné
Réaliser cette recette. Il vous restera pas mal de praliné. Vous pourriez aussi faire une demi recette. Pour le gâteau, vous aurez besoin de praliné en poudre.
Garniture au caramel
1 1/2 tasse de crème 35% à fouetter
1/2 gousse de vanille fendue et grattée (pâte de vanille pour moi)
80g de cassonade
1/2 sachet de gélatine
Chauffer la crème et la vanille au point d'ébullition. Réserver.
Pendant ce temps, chauffer à sec et à feu vif la cassonade jusqu'à ce qu'elle soit entièrement fondue. Retirer la gousse de vanille de la crème bien chaude et verser dans la cassonade fondue (abaisser le feu pour cette étape) en mélangeant constamment. Chauffer en brassant jusqu'à ce qu'il ne reste plus de cassonade visible (ça a pris plusieurs minutes dans mon cas). Retirer du feu et incorporer la gélatine. Fouetter vigoureusement. (Prochaine fois pour éviter les granules : dissoudre la gélatine dans un peu de crème, laisser reposer quelques minutes puis incorporer au caramel.)
Laisser reposer au frais quelques heures (1h a été amplement suffisante pour moi) puis battre jusqu'à l'obtention de pics mous. (Jamais vu de pics mous... et plus je battais, plus ça avait tendance à se séparer alors j'ai plutôt compté sur l'action de la gélatine pour faire le travail...). Conserver au frais jusqu'à utilisation.
Crème au beurre au chocolat au lait
2 oeufs
40g d'eau
2/3 tasse de sucre
20g de sirop de maïs
1 tasse de beurre demi sel ramolli coupé en cubes
77g de chocolat au lait fondu et tiédi
Casser les oeufs dans un grand bol. Réserver.
Dans une petite casserole, porter à ébullition l'eau, le sucre et le sirop de maïs jusqu'à ce que le thermomètre indique 117°C.
Fouetter les oeufs jusqu'à ce qu'ils soient bien mousseux. Incorporer le sirop chaud en mince filet en battant continuellement et en évitant les fouets du batteur. Continuer à battre jusqu'à refroidissement complet, soit 10-15 minutes. (Je propose même de mettre le mélange quelques minutes au frigo pour éviter la séparation de la crème.) Ajouter le beurre un ou deux cubes à la fois en battant bien entre chaque addition. (Attention, je crois que mon beurre était trop mou... Donc je présume qu'on veut un beurre plus mou que froid, mais plus ferme que température pièce.) Incorporer le chocolat au lait fondu et tiédi et battre jusqu'à homogénéité. Conserver au frigo.
Montage du gâteau
Battre la garniture au caramel et la crème au beurre (séparément) pour les rendre plus maniables. Réserver.
Couper le gâteau en deux sur l'épaisseur. Poser le morceau du bas dans une assiette et étaler l'ensemble de la garniture au caramel. Saupoudrer de praliné. Déposer le deuxième morceau de gâteau. Glacer avec la crème au beurre (ça m'a pris pratiquement toute la crème) en lissant le plus possible. Décorer le pourtour de praliné. (Si quelqu'un sait comment faire ça proprement, qu'il se lève et parle !)
Pour le service, le gâteau est nettement meilleur température pièce. Froide, la crème au beurre a la texture d'un bloc de beurre dur sucré... (pas très bon...) Pour ma part, je ne l'ai donc pas réfrigéré entre sa fabrication (terminé vers 16h) et sa consommation (vers 21h-22h). Si vous aviez à le réfrigérer, sortez-le pas mal en avance avant de le manger, il n'en sera que meilleur.
vendredi 2 décembre 2011
Riz engoulé
Dans le cadre de notre dernière thématique de l'année, Jasmine a choisi la bouffe médiévale ! Je lui ai proposé une soupe de navet (eau + morceaux de navet, du sel si on est un peu riche) et des vieilles pommes ratatinées, mais elle a refusé. Faut croire que j'ai lu les Piliers de la Terre trop souvent ! Pourtant, c'est le genre de nourriture qui compose les repas des personnages dans ce livre... ça aurait été super authentique comme repas. Après, on aurait pu se plaindre qu'on allait se coucher le ventre vide. Comme dans le bon vieux temps quoi !
J'ai finalement plié et j'ai préparé cette recette provenant du site Châteaux celtes et chimères. Croyez-moi, les recettes de dessert médiéval, ça ne court pas les rues ! En gros, il y a des gâteaux aux fruits secs, des flans et des trucs à base d'amande. Ah oui, et tout contient de la cannelle. Comme ça faisait plusieurs semaines que j'avais envie d'un riz au lait, c'était l'occasion rêvée d'en préparer un.
Je dois avouer ne pas avoir été impressionnée par cette recette. Le riz est trop "moushi" pour moi. Personnellement, je réduirais de beaucoup le temps de cuisson pour conserver de la texture car au final, ça ressemble à du gruau. Sinon, le goût est bon. Avec un filet de sirop d'érable, c'est encore meilleur !
4-6 portions
125g de riz arborio
3 tasses de lait
120g de poudre d'amande
100g de sucre
Eau bouillante
Une pincée de cannelle
Cuire le riz dans l'eau bouillante 10 minutes. Égoutter et remettre dans la casserole. Ajouter le lait, porter à ébullition puis cuire à feu doux, à couvert, pendant 30 minutes. Retirer du feu et laisser gonfler à couvert.
Pendant ce temps, mélanger la poudre d'amande et le sucre. Ajouter un peu d'eau bouillante pour obtenir une crème d'amande. Incorporer la crème d'amande au riz, bien mélanger et chauffer quelques minutes. Refroidir complètement et mettre au frigo.
Avant de servir, saupoudrer de cannelle (et de sirop d'érable !).
J'ai finalement plié et j'ai préparé cette recette provenant du site Châteaux celtes et chimères. Croyez-moi, les recettes de dessert médiéval, ça ne court pas les rues ! En gros, il y a des gâteaux aux fruits secs, des flans et des trucs à base d'amande. Ah oui, et tout contient de la cannelle. Comme ça faisait plusieurs semaines que j'avais envie d'un riz au lait, c'était l'occasion rêvée d'en préparer un.
Je dois avouer ne pas avoir été impressionnée par cette recette. Le riz est trop "moushi" pour moi. Personnellement, je réduirais de beaucoup le temps de cuisson pour conserver de la texture car au final, ça ressemble à du gruau. Sinon, le goût est bon. Avec un filet de sirop d'érable, c'est encore meilleur !
4-6 portions
125g de riz arborio
3 tasses de lait
120g de poudre d'amande
100g de sucre
Eau bouillante
Une pincée de cannelle
Cuire le riz dans l'eau bouillante 10 minutes. Égoutter et remettre dans la casserole. Ajouter le lait, porter à ébullition puis cuire à feu doux, à couvert, pendant 30 minutes. Retirer du feu et laisser gonfler à couvert.
Pendant ce temps, mélanger la poudre d'amande et le sucre. Ajouter un peu d'eau bouillante pour obtenir une crème d'amande. Incorporer la crème d'amande au riz, bien mélanger et chauffer quelques minutes. Refroidir complètement et mettre au frigo.
Avant de servir, saupoudrer de cannelle (et de sirop d'érable !).
mercredi 30 novembre 2011
Boulettes suédoises aux champignons
Eh non, je n'ai pas été capable de me restreindre à la version originale. Il fallait que je rajoute des champis ! Que voulez-vous, ce n'est pas parce que la saison est terminée que je m'empêche d'en acheter à l'épicerie !
Quand j'ai vu la recette chez Lili, j'ai su tout de suite ce que j'allais faire avec la viande hachée que je venais juste d'acheter. Ces boulettes sont super réconfortantes. On devrait toujours en avoir au congélo pour les jours et pluie et de tempête de neige.
3-4 portions (environ 30-35 boulettes)
1/4 tasse de chapelure
1 petit oignon haché finement
1 1/2 cuillère à soupe d'huile
350 g de veau haché maigre
2 cuillères à soupe de lait
1 oeuf
1/8 cuillère à thé de muscade
1 pincée de poivre de jamaïque
1 cuillère à soupe de beurre
1 cuillère à soupe de farine
1 tasse de bouillon de boeuf
2 cuillères à soupe de crème 35%
Sel et poivre au goût
1 paquet de champignons (227g), tranchés
Dans une poêle, dorer la chapelure à sec en remuant continuellement. Réserver dans un grand bol.
Dans la même poêle, faire dorer l’oignon dans la moitié de l’huile. Saler et poivrer. Verser dans le bol avec la chapelure et mélanger. Ajouter le veau, le lait, l’œuf et les épices au mélange de chapelure. Saler et poivrer. Mélanger avec les mains.
Façonner des boulettes de la grosseur d'une balle de ping pong. Réserver sur une assiette.
Dans la même poêle, dorer la moitié des boulettes à la fois dans le reste de l’huile. Réserver dans une assiette.
Fondre le beurre et ajouter la farine. Cuire 2 minutes en remuant jusqu’à ce que le mélange prenne une teinte dorée. Ajouter le bouillon, la crème et porter à ébullition en remuant à l’aide d’un fouet. Ajouter les champignons et laisser réduire jusqu'à ce que la sauce épaississe et que les champignons soient cuits.
Ajouter les boulettes. Cuire à feu doux quelques minutes jusqu’à ce que les boulettes soient cuites.
Quand j'ai vu la recette chez Lili, j'ai su tout de suite ce que j'allais faire avec la viande hachée que je venais juste d'acheter. Ces boulettes sont super réconfortantes. On devrait toujours en avoir au congélo pour les jours et pluie et de tempête de neige.
3-4 portions (environ 30-35 boulettes)
1/4 tasse de chapelure
1 petit oignon haché finement
1 1/2 cuillère à soupe d'huile
350 g de veau haché maigre
2 cuillères à soupe de lait
1 oeuf
1/8 cuillère à thé de muscade
1 pincée de poivre de jamaïque
1 cuillère à soupe de beurre
1 cuillère à soupe de farine
1 tasse de bouillon de boeuf
2 cuillères à soupe de crème 35%
Sel et poivre au goût
1 paquet de champignons (227g), tranchés
Dans une poêle, dorer la chapelure à sec en remuant continuellement. Réserver dans un grand bol.
Dans la même poêle, faire dorer l’oignon dans la moitié de l’huile. Saler et poivrer. Verser dans le bol avec la chapelure et mélanger. Ajouter le veau, le lait, l’œuf et les épices au mélange de chapelure. Saler et poivrer. Mélanger avec les mains.
Façonner des boulettes de la grosseur d'une balle de ping pong. Réserver sur une assiette.
Dans la même poêle, dorer la moitié des boulettes à la fois dans le reste de l’huile. Réserver dans une assiette.
Fondre le beurre et ajouter la farine. Cuire 2 minutes en remuant jusqu’à ce que le mélange prenne une teinte dorée. Ajouter le bouillon, la crème et porter à ébullition en remuant à l’aide d’un fouet. Ajouter les champignons et laisser réduire jusqu'à ce que la sauce épaississe et que les champignons soient cuits.
Ajouter les boulettes. Cuire à feu doux quelques minutes jusqu’à ce que les boulettes soient cuites.
lundi 28 novembre 2011
Planification chocos 2011
Le temps des fêtes approche à grands pas et nous sommes plusieurs à préparer des petites gâteries. Pour ma part, je fais des chocos depuis plusieurs années déjà et j'en suis à ma troisième année de vente à mes collègues, parents et amis. Avec les années, je me suis équipée et j'ai récolté pas mal d'information sur le sujet ! Je vous présente donc un petit topo sur la préparation de chocos.
Tout d'abord, oubliez le chocolat Baker's et la paraffine. Pouf, disparu de votre mémoire ! Pour faire de vrais bons chocolats, vous devez utiliser des ingrédients de qualité. Je vous recommande fortement le chocolat Barry. Il est excellent, abordable et fait au Québec (à St-Hyacinthe).
Quelques infos utiles...
Équipez-vous pour pas cher. Vous n'avez pas de moules ? Faites des truffes à la main ou à la douille ou coulez des ganaches que vous couperez en carrés et que vous tremperez dans le chocolat fondu.
Il existe principalement deux types de ganaches. La plus populaire, la ganache à la crème, consiste à chauffer de la crème au point d'ébullition puis à la verser sur du chocolat haché pour le faire fondre. La moins populaire mais ô combien meilleure ganache au beurre consiste à faire fondre du chocolat, le laisser tiédir puis l'incorporer à du beurre mou. Le beurre ne doit pas fondre durant l'opération, d'où l'importance de bien tiédir le chocolat.
Les chocos doivent être conservés à l'extérieur du frigo. Au frigo, ils risque de devenir collants et suintants. Les ganaches à la crème trempées dans le chocolat se conservent 3 semaines à température ambiante alors que les ganaches au beurre trempées dans le chocolat se conservent 6 semaines. Le fait de tremper les ganaches coupe le contact avec l'air, ralentissant la dégradation de celles-ci. D'autres moyens d'augmenter la durée de vie de vos chocos : faire des ganaches qui contiennent de l'alcool ou du sucre. Toutefois, les ganaches qui contiennent des purées de fruits frais auront une durée de vie plus courte.
L'eau est l'ennemi juré du chocolat. Une seule goutte d'eau qui tombe dans un bol de chocolat destiné à l'enrobage peut ruiner votre travail.
Il est important de tempérer le chocolat avant de l'utiliser pour recouvrir une ganache ou mouler. La courbe de tempérage est indiquée à l'arrière des boîtes de chocolat Barry. On peut aussi les trouver sur le web selon le type de choco (noir, lait ou blanc). Un chocolat non tempéré blanchira après quelques jours ou parfois plus vite. Il sera encore bon, mais beaucoup moins beau, ne sera pas craquant ni brillant. Pour le tempérage, munissez vous d'une cuillère, d'un thermomètre et de beaucoup de patience. Si vous voulez éviter de tempérer le chocolat, optez pour un chocolat qui contient de l'huile dans sa liste d'ingrédients (le Merckens par exemple). Ce sont des chocolats de moindre qualité mais plus faciles à travailler. Un vrai chocolat ne contient jamais d'huile.
Ne chauffez jamais le chocolat directement sur le feu. Utilisez toujours un bain-marie. Le micro-ondes est aussi à proscrire, ou à utiliser avec parcimonie. Si vous cuisez votre chocolat, il ne sera bon que pour la poubelle. Il deviendra extrêmement dur et il sera impossible de le faire refondre.
Les outils pratiques...
Thermomètre - environ 10$
Fourchettes à tremper - entre 3$ et 10$+ l'unité (ronde, 2 dents, 3 dents, etc.)
Longue spatule en métal (pour racler les moules) - 20$
Moules à chocolat en plastique - entre 3$ et 50$ selon la qualité et le type de plastique
Emballage (boîtes) - 0.50$ à 5$ l'unité selon la taille et le modèle
Tempéreuse (pour les maniaques comme moi) - 300$ à 500$ sur ebay
Feuilles de transfert au beurre de cacao - 1$ à 5$ la feuille
Colorant alimentaire
Poche à douille avec de grosses douilles rondes ou cannelées pour douiller les truffes (beaucoup moins long que de rouler à la main !) - 20$ + prix des embouts
Où acheter ?
France Décor, 290 Henri-Bourassa Ouest, Montréal (2 étages d'équipement de pâtisserie et chocolaterie - ouvert en semaine et le samedi matin de 9h à 12h seulement)
Créations gourmandes, 1070 rue Union à Ville Ste-Catherine (équipement de pâtisserie et chocolaterie)
L'Oiseau bleu, différentes succursales (petite section chocolaterie en boutique)
Distribution Aubut, 3975 rue St-Ambroise, Montréal - pour le chocolat en gros ou d'autres ingrédients pas chers (ex. gousses de vanille)
Boutiques d'artisanat un peu partout
Chocolateries (vous pourrez y acheter des pistoles de chocolat à environ 20$ /kg. Demandez du chocolat de couverture)
Pour zieuter, je vous recommande le site web de Chocolat chocolat, mais ils ne vendent pas au public.
Des idées...
Et pour terminer, ma liste de saveurs 2011 si ça peut vous donner des idées !
Ganache caramel
Miel et noisette
Framboise
Crème au chocolat (nougat mou)
Café
Caramel aux pacanes
Fraise balsamique
Chaï
Pain d'épice
Mangue habanero
Fondant coco-arachide
Caramel aux pommes
Je sais que certaines personnes ont déjà signifié leur intérêt à participer à une initiation à la chocolaterie. Je pourrais envisager faire une petite séance chez moi en quelque part en début d'année prochaine dans le coin de la St-Valentin ou de Pâques. Mais je vous avise : j'habite en montagne (ya de la neige !) avec 6 chats (ya du poil !).
Tout d'abord, oubliez le chocolat Baker's et la paraffine. Pouf, disparu de votre mémoire ! Pour faire de vrais bons chocolats, vous devez utiliser des ingrédients de qualité. Je vous recommande fortement le chocolat Barry. Il est excellent, abordable et fait au Québec (à St-Hyacinthe).
Quelques infos utiles...
Équipez-vous pour pas cher. Vous n'avez pas de moules ? Faites des truffes à la main ou à la douille ou coulez des ganaches que vous couperez en carrés et que vous tremperez dans le chocolat fondu.
Il existe principalement deux types de ganaches. La plus populaire, la ganache à la crème, consiste à chauffer de la crème au point d'ébullition puis à la verser sur du chocolat haché pour le faire fondre. La moins populaire mais ô combien meilleure ganache au beurre consiste à faire fondre du chocolat, le laisser tiédir puis l'incorporer à du beurre mou. Le beurre ne doit pas fondre durant l'opération, d'où l'importance de bien tiédir le chocolat.
Les chocos doivent être conservés à l'extérieur du frigo. Au frigo, ils risque de devenir collants et suintants. Les ganaches à la crème trempées dans le chocolat se conservent 3 semaines à température ambiante alors que les ganaches au beurre trempées dans le chocolat se conservent 6 semaines. Le fait de tremper les ganaches coupe le contact avec l'air, ralentissant la dégradation de celles-ci. D'autres moyens d'augmenter la durée de vie de vos chocos : faire des ganaches qui contiennent de l'alcool ou du sucre. Toutefois, les ganaches qui contiennent des purées de fruits frais auront une durée de vie plus courte.
L'eau est l'ennemi juré du chocolat. Une seule goutte d'eau qui tombe dans un bol de chocolat destiné à l'enrobage peut ruiner votre travail.
Il est important de tempérer le chocolat avant de l'utiliser pour recouvrir une ganache ou mouler. La courbe de tempérage est indiquée à l'arrière des boîtes de chocolat Barry. On peut aussi les trouver sur le web selon le type de choco (noir, lait ou blanc). Un chocolat non tempéré blanchira après quelques jours ou parfois plus vite. Il sera encore bon, mais beaucoup moins beau, ne sera pas craquant ni brillant. Pour le tempérage, munissez vous d'une cuillère, d'un thermomètre et de beaucoup de patience. Si vous voulez éviter de tempérer le chocolat, optez pour un chocolat qui contient de l'huile dans sa liste d'ingrédients (le Merckens par exemple). Ce sont des chocolats de moindre qualité mais plus faciles à travailler. Un vrai chocolat ne contient jamais d'huile.
Ne chauffez jamais le chocolat directement sur le feu. Utilisez toujours un bain-marie. Le micro-ondes est aussi à proscrire, ou à utiliser avec parcimonie. Si vous cuisez votre chocolat, il ne sera bon que pour la poubelle. Il deviendra extrêmement dur et il sera impossible de le faire refondre.
Les outils pratiques...
Thermomètre - environ 10$
Fourchettes à tremper - entre 3$ et 10$+ l'unité (ronde, 2 dents, 3 dents, etc.)
Longue spatule en métal (pour racler les moules) - 20$
Moules à chocolat en plastique - entre 3$ et 50$ selon la qualité et le type de plastique
Emballage (boîtes) - 0.50$ à 5$ l'unité selon la taille et le modèle
Tempéreuse (pour les maniaques comme moi) - 300$ à 500$ sur ebay
Feuilles de transfert au beurre de cacao - 1$ à 5$ la feuille
Colorant alimentaire
Poche à douille avec de grosses douilles rondes ou cannelées pour douiller les truffes (beaucoup moins long que de rouler à la main !) - 20$ + prix des embouts
Où acheter ?
France Décor, 290 Henri-Bourassa Ouest, Montréal (2 étages d'équipement de pâtisserie et chocolaterie - ouvert en semaine et le samedi matin de 9h à 12h seulement)
Créations gourmandes, 1070 rue Union à Ville Ste-Catherine (équipement de pâtisserie et chocolaterie)
L'Oiseau bleu, différentes succursales (petite section chocolaterie en boutique)
Distribution Aubut, 3975 rue St-Ambroise, Montréal - pour le chocolat en gros ou d'autres ingrédients pas chers (ex. gousses de vanille)
Boutiques d'artisanat un peu partout
Chocolateries (vous pourrez y acheter des pistoles de chocolat à environ 20$ /kg. Demandez du chocolat de couverture)
Pour zieuter, je vous recommande le site web de Chocolat chocolat, mais ils ne vendent pas au public.
Des idées...
Et pour terminer, ma liste de saveurs 2011 si ça peut vous donner des idées !
Ganache caramel
Miel et noisette
Framboise
Crème au chocolat (nougat mou)
Café
Caramel aux pacanes
Fraise balsamique
Chaï
Pain d'épice
Mangue habanero
Fondant coco-arachide
Caramel aux pommes
Je sais que certaines personnes ont déjà signifié leur intérêt à participer à une initiation à la chocolaterie. Je pourrais envisager faire une petite séance chez moi en quelque part en début d'année prochaine dans le coin de la St-Valentin ou de Pâques. Mais je vous avise : j'habite en montagne (ya de la neige !) avec 6 chats (ya du poil !).
samedi 26 novembre 2011
Tartare de thon à l'asiatique
De la pure paresse... J'ai mangé ce plat directement dans le bol à mélanger, donc pas de photo. Mais bordel que c'était bon, alors ça mérite quand même une publication !! C'est tout simple, ça se prépare rapidement et c'est totalement délicieux.
1 portion
175g de thon frais yellow fin
1 cuillère à thé d'huile de sésame
Un trait de vinaigre de riz
Mirin au goût
Un trait de jus de lime
Poivre
Fleur de sel
Hacher finement le thon. Réserver.
Dans un bol, émulsionner le reste des ingrédients. Ajuster l'assaisonnement. Incorporer le thon et mélanger délicatement pour bien répartir la vinaigrette. Servir immédiatement.
1 portion
175g de thon frais yellow fin
1 cuillère à thé d'huile de sésame
Un trait de vinaigre de riz
Mirin au goût
Un trait de jus de lime
Poivre
Fleur de sel
Hacher finement le thon. Réserver.
Dans un bol, émulsionner le reste des ingrédients. Ajuster l'assaisonnement. Incorporer le thon et mélanger délicatement pour bien répartir la vinaigrette. Servir immédiatement.
jeudi 24 novembre 2011
Taguée : 7 choses essentielles sur moi
La très charmante Lili, qui fait d'ailleurs de magnifiques gâteaux, m'a taguée pour un petit jeu qui consiste à révéler 7 choses sur moi. Habituellement, je n'aime pas tellement les tags, mais comme je suis en période "choco", je n'ai pas tellement de recettes à publier alors il me fait plaisir d'y répondre ! Pour faire changement, je vais parler d'autre chose que de bouffe, de chats et de champis :)
1- De façon générale, j'ai des goûts douteux. Oui je l'avoue, je suis une fan finie de Grease (je le regarde chaque fois qu'il passe à la télé), de Joe Dassin (je hurle ses chansons en auto - n'est-ce pas Mylène ?) et de Superbad (oh my god, McLovin c'est mon personnage préféré à vie !! Chica chica yeah !).
2- J'ai l'habitude de citer des scènes de Friends ou de Sex and the city. On m'entend souvent dire : "C'est comme la fois où Samantha a fait telle chose dans tel épisode" ou "C'est comme la fois où Chandler...". J'ai vu chaque épisode de ces deux séries des dizaines de fois et je ne m'en lasse pas. D'ailleurs, avec des amies, nous avons décrété que Sex and the city est L'Oracle.
3- Je suis super antisociale. J'ai une sainte horreur d'aller à un endroit où je ne connais personne, je dois parfois me botter sérieusement les fesses pour sortir de chez moi et si je me retrouve dans un événement mondain, cherchez-moi dans un coin en train de boire un verre de blanc toute seule, l'air écoeuré. J'ai horreur d'avoir des voisins et c'est encore pire s'ils me parlent. Quand j'étais petite, je me cachais systématiquement dans ma chambre quand il y avait de la visite.
4- Je ne supporte pas, mais alors pas du tout, les gens qui disent des choses comme "légerte", "si j'aurais", ou le plus populaire : "Califournie". Ça me fait dresser les poils. Parfois, je les reprends sans même m'en rendre compte. Ces personnes doivent penser que je suis vraiment chiante.
5- J'ai fait deux Bacc : anthropologie et génie chimique. Je suis actuellement ingénieure en environnement. J'ai étudié beaucoup trop longtemps. Et le pire dans tout ça, c'est que je vais probablement finir dans un tout autre domaine de travail au cours des prochaines années.
6- Je ne m'entends pas bien avec les filles en général. Celles qui m'entourent ont toutes des caractères forts et des personnalités "masculines". Je préfère de loin les milieux masculins (pas pour rien que je travaille en industrie lourde, il y a 95% d'hommes). Pas d'hypocrisie, pas de niaisage. On s'aime ou on ne s'aime pas, mais au moins c'est clair.
7- J'ai une fascination pour tout ce qui vole : avion, hélicoptère, ultra léger, deltaplane. Quand j'ai à prendre l'avion, c'est un happening en soi, ça fait ma journée. J'adore voir le paysage du haut des airs et ça ne me rend pas nerveuse une miette. Quand j'étais petite, mon papa nous amenait voir les avions à l'aéroport près de chez nous, j'adorais ça. Il y a quelques années, j'ai travaillé à l'aéroport de Montréal. J'ai été impressionnée par les avions tout le long de mon stage, je ne me tannais pas de les regarder passer en rase-motte au-dessus du stationnement et j'adorais quand on m'amenait me promener sur les pistes et regarder les avions décoller ! J'ai aussi fait de l'ultra léger chez des amis l'an dernier. On est juste attaché avec une petite ceinture à la taille dans ce truc là, pas de cabine, rien, c'est fou ! Et il fait froid dans les airs ! Mais my god que c'est une expérience unique.
Comme je vois que tout le monde a été tagué, parfois même à plusieurs reprises, je laisserai ceux et celles qui ont envie de se prêter au jeu le faire d'eux-mêmes !
1- De façon générale, j'ai des goûts douteux. Oui je l'avoue, je suis une fan finie de Grease (je le regarde chaque fois qu'il passe à la télé), de Joe Dassin (je hurle ses chansons en auto - n'est-ce pas Mylène ?) et de Superbad (oh my god, McLovin c'est mon personnage préféré à vie !! Chica chica yeah !).
2- J'ai l'habitude de citer des scènes de Friends ou de Sex and the city. On m'entend souvent dire : "C'est comme la fois où Samantha a fait telle chose dans tel épisode" ou "C'est comme la fois où Chandler...". J'ai vu chaque épisode de ces deux séries des dizaines de fois et je ne m'en lasse pas. D'ailleurs, avec des amies, nous avons décrété que Sex and the city est L'Oracle.
3- Je suis super antisociale. J'ai une sainte horreur d'aller à un endroit où je ne connais personne, je dois parfois me botter sérieusement les fesses pour sortir de chez moi et si je me retrouve dans un événement mondain, cherchez-moi dans un coin en train de boire un verre de blanc toute seule, l'air écoeuré. J'ai horreur d'avoir des voisins et c'est encore pire s'ils me parlent. Quand j'étais petite, je me cachais systématiquement dans ma chambre quand il y avait de la visite.
4- Je ne supporte pas, mais alors pas du tout, les gens qui disent des choses comme "légerte", "si j'aurais", ou le plus populaire : "Califournie". Ça me fait dresser les poils. Parfois, je les reprends sans même m'en rendre compte. Ces personnes doivent penser que je suis vraiment chiante.
5- J'ai fait deux Bacc : anthropologie et génie chimique. Je suis actuellement ingénieure en environnement. J'ai étudié beaucoup trop longtemps. Et le pire dans tout ça, c'est que je vais probablement finir dans un tout autre domaine de travail au cours des prochaines années.
6- Je ne m'entends pas bien avec les filles en général. Celles qui m'entourent ont toutes des caractères forts et des personnalités "masculines". Je préfère de loin les milieux masculins (pas pour rien que je travaille en industrie lourde, il y a 95% d'hommes). Pas d'hypocrisie, pas de niaisage. On s'aime ou on ne s'aime pas, mais au moins c'est clair.
7- J'ai une fascination pour tout ce qui vole : avion, hélicoptère, ultra léger, deltaplane. Quand j'ai à prendre l'avion, c'est un happening en soi, ça fait ma journée. J'adore voir le paysage du haut des airs et ça ne me rend pas nerveuse une miette. Quand j'étais petite, mon papa nous amenait voir les avions à l'aéroport près de chez nous, j'adorais ça. Il y a quelques années, j'ai travaillé à l'aéroport de Montréal. J'ai été impressionnée par les avions tout le long de mon stage, je ne me tannais pas de les regarder passer en rase-motte au-dessus du stationnement et j'adorais quand on m'amenait me promener sur les pistes et regarder les avions décoller ! J'ai aussi fait de l'ultra léger chez des amis l'an dernier. On est juste attaché avec une petite ceinture à la taille dans ce truc là, pas de cabine, rien, c'est fou ! Et il fait froid dans les airs ! Mais my god que c'est une expérience unique.
Comme je vois que tout le monde a été tagué, parfois même à plusieurs reprises, je laisserai ceux et celles qui ont envie de se prêter au jeu le faire d'eux-mêmes !
dimanche 20 novembre 2011
Médaillons de porc aux framboises
Vu chez Tomate cerises et Basilic cette semaine. Je cherchais justement une recette pour passer mon filet de porc et j'avais plein de framboises au frigo. Quelle belle recette juste à point pour moi ! J'ai effectué quelques changements toutefois. Notamment, j'ai remplacé la farine par de la farine de pleurotes et le miel+vinaigre par de la sauce framboise et chipotle. Miam que c'était bon ! Super simple et ça serait aussi délicieux avec du poulet. À refaire sans l'ombre d'un doute !
Je vous annonce aussi que je me ferai plus discrète sur mon blog au cours du prochain mois. En effet, la saison des chocolats est commencée ! Je mettrai donc une bonne partie de mon temps dans la confection de ces petites douceurs et il ne me restera pas beaucoup de temps pour cuisiner.
2-3 portions
1 filet de porc (300g environ)
Farine de pleurotes (ou régulière)
1/2 cuillère à soupe d'huile d'olive
1/2 cuillère à soupe de beurre
1 gousse d'ail hachée
1 échalote française hachée
2 cuillères à soupe de sauce framboise et chipotle (ou 1 cuillère à thé de miel + 1 cuillère à thé de vinaigre de framboise)
1/2 tasse de bouillon de poulet
1/2 tasse de framboises fraîches
Couper le filet de porc en médaillons (6 ou 8 selon la grosseur). Enfariner. Dans une poêle, saisir dans l'huile et le beurre environ 1 minute par côté. Déposer dans un plat allant au four. Réserver.
Dans la même poêle, faire revenir l'ail et l'échalote. Ajouter la sauce framboise et chipotle puis déglacer avec le bouillon de poulet. Saler et poivrer. Ajouter la moitié des framboises et laisser réduire quelques minutes. (Épaissir la sauce si désiré avec un épaississant au choix). Verser la sauce sur les médaillons et enfourner à 350°F pendant 15-20 minutes. Éviter de surcuire, les médaillons doivent rester rosés.
Servir avec le reste des framboises et arroser de la sauce.
Je vous annonce aussi que je me ferai plus discrète sur mon blog au cours du prochain mois. En effet, la saison des chocolats est commencée ! Je mettrai donc une bonne partie de mon temps dans la confection de ces petites douceurs et il ne me restera pas beaucoup de temps pour cuisiner.
2-3 portions
1 filet de porc (300g environ)
Farine de pleurotes (ou régulière)
1/2 cuillère à soupe d'huile d'olive
1/2 cuillère à soupe de beurre
1 gousse d'ail hachée
1 échalote française hachée
2 cuillères à soupe de sauce framboise et chipotle (ou 1 cuillère à thé de miel + 1 cuillère à thé de vinaigre de framboise)
1/2 tasse de bouillon de poulet
1/2 tasse de framboises fraîches
Couper le filet de porc en médaillons (6 ou 8 selon la grosseur). Enfariner. Dans une poêle, saisir dans l'huile et le beurre environ 1 minute par côté. Déposer dans un plat allant au four. Réserver.
Dans la même poêle, faire revenir l'ail et l'échalote. Ajouter la sauce framboise et chipotle puis déglacer avec le bouillon de poulet. Saler et poivrer. Ajouter la moitié des framboises et laisser réduire quelques minutes. (Épaissir la sauce si désiré avec un épaississant au choix). Verser la sauce sur les médaillons et enfourner à 350°F pendant 15-20 minutes. Éviter de surcuire, les médaillons doivent rester rosés.
Servir avec le reste des framboises et arroser de la sauce.
jeudi 17 novembre 2011
Petits cakes au jambon et à la Vache qui rit
Depuis le jour où j'ai vu cette recette chez Isa, j'ai eu envie de la faire. Je l'ai revue dans son livre paru cette automne. J'ai encore plus eu envie de la faire. Finalement, j'ai vu la Vache qui rit en spécial dans la circulaire cette semaine. C'était un signe !
Cette recette est ultra simple et franchement délicieuse. Je n'ai vraiment rien à redire. Une bouchée de ce cake et vous êtes au paradis. Faites-la sans plus attendre. C'est un ordre. Merci Isa !
Bon pour la photos vous allez devoir regarder dans le livre car je n'ai pas pu en prendre...
8 petits cakes
1 tasse de farine
2 1/2 cuillère à thé de poudre à pâte
3 oeufs
130 mL de lait tiède
2 cuillères à soupe d'huile de canola
Sel et poivre
150g de jambon blanc en petits cubes
1 tasse de mozzarella râpé (pas mis)
8 portions de Vache qui rit (triangles)
Dans un grand bol, mélanger la farine et la poudre à pâte. Ajouter les oeufs, le lait, l'huile et bien mélanger à l'aide d'un fouet. Saler et poivrer. Incorporer le jambon.
Déposer la moitié du mélange dans 8 moules à muffins. (Avec mes moules de taille régulière, j'aurais pu facilement faire 9 cakes). Déposer une portion de Vache qui rit dans chacune des cavités. (J'ai déchiré chaque triangle en deux (pointe/base) et je les ai enfoncé dans le mélange.) Couvrir du reste de la pâte.
Cuire au four à 350°F pendant 25-30 minutes ou jusqu'à ce que le dessus des cakes soient bien doré. Déguster tiède ou froid. Pour avoir le centre coulant, les passer quelques secondes au micro-ondes. Mais c'est aussi bon chaud, quand on n'est pas capable d'attendre qu'ils refroidissent en sortant du four... !!! :)
Cette recette est ultra simple et franchement délicieuse. Je n'ai vraiment rien à redire. Une bouchée de ce cake et vous êtes au paradis. Faites-la sans plus attendre. C'est un ordre. Merci Isa !
Bon pour la photos vous allez devoir regarder dans le livre car je n'ai pas pu en prendre...
8 petits cakes
1 tasse de farine
2 1/2 cuillère à thé de poudre à pâte
3 oeufs
130 mL de lait tiède
2 cuillères à soupe d'huile de canola
Sel et poivre
150g de jambon blanc en petits cubes
1 tasse de mozzarella râpé (pas mis)
8 portions de Vache qui rit (triangles)
Dans un grand bol, mélanger la farine et la poudre à pâte. Ajouter les oeufs, le lait, l'huile et bien mélanger à l'aide d'un fouet. Saler et poivrer. Incorporer le jambon.
Déposer la moitié du mélange dans 8 moules à muffins. (Avec mes moules de taille régulière, j'aurais pu facilement faire 9 cakes). Déposer une portion de Vache qui rit dans chacune des cavités. (J'ai déchiré chaque triangle en deux (pointe/base) et je les ai enfoncé dans le mélange.) Couvrir du reste de la pâte.
Cuire au four à 350°F pendant 25-30 minutes ou jusqu'à ce que le dessus des cakes soient bien doré. Déguster tiède ou froid. Pour avoir le centre coulant, les passer quelques secondes au micro-ondes. Mais c'est aussi bon chaud, quand on n'est pas capable d'attendre qu'ils refroidissent en sortant du four... !!! :)
samedi 12 novembre 2011
Brioches à la cannelle
J'ai déjà fait des brioches dans le passé, au début de mon blog, quand j'avais moins d'expérience dans ce genre de recette. Et quand je suis tombée sur cette recette de brioches qui se vantait d'être la meilleure au monde, j'ai craqué. Je devais en refaire.
Même si j'aime bien pétrir de la pâte, je dois avouer avoir de la difficulté à réussir mes boulangeries qui sont cuites le même jour que la pâte est préparée. Celles qui reposent toute une nuit ont toujours une meilleure texture. En effet, le temps, tout comme le pétrissage, permet au gluten de s'étirer, de se réorganiser de façon à faire une belle pâte fluffy juste comme je les aime. J'étais donc heureuse que cette recette recommande que la deuxième levée soit faite de nuit, au frigo. La première levée a super bien fonctionné, c'est donc heureuse que je façonne mes brioches et que je les range au frigo pour la nuit.
Ce matin je me lève, comme si c'était le matin de Noël, et je cours au frigo voir mes brioches. Elles n'ont pas levé d'une miette depuis hier soir. Que dalle. Pareilles, pareilles. Pas contente la madame... Je prends donc les grands moyens. Je chauffe le four au plus bas. Lorsqu'il atteint sa température, je l'éteins puis je place mes brioches dedans pour 30 minutes. Cette levée forcée a fonctionné, mais reste que je suis déçue. Qu'est-ce donc cette malédiction entre moi et les brioches !
Finalement, à la cuisson elles sont devenues belles avec une pâte fluffy comme je les aime. J'aurais dû les sortir 2-3 minutes plus tôt car le dessus commençait à sécher. Pour ce qui est du reste, c'est une excellente brioche. Mais j'aurais voulu que la deuxième levée soit aussi spectaculaire que la première.
Maintenant, il faut trouver mon problème. Comme je n'ai pas de batteur sur socle ni de machine à pain, je fais ma boulangerie au robot culinaire avec la lame spéciale boulangerie (en plastique, plus courte que la lame en métal). J'ai mis moins de farine que la recette en demandais et j'ai obtenu une pâte que je trouvais dense, me disant que sa texture s'améliorerait au pétrissage et à la levée. J'ai donc pétri environ 1 minute au robot culinaire (c'est ce qui est recommandé dans le manuel du robot culinaire) et 2-3 minutes à la main avant la première levée. En 1h30, la pâte a plus que doublé. Je l'ai roulée en un grand rectangle jusqu'à l'abaisser à un peu plus de 1/4 pouce. Est-ce trop mince ? J'ai façonné les brioches et mis dans un pyrex au frigo toute la nuit, couvert. Alors, des conseils pour améliorer mes brioches dans le futur ? Pétrir uniquement à la main ? Mettre encore moins de farine ? Abaisser la pâte moins mince ?
6 grosses brioches ou 12 petites
1/2 tasse de lait tiède
1 1/4 cuillère à thé de levure sèche
1/4 tasse de sucre
1 oeuf température pièce
1/6 tasse de beurre fondu
2 tasses de farine
Garniture :
1/6 tasse de beurre mou
1 1/4 cuillère à thé de cannelle
1/2 tasse de cassonade
Dans le bol du robot, mélanger le lait et le sucre. Saupoudrer la levure et laisser mousser environ 5-10 minutes. Ajouter l'oeuf et le beurre fondu. Bien mélanger. Incoporer la farine en 3-4 fois en mélangeant bien entre chaque addition. Pétrir au robot pendant quelques minutes, puis à la main quelques minutes supplémentaires. Façonner en une boule et déposer dans un bol huilé couvert d'un linge propre. Laisser lever environ 1h30.
Abaisser la pâte en un grand rectangle, beurrer avec le beurre mou puis saupoudrer du mélange de cassonade et cannelle. Rouler et découper en 6 ou 12 morceaux. Poser dans un grand pyrex. Couvrir d'une pellicule plastique et laisser reposer au frigo toute la nuit.
Le lendemain matin, sortir le pyrex du frigo 30 minutes avant la cuisson. Cuire à 400°F pendant 12-15 minutes ou jusqu'à bien doré. Déguster bien chaud.
Même si j'aime bien pétrir de la pâte, je dois avouer avoir de la difficulté à réussir mes boulangeries qui sont cuites le même jour que la pâte est préparée. Celles qui reposent toute une nuit ont toujours une meilleure texture. En effet, le temps, tout comme le pétrissage, permet au gluten de s'étirer, de se réorganiser de façon à faire une belle pâte fluffy juste comme je les aime. J'étais donc heureuse que cette recette recommande que la deuxième levée soit faite de nuit, au frigo. La première levée a super bien fonctionné, c'est donc heureuse que je façonne mes brioches et que je les range au frigo pour la nuit.
Ce matin je me lève, comme si c'était le matin de Noël, et je cours au frigo voir mes brioches. Elles n'ont pas levé d'une miette depuis hier soir. Que dalle. Pareilles, pareilles. Pas contente la madame... Je prends donc les grands moyens. Je chauffe le four au plus bas. Lorsqu'il atteint sa température, je l'éteins puis je place mes brioches dedans pour 30 minutes. Cette levée forcée a fonctionné, mais reste que je suis déçue. Qu'est-ce donc cette malédiction entre moi et les brioches !
Finalement, à la cuisson elles sont devenues belles avec une pâte fluffy comme je les aime. J'aurais dû les sortir 2-3 minutes plus tôt car le dessus commençait à sécher. Pour ce qui est du reste, c'est une excellente brioche. Mais j'aurais voulu que la deuxième levée soit aussi spectaculaire que la première.
Maintenant, il faut trouver mon problème. Comme je n'ai pas de batteur sur socle ni de machine à pain, je fais ma boulangerie au robot culinaire avec la lame spéciale boulangerie (en plastique, plus courte que la lame en métal). J'ai mis moins de farine que la recette en demandais et j'ai obtenu une pâte que je trouvais dense, me disant que sa texture s'améliorerait au pétrissage et à la levée. J'ai donc pétri environ 1 minute au robot culinaire (c'est ce qui est recommandé dans le manuel du robot culinaire) et 2-3 minutes à la main avant la première levée. En 1h30, la pâte a plus que doublé. Je l'ai roulée en un grand rectangle jusqu'à l'abaisser à un peu plus de 1/4 pouce. Est-ce trop mince ? J'ai façonné les brioches et mis dans un pyrex au frigo toute la nuit, couvert. Alors, des conseils pour améliorer mes brioches dans le futur ? Pétrir uniquement à la main ? Mettre encore moins de farine ? Abaisser la pâte moins mince ?
6 grosses brioches ou 12 petites
1/2 tasse de lait tiède
1 1/4 cuillère à thé de levure sèche
1/4 tasse de sucre
1 oeuf température pièce
1/6 tasse de beurre fondu
2 tasses de farine
Garniture :
1/6 tasse de beurre mou
1 1/4 cuillère à thé de cannelle
1/2 tasse de cassonade
Dans le bol du robot, mélanger le lait et le sucre. Saupoudrer la levure et laisser mousser environ 5-10 minutes. Ajouter l'oeuf et le beurre fondu. Bien mélanger. Incoporer la farine en 3-4 fois en mélangeant bien entre chaque addition. Pétrir au robot pendant quelques minutes, puis à la main quelques minutes supplémentaires. Façonner en une boule et déposer dans un bol huilé couvert d'un linge propre. Laisser lever environ 1h30.
Abaisser la pâte en un grand rectangle, beurrer avec le beurre mou puis saupoudrer du mélange de cassonade et cannelle. Rouler et découper en 6 ou 12 morceaux. Poser dans un grand pyrex. Couvrir d'une pellicule plastique et laisser reposer au frigo toute la nuit.
Le lendemain matin, sortir le pyrex du frigo 30 minutes avant la cuisson. Cuire à 400°F pendant 12-15 minutes ou jusqu'à bien doré. Déguster bien chaud.
jeudi 10 novembre 2011
Les chats, les chats, les chats...
Je ne cuisine pas grand chose de nouveau ces temps-ci. Je fais du temps supplémentaire au travail et pas tellement le temps ni le goût le soir de me lancer dans des recettes compliquées. Cette semaine je me suis fait une méga lasagne à l'aubergine avec champis et trois sortes de fromages (quark en train de mourir mélangé à la sauce tomate = sauce rosée, cottage et mozza). Le seul problème : il ne me restait que 4 lasagnes ! Pas grave, c'est bon quand même :) Heureusement, car j'en ai mangé toute la semaine, parfois même au dîner et au souper !
Pour compenser mon "pas de recette", je vous présente des photos inédites des chats !! Et vous savez quoi ? Ce sont mes billets sur mes chats qui récoltent toujours le plus grand nombre de commentaires, alors j'en déduis que ça vous plait bien :)
Commençons par le très évasif Mystic. Peu de photos de lui, peu de gens l'ont vu. Il est un peu comme le monstre du Loch Ness quoi !
Jean Valjean le magnifique. C'est un chat énorme et poilu mais peureux comme c'est pas possible. Ceux qui sont venus chez moi ont presque tous eu la chance de le voir patiner sur place comme un con en essayant de se sauver à la vue d'un "étrange".
Mon vieux couple !!! Ils dorment toujours ensemble enlacés, ils sont adorables. Mais attention à ne pas les déranger, ça rend Jean Valjean grognon...
Et mon jeune couple !! Gros chat et Minnie sont les meilleurs amis du monde : ils se poursuivent partout, se donnent des taloches, s'embusquent et se mordent à pleines dents ! Et quand ils ont terminé... kiss and make up !
Gros chat a toutefois de drôles d'habitudes... Il adooooore le melon d'eau. Dès qu'il me voit en manger, il accourt et je dois défendre férocement mon butin. Je lui donne les pelures et il les lèche jusqu'à ce qu'elles soient bien sèches...
Gros chat, c'est mon panier à champis ça...
Minnie est complètement folle de la salle de lavage. Dès que j'ouvre la porte, elle arrive au grand galop. Si j'ouvre la laveuse, elle saute dedans, pareil pour la sécheuse. Il faut toujours vérifier où est Minnie AVANT de laver ou sécher des vêtements car elle est bien souvent calée dans une des deux machines...
Des chats sur moi. Un c'est bien, mais deux c'est mieux !
Dire que je croyais avoir acheté une étagère pour mettre mes serviettes. Eh non, j'ai dû me tromper au IKEA et prendre plutôt un présentoir à chats !
Et ma belle gang de chats dans la fenêtre alors qu'il y a un oiseau ou un écureuil dans l'arbre juste à côté. Si vous cherchez Clipi, c'est le spot blanc en bas à droite, derrière le divan !
Pour compenser mon "pas de recette", je vous présente des photos inédites des chats !! Et vous savez quoi ? Ce sont mes billets sur mes chats qui récoltent toujours le plus grand nombre de commentaires, alors j'en déduis que ça vous plait bien :)
Commençons par le très évasif Mystic. Peu de photos de lui, peu de gens l'ont vu. Il est un peu comme le monstre du Loch Ness quoi !
Jean Valjean le magnifique. C'est un chat énorme et poilu mais peureux comme c'est pas possible. Ceux qui sont venus chez moi ont presque tous eu la chance de le voir patiner sur place comme un con en essayant de se sauver à la vue d'un "étrange".
Mon vieux couple !!! Ils dorment toujours ensemble enlacés, ils sont adorables. Mais attention à ne pas les déranger, ça rend Jean Valjean grognon...
Et mon jeune couple !! Gros chat et Minnie sont les meilleurs amis du monde : ils se poursuivent partout, se donnent des taloches, s'embusquent et se mordent à pleines dents ! Et quand ils ont terminé... kiss and make up !
Gros chat a toutefois de drôles d'habitudes... Il adooooore le melon d'eau. Dès qu'il me voit en manger, il accourt et je dois défendre férocement mon butin. Je lui donne les pelures et il les lèche jusqu'à ce qu'elles soient bien sèches...
Gros chat, c'est mon panier à champis ça...
Minnie est complètement folle de la salle de lavage. Dès que j'ouvre la porte, elle arrive au grand galop. Si j'ouvre la laveuse, elle saute dedans, pareil pour la sécheuse. Il faut toujours vérifier où est Minnie AVANT de laver ou sécher des vêtements car elle est bien souvent calée dans une des deux machines...
Des chats sur moi. Un c'est bien, mais deux c'est mieux !
Dire que je croyais avoir acheté une étagère pour mettre mes serviettes. Eh non, j'ai dû me tromper au IKEA et prendre plutôt un présentoir à chats !
Et ma belle gang de chats dans la fenêtre alors qu'il y a un oiseau ou un écureuil dans l'arbre juste à côté. Si vous cherchez Clipi, c'est le spot blanc en bas à droite, derrière le divan !
lundi 7 novembre 2011
Potage de courge butternut, arachide et chipotle
J'ai déjà fait un potage de patate douce et arachide il y a quelques années, durant le premier mois de la vie de mon blog. J'ai gardé un excellent souvenir de cette recette. Quand j'ai vu cette nouvelle recette, j'ai su que j'adorerais ça. J'ai toutefois changé la patate douce pour de la courge butternut, car j'ai une cargaison de courges à cuisiner. Et avec le chipotle, je ne saurais vous dire combien c'est bon !
6 portions
1 oignon moyen, tranché
3 grosses gousses d'ail hachées
1 cuillère à soupe de gingembre frais râpé
1 cuillère à soupe d'huile
1 cuillère à thé de graines de coriandre moulues
1 courge butternet moyenne pelée, en dés
1 chipotle séché, la tige enlevée
4 tasses de bouillon de légumes
3 cuillères à soupe de beurre d'arachide
1 grosse boîte de tomates en dés (796 mL)
Sel et poivre au goût
Crème sûre ou yogourt nature pour servir
Faire revenir l'oignon dans l'huile jusqu'à transparent. Ajouter l'ail, le gingembre et la coriandre et cuire environ 1 minute. Ajouter le courge, le chipotle et le bouillon et porter à ébullition à couvert. Baisser le feu et mijoter jusqu'à ce que la courge soit cuite.
Réduire la moitié de la soupe en purée avec le beurre d'arachide. Remettre dans le chaudron et ajouter la boîte de tomates. Saler et poivrer. Réchauffer puis servir avec une bonne cuillérée de crème sûre ou de yogourt nature.
6 portions
1 oignon moyen, tranché
3 grosses gousses d'ail hachées
1 cuillère à soupe de gingembre frais râpé
1 cuillère à soupe d'huile
1 cuillère à thé de graines de coriandre moulues
1 courge butternet moyenne pelée, en dés
1 chipotle séché, la tige enlevée
4 tasses de bouillon de légumes
3 cuillères à soupe de beurre d'arachide
1 grosse boîte de tomates en dés (796 mL)
Sel et poivre au goût
Crème sûre ou yogourt nature pour servir
Faire revenir l'oignon dans l'huile jusqu'à transparent. Ajouter l'ail, le gingembre et la coriandre et cuire environ 1 minute. Ajouter le courge, le chipotle et le bouillon et porter à ébullition à couvert. Baisser le feu et mijoter jusqu'à ce que la courge soit cuite.
Réduire la moitié de la soupe en purée avec le beurre d'arachide. Remettre dans le chaudron et ajouter la boîte de tomates. Saler et poivrer. Réchauffer puis servir avec une bonne cuillérée de crème sûre ou de yogourt nature.
vendredi 4 novembre 2011
Palets aux légumes
Je les ai pris chez Joël qui les a lui-même pris chez Isa. Une recette très simple que je vais adopter quand j'ai plein de légumes à passer. J'imaginerais très bien une version qui contiendrait de la courge butternut, des coeurs de brocolis ou encore du panais. Il me manquait le pesto, à la place j'ai mis du parmesan et de l'ail.
On a beau dire, des palets de légumes, ce n'est pas très glamour, mais my god que c'est bon !! À refaire encore et encore !
6 gros palets ou 12 petits
1 courgette
1 grosse carotte
1 patate
1 échalotte française
60g de cheddar
1/4 tasse de parmesan râpé
Ail haché au goût
1 oeuf
1 cuillère à thé d'huile
Sel et poivre au goût
Au robot culinaire, râper la courge, la carotte, la patate, l'échalotte et le cheddar. Verser dans un grand bol et ajouter le reste des ingrédients. Bien mélanger.
Presser le mélange dans 6 moules à muffins (ils seront très pleins) ou 12 fonds de moules à muffins. Cuire au four à 400°F pendant 30 minutes ou jusqu'à bien dorés. Servir en entrée ou en accompagnement.
On a beau dire, des palets de légumes, ce n'est pas très glamour, mais my god que c'est bon !! À refaire encore et encore !
6 gros palets ou 12 petits
1 courgette
1 grosse carotte
1 patate
1 échalotte française
60g de cheddar
1/4 tasse de parmesan râpé
Ail haché au goût
1 oeuf
1 cuillère à thé d'huile
Sel et poivre au goût
Au robot culinaire, râper la courge, la carotte, la patate, l'échalotte et le cheddar. Verser dans un grand bol et ajouter le reste des ingrédients. Bien mélanger.
Presser le mélange dans 6 moules à muffins (ils seront très pleins) ou 12 fonds de moules à muffins. Cuire au four à 400°F pendant 30 minutes ou jusqu'à bien dorés. Servir en entrée ou en accompagnement.
mercredi 2 novembre 2011
Fudge au beurre d'arachide style Reese
Je ne sais pas si vous êtes comme moi. Quand je vois un pot de 1 kg de beurre d'arachide à l'épicerie, je l'achète parce que je trouve que c'est un excellent prix. Le seul problème : je ne suis pas une grande consommatrice de beurre d'arachide ! Le pot trône dans dans le garde-manger jusqu'à ce que je trouve une recette pour le cuisiner. Cette fois-ci, j'ai spotté cette recette en m'adonnant au food porn (ben oui, que voulez-vous... mon site de food porn préféré étant Tastespotting). En plus du bon goût de beurre d'arachide, on garnit le tout d'une ganache au chocolat au lait, rappelant le mariage arachide-chocolat au lait typique des Reese. Difficile à battre...
L'idée de faire ces fudges était d'en distribuer aux gens que je verrais durant le weekend de l'Halloween. Le problème : ça n'a jamais vraiment pris !! Le fudge est resté très très mou et la ganache n'a jamais figé. Pour la ganache, c'est ma faute, j'aurais dû y penser. Le chocolat au lait ne se comporte pas du tout de la même façon que le chocolat noir quand on en fait une ganache. Il est donc resté très coulant. Pour le fudge, je suis loin d'être une experte en la matière, alors si vous avez une explication je suis preneuse !
Quand j'ai quitté, j'ai dû amener le plat de fugde avec moi et le laisser dans les frigos des gens chez qui j'allais, espérant un miracle qui n'est pas arrivé. Finalement, on a tout mangé à la cuillère ! Voir si on allait se priver d'un si bon fudge :)
Disons que si vous tentez la recette, ou bien vous utilisez du chocolat noir pour la ganache, ou bien vous coupez le fudge en carrés et vous enrobez de chocolat au lait tempéré.
1 tasse de sucre
1 tasse de cassonade
1/2 tasse lait
35g de guimauves (5 grosses guimauves)
1 1/2 tasses de beurre d'arachide crémeux
1 cuillère à thé de vanille
1/2 tasse de crème 35%-
1 tasse de pistoles de chocolat au lait (ou autre chocolat au goût)
Dans un chaudron, mélanger le sucre, la cassonade, le lait et les guimauves. Chauffer à feu moyen jusqu'à ce que le sucre sois dissous et les guimauves fondues. Retirer du feu. Incorporer la vanille et le beurre d'arachide. Verser dans un plat en pyrex 8x12 pouces (environ) graissé et chemisé d'un papier ciré. Laisser tiédir.
Lorsque le fudge est pris, chauffer la crème au point d'ébullition puis verser sur le chocolat. Bien mélanger. Si le chocolat ne fond pas en entier, chauffer quelques secondes au micro-ondes et mélanger. Étaler la ganache sur le fudge. Laisser prendre au frais 1-2 heures.
Démouler et découper en petits carrés. Conserver au frigo dans un plat hermétique jusqu'à 1 semaine.
L'idée de faire ces fudges était d'en distribuer aux gens que je verrais durant le weekend de l'Halloween. Le problème : ça n'a jamais vraiment pris !! Le fudge est resté très très mou et la ganache n'a jamais figé. Pour la ganache, c'est ma faute, j'aurais dû y penser. Le chocolat au lait ne se comporte pas du tout de la même façon que le chocolat noir quand on en fait une ganache. Il est donc resté très coulant. Pour le fudge, je suis loin d'être une experte en la matière, alors si vous avez une explication je suis preneuse !
Quand j'ai quitté, j'ai dû amener le plat de fugde avec moi et le laisser dans les frigos des gens chez qui j'allais, espérant un miracle qui n'est pas arrivé. Finalement, on a tout mangé à la cuillère ! Voir si on allait se priver d'un si bon fudge :)
Disons que si vous tentez la recette, ou bien vous utilisez du chocolat noir pour la ganache, ou bien vous coupez le fudge en carrés et vous enrobez de chocolat au lait tempéré.
1 tasse de sucre
1 tasse de cassonade
1/2 tasse lait
35g de guimauves (5 grosses guimauves)
1 1/2 tasses de beurre d'arachide crémeux
1 cuillère à thé de vanille
1/2 tasse de crème 35%-
1 tasse de pistoles de chocolat au lait (ou autre chocolat au goût)
Dans un chaudron, mélanger le sucre, la cassonade, le lait et les guimauves. Chauffer à feu moyen jusqu'à ce que le sucre sois dissous et les guimauves fondues. Retirer du feu. Incorporer la vanille et le beurre d'arachide. Verser dans un plat en pyrex 8x12 pouces (environ) graissé et chemisé d'un papier ciré. Laisser tiédir.
Lorsque le fudge est pris, chauffer la crème au point d'ébullition puis verser sur le chocolat. Bien mélanger. Si le chocolat ne fond pas en entier, chauffer quelques secondes au micro-ondes et mélanger. Étaler la ganache sur le fudge. Laisser prendre au frais 1-2 heures.
Démouler et découper en petits carrés. Conserver au frigo dans un plat hermétique jusqu'à 1 semaine.
lundi 31 octobre 2011
Carpaccio de thon au balsamique vieilli
Le thon cru, j'adore. Mais c'est une gâterie que je me paie plutôt rarement car très cher et surpêché. Habituellement, j'en fait des sushis ou des tartares, mais cette fois-ci j'avais envie de changer. Un carpaccio tiens ! Je n'en ai jamais fait ! Il y a peut-être une raison à ça... Moi et les tranches minces - limite transparentes - de quoi que ce soit, ça fait deux. Vous remarquerez que mon carpaccio n'est pas très fin (mais c'est réellement le mieux que je puisse faire !). Il serait probablement plus facile de faire des tranches minces en congelant légèrement le poisson avant la coupe. Mais pas le temps un soir de semaine. J'ai faim.
Maintenant qu'on a tranché, on met quoi sur ce poisson ? Un peu d'huile et pourquoi pas cet excellent vinaigre balsamique vieilli que m'a donné mon papa ? En plus, thon et balsamique, ce sont des saveurs qui vont tellement bien ensemble. Hop, un peu de fleur de sel (pas trop !!!), un tapon d'aneth pour la couleur. A-DA-DA ! Maintenant, à votre tour !
1 portion
150-175g de thon frais
Un trait d'huile au choix
Un trait de vinaigre balsamique vieilli
Une pincée de fleur de sel
Aneth si désiré
Trancher très finement le thon et l'étaler dans une grande assiette. Arroser d'huile, de vinaigre et saupoudrer de sel. Garnir d'aneth. Servir immédiatement.
Maintenant qu'on a tranché, on met quoi sur ce poisson ? Un peu d'huile et pourquoi pas cet excellent vinaigre balsamique vieilli que m'a donné mon papa ? En plus, thon et balsamique, ce sont des saveurs qui vont tellement bien ensemble. Hop, un peu de fleur de sel (pas trop !!!), un tapon d'aneth pour la couleur. A-DA-DA ! Maintenant, à votre tour !
1 portion
150-175g de thon frais
Un trait d'huile au choix
Un trait de vinaigre balsamique vieilli
Une pincée de fleur de sel
Aneth si désiré
Trancher très finement le thon et l'étaler dans une grande assiette. Arroser d'huile, de vinaigre et saupoudrer de sel. Garnir d'aneth. Servir immédiatement.
samedi 29 octobre 2011
Mesclun à la noix de grenoble
Pour accompagner mon boeuf à la Fin du monde, j'ai opté pour une salade toute légère de Laura Calder. Pour l'occasion, j'ai acheté une petite bouteille d'huile de noix de grenoble (assez chère) en me disant que ça doit avoir un bon petit goût de noix. Je l'ai goûtée à la cuillère : non. C'est une huile très neutre. Je vous dirais donc d'utiliser l'huile qu'il vous plaira bien. Aussi, je trouvais que l'ajout d'aneth frais paraissait bizarre avec le reste des ingrédients, mais finalement c'était vraiment délicieux. Une petite salade simple et différente. Je ne suis pas de type salade et j'ai adoré !
Photo sur le blog de Jasmine.
4 portions
1 petit paquet de mesclun (142g)
1 grosse poignée de noix de grenoble
3 cuillères à soupe d'huile de noix (ou autre huile au choix)
Une pointe de moutarde de Dijon
Un trait de jus de citron
Un trait de vinaigre de vin rouge (quantité au goût)
Sel et poivre
Aneth frais grossièrement déchiré
Rôtir les noix sur une plaque allant au four à 350°F jusqu'à ce qu'elles dégagent leur odeur, environ 10 minutes. Hacher grossièrement. Réserver.
Bien émulsionner l'huile, la moutarde, le jus de citron et le vinaigre. Saler et poivrer. Rectifier la quantité de vinaigre au besoin.
Dans un grand bol, déposer le mesclun, l'aneth et les noix hachées. Ajouter quelques cuillérées de vinaigrette et bien mélanger. Servir.
Photo sur le blog de Jasmine.
4 portions
1 petit paquet de mesclun (142g)
1 grosse poignée de noix de grenoble
3 cuillères à soupe d'huile de noix (ou autre huile au choix)
Une pointe de moutarde de Dijon
Un trait de jus de citron
Un trait de vinaigre de vin rouge (quantité au goût)
Sel et poivre
Aneth frais grossièrement déchiré
Rôtir les noix sur une plaque allant au four à 350°F jusqu'à ce qu'elles dégagent leur odeur, environ 10 minutes. Hacher grossièrement. Réserver.
Bien émulsionner l'huile, la moutarde, le jus de citron et le vinaigre. Saler et poivrer. Rectifier la quantité de vinaigre au besoin.
Dans un grand bol, déposer le mesclun, l'aneth et les noix hachées. Ajouter quelques cuillérées de vinaigrette et bien mélanger. Servir.
jeudi 27 octobre 2011
Boeuf à la Fin du monde
Vous ne rêvez pas, je publie bel et bien une recette de boeuf, la première sur ce blog en 5 ans ! C'est que voyez-vous, je n'aime pas tellement le boeuf. Mais j'avais des bières en stock, reçues au début de l'été dans la cadre du relancement de la 1837 par Unibroue, et je devais bien les cuisiner. J'ai bu les plus légères, mais je ne suis pas très bière, alors les chances étaient bien minces pour que je boive les Fin du monde qu'il y avait dans la caisse.
Dans le cadre de notre repas mensuel thématique, j'ai choisi la cuisine française de Laura Calder comme thème. Je regarde souvent son émission, mais je me suis rendue compte que côté plats principaux, il n'y avait pas grand chose d'extravagant ni d'élaboré. Beaucoup de plats simples ou de base. Pas que ce soit un problème en soi, mais rien n'attirait réellement mon attention. Quand j'ai vu le boeuf à la bière, je me suis dit que ça serait une belle occasion de goûter encore à cette viande que je n'aime pas tellement et d'utiliser une de mes bières.
J'ai d'abord suivi la recette à la lettre, mais à la fin de la cuisson, je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas assez de sauce. Les cubes n'étaient pas bien recouverts et la viande a séché. Aussi, j'ai trouvé que la viande manquait de moelleux, donc je suggère d'utiliser une coupe qui contient une certaine quantité de gras. Au niveau de la sauce, c'était vraiment délicieux mais pas mal costaud ! Toutefois, il n'y en avait pas assez et j'ai dû en refaire le lendemain matin en prévision du dîner. La recette que je publie est déjà modifiée pour vous assurer que vous aurez assez de sauce.
Mon verdict ? Ça ne m'a pas renoué avec la bête, je n'aime toujours pas le boeuf. Toutefois, je n'hésiterais pas à refaire la recette en utilisant de l'agneau à la place du boeuf car la sauce est excellente.
J'ai oublié mon appareil-photo à l'occasion de ce dîner. Les photos sont chez Jasmine.
4 portions
3 cuillères à soupe de beurre
1/2 cuillère à soupe d'huile d'olive
1 1/2 lbs de cubes de boeuf
2 oignons tranchés
2 gousses d'ail hachées
Sel et poivre
2 cuillère à soupe de farine
1/2 cuillère à soupe de cassonade (je l'ai oubliée !)
1 1/2 tasse de bouillon de boeuf
2 Fin du monde (2 x 341 mL)
1 cuillère à soupe de vinaigre de vin rouge
1 bouquet garni (quelques brins de thym et de persil attachés ensemble, une feuille de laurier)
Dans un grand plat en fonte émaillé, fondre 2 cuillères à thé de beurre dans l'huile. Faire revenir le boeuf de chaque côté jusqu'à bien doré. Procéder en plusieurs fois au besoin (3 fois pour moi) et réserver.
Ajouter 1 cuillère à thé de beurre dans le plat en fonte. Faire revenir les oignons à feux doux pendant environ 10-15 minutes pour les ramollir. Ajouter l'ail et faire revenir quelques minutes. Réserver.
Chauffer le four à 325°F.
Ajouter 2 cuillères à soupe de beurre dans le plat en fonte. Ajouter la farine et la cassonade et bien mélanger pour faire un roux. Incorporer le bouillon lentement en mélangeant bien pour éviter les grumeaux. Verser la bière et le vinaigre de vin et bien mélanger. Bouillir à feu élevé jusqu'à épaississement, environ 10 minutes. (Attention, ça fait beaucoup de mousse !) Retirer du feu.
Déposer la moitié des oignons dans le plat en fonte, la moitié du boeuf, le bouquet garni, le reste des oignons puis le reste du boeuf en salant et en poivrant après chaque étage. Mélanger légèrement pour répartir la sauce, couvrir et cuire au four pendant 2h30.
On peut servir immédiatement avec des nouilles aux oeufs et une salade ou le laisser refroidir et le réchauffer le lendemain. C'est encore meilleur réchauffé.
Dans le cadre de notre repas mensuel thématique, j'ai choisi la cuisine française de Laura Calder comme thème. Je regarde souvent son émission, mais je me suis rendue compte que côté plats principaux, il n'y avait pas grand chose d'extravagant ni d'élaboré. Beaucoup de plats simples ou de base. Pas que ce soit un problème en soi, mais rien n'attirait réellement mon attention. Quand j'ai vu le boeuf à la bière, je me suis dit que ça serait une belle occasion de goûter encore à cette viande que je n'aime pas tellement et d'utiliser une de mes bières.
J'ai d'abord suivi la recette à la lettre, mais à la fin de la cuisson, je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas assez de sauce. Les cubes n'étaient pas bien recouverts et la viande a séché. Aussi, j'ai trouvé que la viande manquait de moelleux, donc je suggère d'utiliser une coupe qui contient une certaine quantité de gras. Au niveau de la sauce, c'était vraiment délicieux mais pas mal costaud ! Toutefois, il n'y en avait pas assez et j'ai dû en refaire le lendemain matin en prévision du dîner. La recette que je publie est déjà modifiée pour vous assurer que vous aurez assez de sauce.
Mon verdict ? Ça ne m'a pas renoué avec la bête, je n'aime toujours pas le boeuf. Toutefois, je n'hésiterais pas à refaire la recette en utilisant de l'agneau à la place du boeuf car la sauce est excellente.
J'ai oublié mon appareil-photo à l'occasion de ce dîner. Les photos sont chez Jasmine.
4 portions
3 cuillères à soupe de beurre
1/2 cuillère à soupe d'huile d'olive
1 1/2 lbs de cubes de boeuf
2 oignons tranchés
2 gousses d'ail hachées
Sel et poivre
2 cuillère à soupe de farine
1/2 cuillère à soupe de cassonade (je l'ai oubliée !)
1 1/2 tasse de bouillon de boeuf
2 Fin du monde (2 x 341 mL)
1 cuillère à soupe de vinaigre de vin rouge
1 bouquet garni (quelques brins de thym et de persil attachés ensemble, une feuille de laurier)
Dans un grand plat en fonte émaillé, fondre 2 cuillères à thé de beurre dans l'huile. Faire revenir le boeuf de chaque côté jusqu'à bien doré. Procéder en plusieurs fois au besoin (3 fois pour moi) et réserver.
Ajouter 1 cuillère à thé de beurre dans le plat en fonte. Faire revenir les oignons à feux doux pendant environ 10-15 minutes pour les ramollir. Ajouter l'ail et faire revenir quelques minutes. Réserver.
Chauffer le four à 325°F.
Ajouter 2 cuillères à soupe de beurre dans le plat en fonte. Ajouter la farine et la cassonade et bien mélanger pour faire un roux. Incorporer le bouillon lentement en mélangeant bien pour éviter les grumeaux. Verser la bière et le vinaigre de vin et bien mélanger. Bouillir à feu élevé jusqu'à épaississement, environ 10 minutes. (Attention, ça fait beaucoup de mousse !) Retirer du feu.
Déposer la moitié des oignons dans le plat en fonte, la moitié du boeuf, le bouquet garni, le reste des oignons puis le reste du boeuf en salant et en poivrant après chaque étage. Mélanger légèrement pour répartir la sauce, couvrir et cuire au four pendant 2h30.
On peut servir immédiatement avec des nouilles aux oeufs et une salade ou le laisser refroidir et le réchauffer le lendemain. C'est encore meilleur réchauffé.
mardi 25 octobre 2011
Petits pains au cheddar et chipotle
Encore et toujours le chipotle ! Depuis que j'ai découvert cet ingrédient, je veux l'essayer dans tout ! Cette fois-ci, je me suis inspirée d'une recette de chez Chako. J'ai décidé de faire une version entièrement salée.
Super recette, ça se prépare en 2 minutes, ça cuit en 20, et c'est englouti en 2 bouchées. Ça goûte bon le cheddar et le piquant du chipotle est juste parfait. J'aime tellement ça que j'en ai mangé pour déjeuner ! Je le recommanderais aussi en accompagnement d'une bonne soupe bien relevée. À refaire encore et encore et encore...
12 petits pains
125g de farine
1/2 cuillère à soupe de poudre à pâte
1/2 cuillère à thé de sel
1 oeuf
2 cuillères à soupe d'huile de canola
110 mL de lait
125g de cheddar râpé (j'aurais voulu du fort, mais j'avais juste du orange)
1 petit chipotle réhydraté dans l'eau bouillante, haché
Dans un bol, fouetter l'huile, l'oeuf, le lait et le sel. Réserver.
Dans un petit bol, tamiser la farine et la poudre à pâte. Incorporer dans le mélange liquide et mélanger jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène. Ajouter le fromage et le chipotle.
Répartir dans 12 petits moules à muffins ou à financiers. Cuire au four à 350°F pendant 20-25 minutes.
Super recette, ça se prépare en 2 minutes, ça cuit en 20, et c'est englouti en 2 bouchées. Ça goûte bon le cheddar et le piquant du chipotle est juste parfait. J'aime tellement ça que j'en ai mangé pour déjeuner ! Je le recommanderais aussi en accompagnement d'une bonne soupe bien relevée. À refaire encore et encore et encore...
12 petits pains
125g de farine
1/2 cuillère à soupe de poudre à pâte
1/2 cuillère à thé de sel
1 oeuf
2 cuillères à soupe d'huile de canola
110 mL de lait
125g de cheddar râpé (j'aurais voulu du fort, mais j'avais juste du orange)
1 petit chipotle réhydraté dans l'eau bouillante, haché
Dans un bol, fouetter l'huile, l'oeuf, le lait et le sel. Réserver.
Dans un petit bol, tamiser la farine et la poudre à pâte. Incorporer dans le mélange liquide et mélanger jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène. Ajouter le fromage et le chipotle.
Répartir dans 12 petits moules à muffins ou à financiers. Cuire au four à 350°F pendant 20-25 minutes.
dimanche 23 octobre 2011
Cupcakes latté épicé à la citrouille
Je ne suis pas une adepte des chaînes de cafés. Mais j'ai un excellent souvenir d'un latté chaï à la citrouille que j'avais bu avec Mylène en regardant des livres de recettes de desserts dans le sous-sol du Chapters sur Ste-Catherine. Vous comprenez donc que lorsque je suis tombée sur ces cupcakes qui ont été conçus sur le même principe que ladite boisson que, semble-t-il, je ne suis pas la seule à apprécier, j'ai sauté sur l'occasion de l'essayer ! Avec la quantité de courge de toutes sortes que j'ai chez moi, il faut bien que je me trouve des recettes pour les passer. Et pas que de la soupe SVP... !
J'ai changé le mélange d'épices de la recette car je trouvais que cannelle, muscade et girofle, ça faisait épices de Noël (et on n'est pas rendu à Noël quand même !). J'ai donc retiré le clou et ajouté de la cardamome, du gingembre et de l'anis, et diminué la cannelle. Je ne dirais pas que le produit fini goûte vraiment comme le latté, mais c'est bon quelque chose de rare !
12 cupcakes
1 1/3 tasse de farine
1 1/2 cuillère à soupe d'espresso en poudre (café en poudre pour moi)
1 cuillère à thé de bicarbonate de soude
1 cuillère à thé de poudre à pâte
1/4 cuillère à thé de cannelle
1/2 cuillère à thé de cardamome
1/8 cuillère à thé de muscade
1/8 cuillère à thé de gingembre moulu
1/16 cuillère à thé d'anis étoilé moulu
Une pincée de sel
225g de purée de citrouille
1/2 tasse de cassonade
1/4 tasse d'huile de canola
2 oeufs
Caramel
Crème fouettée
Mélanger la farine, l'espresso, le bicarbonate de soude, la poudre à pâte, le sel et les épices. Réserver.
Dans un grand bol, fouetter la citrouille, l'huile et la cassonade. Ajouter les oeufs un à un en battant entre chaque ajout. Incoporer le mélange sec en deux fois et battre jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène.
Répartir dans 12 moules à muffins et cuire au four à 350°F pendant 20-25 minutes.
Laisser tiédir puis garnir de crème fouettée et caramel. (Pour ma part, j'ai tartiné de dulce de leche et garni de crème fouettée.)
J'ai changé le mélange d'épices de la recette car je trouvais que cannelle, muscade et girofle, ça faisait épices de Noël (et on n'est pas rendu à Noël quand même !). J'ai donc retiré le clou et ajouté de la cardamome, du gingembre et de l'anis, et diminué la cannelle. Je ne dirais pas que le produit fini goûte vraiment comme le latté, mais c'est bon quelque chose de rare !
12 cupcakes
1 1/3 tasse de farine
1 1/2 cuillère à soupe d'espresso en poudre (café en poudre pour moi)
1 cuillère à thé de bicarbonate de soude
1 cuillère à thé de poudre à pâte
1/4 cuillère à thé de cannelle
1/2 cuillère à thé de cardamome
1/8 cuillère à thé de muscade
1/8 cuillère à thé de gingembre moulu
1/16 cuillère à thé d'anis étoilé moulu
Une pincée de sel
225g de purée de citrouille
1/2 tasse de cassonade
1/4 tasse d'huile de canola
2 oeufs
Caramel
Crème fouettée
Mélanger la farine, l'espresso, le bicarbonate de soude, la poudre à pâte, le sel et les épices. Réserver.
Dans un grand bol, fouetter la citrouille, l'huile et la cassonade. Ajouter les oeufs un à un en battant entre chaque ajout. Incoporer le mélange sec en deux fois et battre jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène.
Répartir dans 12 moules à muffins et cuire au four à 350°F pendant 20-25 minutes.
Laisser tiédir puis garnir de crème fouettée et caramel. (Pour ma part, j'ai tartiné de dulce de leche et garni de crème fouettée.)
vendredi 21 octobre 2011
Pancakes à la citrouille
Ces temps-ci, je prends toutes les recettes avec de la courge ou de la citrouille que je vois passer. Je dois écouler mon stock de courges ! Puisque j'ai reçu une petite citrouille dans mes paniers de légumes dernièrement, j'ai décidé de la réduire en purée et de l'utiliser dans différentes recettes. Celle-ci était sur la liste... depuis juste un peu trop longtemps, car quand j'ai voulu la faire, mon fond de cottage que je gardais pour l'occasion était passé date d'une semaine. Oups ! Pas grave, on met du lait à la place, mais évidemment ça a donné un mélange trop lisse, alors j'ai dû ajouter de la farine à la recette originale. Bien que cette recette se dit en être une de pancakes, c'est plutôt une pâte à crêpes. Il faudrait y ajouter de la poudre à pâte pour obtenir de beaux pancakes bien épais ! Ah oui, et pour l'occasion, j'ai décidé d'utiliser ma poêle happy face reçue à Noël (ouf, il était temps que je m'en serve !).
Pour obtenir la farine d'avoine, j'ai passé du gruau au moulin à café. Il restait des traces d'anis étoilé dans le moulin (car je l'avais rangé en me disant que je le nettoierais plus tard - aaaah paresse quand tu nous tiens, hihihi !). La saveur s'est mélangée à la farine et c'était absolument délicieux !
2 portions (6-8 petits pancakes de 3" de diamètre)
1/4 tasse de lait (ou fromage cottage)
1/4 tasse de purée de citrouille
3/8 tasse de gruau moulu en farine
2 cuillères à soupe de farine, selon consistance désirée
1 oeuf
Un trait de vanille
Épices au goût (anis étoilé, gingembre et cannelle pour moi)
Réduire l'ensemble des ingrédients en purée lisse au mélangeur. Cuire dans une poêle huilée à feu moyen-doux jusqu'à bien doré de chaque côté. Servir avec du sirop d'érable.
Pour obtenir la farine d'avoine, j'ai passé du gruau au moulin à café. Il restait des traces d'anis étoilé dans le moulin (car je l'avais rangé en me disant que je le nettoierais plus tard - aaaah paresse quand tu nous tiens, hihihi !). La saveur s'est mélangée à la farine et c'était absolument délicieux !
2 portions (6-8 petits pancakes de 3" de diamètre)
1/4 tasse de lait (ou fromage cottage)
1/4 tasse de purée de citrouille
3/8 tasse de gruau moulu en farine
2 cuillères à soupe de farine, selon consistance désirée
1 oeuf
Un trait de vanille
Épices au goût (anis étoilé, gingembre et cannelle pour moi)
Réduire l'ensemble des ingrédients en purée lisse au mélangeur. Cuire dans une poêle huilée à feu moyen-doux jusqu'à bien doré de chaque côté. Servir avec du sirop d'érable.
mercredi 19 octobre 2011
Pizza blanche au jambon et ricotta de chèvre de l'abbaye St-Benoît-du-lac
Je ne pensais pas publier cette recette, alors je ne l'ai pas prise en photo, mais puisque c'était juste trop bon, je tiens à l'avoir en archive car je suis certaine que je voudrai la refaire dans le futur. Donc pas de photo, mais simplement un souvenir d'une excellente pizza, d'une recette que j'ai créée sur le coin d'une table pour un souper dernière minute avec des amis.
6 portions
1/2 recette de pâte à pizza
250g de fromage ricotta de chèvre de l'Abbaye St-Benoît-du-lac (ou autre ricotta)
1 petit pot de crème sûre (250g)
125g de mozzarella râpé
1 petit oignon rouge tranché finement, les rondelles défaites
1 petit poivron rouge rôti
2-3 tranches de jambon blanc
Sel et poivre
Note : Le fromage ricotta de l'Abbaye St-Benoît-du-lac est un fromage légèrement pressé et donc plus ferme que le ricotta qu'on trouve à l'épicerie. Si vous utilisez le ricotta d'épicerie, vous aurez probablement besoin de moins de crème sûre car il est plus crémeux. Et si vous vous demandez où acheter le ricotta de l'abbaye, pour ma part je l'ai acheté directement à l'abbaye, près de Magog. Je ne sais pas si ce fromage est distribué ailleurs.
Préchauffer le four à 450°F et placer la grille au tiers inférieur (2e étage à partir du bas pour moi). Pour assurer une bonne cuisson de la pizza, il est bien important de positionner la grille à la bonne hauteur.
À la fourchette, émietter le ricotta. Ajouter la crème sûre, saler et poivrer et mélanger jusqu'à l'obtention d'un mélange assez homogène. Réserver.
Étaler la pâte à pizza sur une grande plaque rectangulaire chemisée d'un papier parchemin. Garnir du mélange de ricotta. Parsemer de mozzarella. Poivrer. Garnir de fines rondelles d'oignon, de lanières de poivron rouge rôti et de morceaux de jambon déchiré grossièrement.
Enfourner et cuire environ 15-20 minutes, jusqu'à ce que le pourtour de la pâte et le fromage soient dorés. Servir avec une salade.
6 portions
1/2 recette de pâte à pizza
250g de fromage ricotta de chèvre de l'Abbaye St-Benoît-du-lac (ou autre ricotta)
1 petit pot de crème sûre (250g)
125g de mozzarella râpé
1 petit oignon rouge tranché finement, les rondelles défaites
1 petit poivron rouge rôti
2-3 tranches de jambon blanc
Sel et poivre
Note : Le fromage ricotta de l'Abbaye St-Benoît-du-lac est un fromage légèrement pressé et donc plus ferme que le ricotta qu'on trouve à l'épicerie. Si vous utilisez le ricotta d'épicerie, vous aurez probablement besoin de moins de crème sûre car il est plus crémeux. Et si vous vous demandez où acheter le ricotta de l'abbaye, pour ma part je l'ai acheté directement à l'abbaye, près de Magog. Je ne sais pas si ce fromage est distribué ailleurs.
Préchauffer le four à 450°F et placer la grille au tiers inférieur (2e étage à partir du bas pour moi). Pour assurer une bonne cuisson de la pizza, il est bien important de positionner la grille à la bonne hauteur.
À la fourchette, émietter le ricotta. Ajouter la crème sûre, saler et poivrer et mélanger jusqu'à l'obtention d'un mélange assez homogène. Réserver.
Étaler la pâte à pizza sur une grande plaque rectangulaire chemisée d'un papier parchemin. Garnir du mélange de ricotta. Parsemer de mozzarella. Poivrer. Garnir de fines rondelles d'oignon, de lanières de poivron rouge rôti et de morceaux de jambon déchiré grossièrement.
Enfourner et cuire environ 15-20 minutes, jusqu'à ce que le pourtour de la pâte et le fromage soient dorés. Servir avec une salade.
lundi 17 octobre 2011
Soupe à l'ail
Petites natures, cette soupe n'est pas pour vous ! Vraiment, il faut aimer l'ail pour manger cette soupe. Heureusement, c'est mon cas. Et il faut aussi aimer éplucher de l'ail ! Ça c'est moins mon cas, et j'ai pass plus d'une heure à en éplucher (j'ai fait le double de la recette, donc 8 têtes d'ail jumbo...). Les petites pelures me collaient aux doigts et on a beau secouer les mains, ça ne décolle pas ! Étant donné la grande quantité d'ail, je vous conseille de faire cette soupe plus claire qu'épaisse. Je l'ai faite trop épaisse (avec juste 2 tasses de bouillon) et j'ai trouvé ça rough un peu au niveau goût ! Apprenez donc de mes erreurs et mettez bien 3-4 tasses de bouillon.
Je me suis inspirée d'une recette de Chef Simon.
8 portions
4 grosses tête d'ail (jumbo pour moi)
1 oignon haché grossièrement
2 échalotes françaises hachées grossièrement
1 kg de pommes de terre en dés
1 petit bouquet de thym frais
1 cuillère à soupe d'huile
3-4 tasses de bouillon de poulet (selon la consistance désirée)
Lait ou crème, si désiré (pas mis, mais j'en mettrai la prochaine fois au service)
Sel et poivre
Peler les gousses d'ail et les couper en deux.
Dans un grand chaudron, faire revenir dans l'huile l'ail, l'oignon, les échalotes pendant quelques minutes en brassant souvent, sans colorer. Ajouter les pommes de terre, le thym et le bouillon. Porter à ébullition puis laisser mijoter jusqu'à ce que les pommes de terre soient tendres, environ 30 minutes. Ajouter du lait ou de la crème, si désiré.
Réduire en purée lisse et servir avec crème sûre ou crème fouettée salée et un oeuf poché ou des croûtons.
Je me suis inspirée d'une recette de Chef Simon.
8 portions
4 grosses tête d'ail (jumbo pour moi)
1 oignon haché grossièrement
2 échalotes françaises hachées grossièrement
1 kg de pommes de terre en dés
1 petit bouquet de thym frais
1 cuillère à soupe d'huile
3-4 tasses de bouillon de poulet (selon la consistance désirée)
Lait ou crème, si désiré (pas mis, mais j'en mettrai la prochaine fois au service)
Sel et poivre
Peler les gousses d'ail et les couper en deux.
Dans un grand chaudron, faire revenir dans l'huile l'ail, l'oignon, les échalotes pendant quelques minutes en brassant souvent, sans colorer. Ajouter les pommes de terre, le thym et le bouillon. Porter à ébullition puis laisser mijoter jusqu'à ce que les pommes de terre soient tendres, environ 30 minutes. Ajouter du lait ou de la crème, si désiré.
Réduire en purée lisse et servir avec crème sûre ou crème fouettée salée et un oeuf poché ou des croûtons.
samedi 15 octobre 2011
Smoothie au kale et petits fruits
Quoi, du chou dans un smoothie ? Et pourquoi pas ? Vous me direz que mon smoothie est un peu trop rose pour contenir du kale, mais pourtant, il y en a ! Regardez bien, vous verrez de petits points verts. J'ai vu la recette chez Wishful chef (un blog que je viens de découvrir et que j'adore déjà, je veux faire toutes les recettes !) et je n'ai pas pu résister car j'avais justement du kale à passer. J'ai respecté la quantité de kale prescrite dans la recette, mais il est vrai que j'aurais pu en mettre plus car il ne goûte pas. Une belle façon de faire manger plus de fruits... et de légumes aux palais les plus difficiles !
1-2 portions
1 banane bien mûre, pas trop grosse
1-2 dattes dénoyautées, fraîches ou séchées
1/2 tasse de petits fruits mélangés (juste framboises cette fois-ci)
1/2 tasse de lait
3 feuilles de kale déchirées, la tige enlevée
Un peu d'eau pour allonger au besoin
Réduire l'ensemble des ingrédients en purée. Ajouter de l'eau au besoin si le mélange est trop épais. Déguster bien frais.
1-2 portions
1 banane bien mûre, pas trop grosse
1-2 dattes dénoyautées, fraîches ou séchées
1/2 tasse de petits fruits mélangés (juste framboises cette fois-ci)
1/2 tasse de lait
3 feuilles de kale déchirées, la tige enlevée
Un peu d'eau pour allonger au besoin
Réduire l'ensemble des ingrédients en purée. Ajouter de l'eau au besoin si le mélange est trop épais. Déguster bien frais.
mardi 4 octobre 2011
Chili au chipotle
Dans la lignée des recettes au chipotle, j'ai décidé de me faire un chili. En partant, je dois vous avouer que je n'aime pas le chili. Mais quand je suis tombée sur cette recette avec des tomatillos chez Epicurious, j'ai décidé d'essayer quand même. C'est que je suis têtue... Même quand je n'aime pas quelque chose, je m'entête à le réessayer en me disant qu'un jour, je vais finir par aimer ça. J'aurais voulu faire la version originale avec de la dinde mais je n'ai pas trouvé de dinde hachée à l'épicerie, alors j'ai plutôt opté pour du veau.
Eh bien cette fois, je dois déclarer forfait. Wow de wow ! C'est vraiment super bon ! Et pas mal piquant, ouf ! Mais il faut dire que je me suis aidée un peu en servant le tout avec des valeurs sûres : tortillas de maïs, fromage cheddar et crème sûre (heureusement, ça coupait le piquant). Définitivement à refaire !
6-8 portions
1/2 tasse de haricots blancs secs
1 gros piment chipotle séché
1/2 tasse d'eau bouillante
1 lb de tomatillos (frais ou en conserve ou tomates)
1 cuillère à soupe d'huile
2 oignons moyens hachés
4 gousses d'ail hachées
2 cuillères à thé de cumin
1 lb de veau haché
1 poivron vert haché
3 branches d'épazote séché (ou origan au goût)
Sel et poivre au goût
Tortillas de maïs, fromage râpé et crème sûre pour servir
La veille, tremper les haricots dans une grande quantité d'eau pendant toute la nuit. Égoutter, mijoter environ 1h puis égoutter à nouveau. Réserver.
Dans un bol, ébouillanter le chipotle. Laisser reposer quelques minutes. Ajouter les tomatillos et réduire en purée (avec l'eau). Réserver.
Faire revenir l'oignon et l'ail dans l'huile quelques minutes en brassant. Ajouter le cumin et bien mélanger. Incorporer le veau. Bien le défaire et cuire jusqu'à ce qu'il ne soit plus rosé. Ajouter la purée de tomatillos et chipotle, le poivron vert, l'épazote, le sel et le poivre. Laisser mijoter pendant une trentaine de minutes. Incorporer les haricots et réchauffer. Retirer l'épazote.
Servir dans des tortillas de maïs avec fromage et crème sûre. Mi-am.
Eh bien cette fois, je dois déclarer forfait. Wow de wow ! C'est vraiment super bon ! Et pas mal piquant, ouf ! Mais il faut dire que je me suis aidée un peu en servant le tout avec des valeurs sûres : tortillas de maïs, fromage cheddar et crème sûre (heureusement, ça coupait le piquant). Définitivement à refaire !
6-8 portions
1/2 tasse de haricots blancs secs
1 gros piment chipotle séché
1/2 tasse d'eau bouillante
1 lb de tomatillos (frais ou en conserve ou tomates)
1 cuillère à soupe d'huile
2 oignons moyens hachés
4 gousses d'ail hachées
2 cuillères à thé de cumin
1 lb de veau haché
1 poivron vert haché
3 branches d'épazote séché (ou origan au goût)
Sel et poivre au goût
Tortillas de maïs, fromage râpé et crème sûre pour servir
La veille, tremper les haricots dans une grande quantité d'eau pendant toute la nuit. Égoutter, mijoter environ 1h puis égoutter à nouveau. Réserver.
Dans un bol, ébouillanter le chipotle. Laisser reposer quelques minutes. Ajouter les tomatillos et réduire en purée (avec l'eau). Réserver.
Faire revenir l'oignon et l'ail dans l'huile quelques minutes en brassant. Ajouter le cumin et bien mélanger. Incorporer le veau. Bien le défaire et cuire jusqu'à ce qu'il ne soit plus rosé. Ajouter la purée de tomatillos et chipotle, le poivron vert, l'épazote, le sel et le poivre. Laisser mijoter pendant une trentaine de minutes. Incorporer les haricots et réchauffer. Retirer l'épazote.
Servir dans des tortillas de maïs avec fromage et crème sûre. Mi-am.
dimanche 2 octobre 2011
Compote de poires infusée au thé chaï et au miel
Mais que faire de toutes ces poires cueillies chez Jude Pomme ? Dans un moment d'illumination créé par Jasmine alors qu'elle faisait un gâteau chaï, je me suis dit que poire + chaï ça serait une maudite bonne idée. Je me mets donc à l'oeuvre, je pèle toutes mes poires et j'ajoute du thé chaï. Oh et puis quelques anis étoilés. Oh et puis une gousse de vanille fendue. Oh et puis pourquoi pas un peu de miel.
Cette compote fait bien changement de la classique compote de pommes. Bien sûr, il faut aimer le manger mou (j'adore !) mais avec des saveurs comme ça, c'est difficile de résister. J'aurais voulu vous prendre une belle photo mais les jours ont passé et j'ai mangé ma compote petit peu par petit peu (dans mon lunch, donc pas de photo) et arrivée au week-end il ne restait plus rien. Tant pis ! Mais bon, il faut dire que toutes les compotes se ressemblent un peu :) Je commence toutefois à avoir un peu honte de moi car ça fait 3 billets en ligne sans photo !
3 tasses
12 poires pelées, le coeur enlevé, en gros dés (Patten pour moi)
1 1/2 tasse d'eau bouillante
3 sachets de thé chaï
2 gros anis étoilés
1 gousse de vanille fendue et grattée
1/4 tasse de miel (au goût)
3 cuillères à soupe de jus de citron
Infuser le thé chaï quelques minutes dans l'eau bouillante. Retirer les sachets.
Déposer l'ensemble des ingrédients dans un grand chaudron. Porter à ébullition à feu moyen en brassant de temps en temps. Cuire environ 20 à 30 minutes en brassant régulièrement.
Retirer la gousse de vanille et l'anis. Ajuster la quantité de miel au besoin. Passe un coup de pied mélangeur si les poires n'ont pas assez compoté. Laisser tiédir.
Cette compote fait bien changement de la classique compote de pommes. Bien sûr, il faut aimer le manger mou (j'adore !) mais avec des saveurs comme ça, c'est difficile de résister. J'aurais voulu vous prendre une belle photo mais les jours ont passé et j'ai mangé ma compote petit peu par petit peu (dans mon lunch, donc pas de photo) et arrivée au week-end il ne restait plus rien. Tant pis ! Mais bon, il faut dire que toutes les compotes se ressemblent un peu :) Je commence toutefois à avoir un peu honte de moi car ça fait 3 billets en ligne sans photo !
3 tasses
12 poires pelées, le coeur enlevé, en gros dés (Patten pour moi)
1 1/2 tasse d'eau bouillante
3 sachets de thé chaï
2 gros anis étoilés
1 gousse de vanille fendue et grattée
1/4 tasse de miel (au goût)
3 cuillères à soupe de jus de citron
Infuser le thé chaï quelques minutes dans l'eau bouillante. Retirer les sachets.
Déposer l'ensemble des ingrédients dans un grand chaudron. Porter à ébullition à feu moyen en brassant de temps en temps. Cuire environ 20 à 30 minutes en brassant régulièrement.
Retirer la gousse de vanille et l'anis. Ajuster la quantité de miel au besoin. Passe un coup de pied mélangeur si les poires n'ont pas assez compoté. Laisser tiédir.
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