mercredi 30 mars 2011
Mon ordi est mort...
Bon, je vous annonce que depuis lundi soir, mon ordi est mort. J'ai bien tenté de publier une recette à partir de mon vieux portable, mais le texte est tout sorti d'un bloc quand j'ai tenté de le publier hier. Je vais donc aller porter mon ordi chez le docteur ce midi et j'attendrai son retour avant de publier d'autres recettes ! C'est dommage, j'avais un super tartare de truite à la mangue et à la framboise pour vous. J'espère que tout sera réparé d'ici la fin de la semaine !
dimanche 27 mars 2011
Cabane à sucre 2011
Ouf, j'en ai mis du temps pour publier ce billet ! Ça fait plus d'une semaine que j'ai eu la chance de dîner à la cabane à sucre Dupuis avec Isa, Kim et Joël (et compagnie). Un dîner que nous aurions facilement pu étirer jusqu'en soirée tant nous avions à discuter ! Nous avons été chanceux, le soleil était au rendez-vous (une des premières belles journées de printemps, malgré que c'était frais). Ce fut une rencontre bien agréable !
D'ailleurs, je tiens à remercier Kim et Isa pour les gourmandises dont elles nous ont fait cadeau ! Je vais devoir me constituer une réserve de petites douceurs pour donner en cadeau moi aussi, car je n'avais pas pensé à rien préparer. C'était absolument délicieux, et j'ai presque honte de dire qu'en 2 jours, il ne restait pratiquement plus rien de ces petits cadeaux !! Merci encore les filles !!
Je ne vous décrirai pas en détail le menu de la cabane (car c'est somme toute très semblable d'un endroit à l'autre), mais je tiens à partager avec vous une chose que je n'avais jamais goûtée avant : les oeufs brouillés cuits dans le sirop. Bien sûr, je connaissais le principe des oeufs dans le sirop, mais ceux-ci semblent avoir été brouillés puis cuits dans une marmite de sirop jusqu'à ce qu'ils soient littéralement confits. En fait, ça ne goûte pas tellement les oeufs, ça me rappelle plutôt la texture du pouding au pain noyé de sirop d'érable !! Un délice !
D'ailleurs, je tiens à remercier Kim et Isa pour les gourmandises dont elles nous ont fait cadeau ! Je vais devoir me constituer une réserve de petites douceurs pour donner en cadeau moi aussi, car je n'avais pas pensé à rien préparer. C'était absolument délicieux, et j'ai presque honte de dire qu'en 2 jours, il ne restait pratiquement plus rien de ces petits cadeaux !! Merci encore les filles !!
Je ne vous décrirai pas en détail le menu de la cabane (car c'est somme toute très semblable d'un endroit à l'autre), mais je tiens à partager avec vous une chose que je n'avais jamais goûtée avant : les oeufs brouillés cuits dans le sirop. Bien sûr, je connaissais le principe des oeufs dans le sirop, mais ceux-ci semblent avoir été brouillés puis cuits dans une marmite de sirop jusqu'à ce qu'ils soient littéralement confits. En fait, ça ne goûte pas tellement les oeufs, ça me rappelle plutôt la texture du pouding au pain noyé de sirop d'érable !! Un délice !
lundi 21 mars 2011
Les paniers de légumes bio : c'est le temps de vous inscrire !
Aujourd'hui, pas de recette ! Je veux plutôt faire la promotion de quelque chose qui me tient à coeur : l'agriculture soutenue par la communauté (ASC), mieux connue sous le terme de "paniers biologiques". À chaque année, partout à travers le Québec, des centaines d'agriculteurs biologiques offrent de vendre en avance leur récolte à des partenaires (vous et moi). Le concept est simple : on paie en avance et ils nous promettent de nous livrer de bons légumes frais à toutes les semaines de juin à octobre (peut varier selon les régions).
J'ai adhéré au mouvement de l'ASC il y a environ 6 ans et ce sera ma quatrième année en 2011. J'ai dû sauter 2 ans pour cause d'habiter seule et de ne pas avoir accès à des paniers pour une seule personne. Certaines personnes trouvent que c'est cher (dans mon cas : 327$ pour 4 mois de légumes). Considérant que vous aurez accès à des légumes plus frais qu'à l'épicerie, locaux (donc moins d'émission de gaz à effet de serre pour le transport + encourager l'économie locale), variés (incluant des trucs que vous n'avez jamais goûté de votre vie !), biologiques, en grande quantité et que vous aurez l'opportunité de développer une relation privilégiée avec la personne qui fait pousser vos légumes, en plus de pouvoir visiter la ferme et participer aux travaux (pour les fermes qui permettent aux partenaires de visiter et participer), je crois qu'au bout du compte, l'investissement en vaut la peine. Et puis on a la certitude de faire une bonne action. Re - "et puis", quand on fait les comptes, on se rend compte que ça ne revient pas nécessairement plus cher qu'à l'épicerie (et là je ne compare pas avec les tomates du Mexique molles, pockées et pleines d'eau qu'on nous vend à 1$ la livre, ni aux fraises de Californie qui n'ont pas de goût !).
Comment ça marche ? Il suffit de s'inscrire auprès de la ferme qui livre au point de chute de notre choix (voir le site web d'Équiterre ici). Il y a des points de chute presque partout au Québec, vous ne devriez pas avoir de difficulté à en trouver un près de chez vous ou près du travail. Ensuite, vous devez passer chercher vos légumes chaque semaine au point de chute, à l'heure prescrite. Je vous recommande fortement de prendre un panier plus petit que plus gros (j'ai un panier pour 1 personne et même à deux, on avait de la difficulté à en venir à bout l'été dernier). Au pire, vous rectifierez le tir l'an prochain.
Qu'est-ce que ça contient un panier bio ? Ça dépend des fermes. Certaines sont plus traditionnelles, d'autres explorent des avenues peu connues. Certaines régions permettent d'offrir des produits particuliers (ex. pommes dans le sud du Québec). Certaines fermes offrent aussi des produits transformés comme du jus, du fromage, des oeufs qu'on peut acheter en surplus. Si ce n'est pas déjà fait, vous pourrez découvrir des trucs comme le chou-rave, les tomates jaunes, les concombres porc-épic (!!!!) et une panoplie d'autres fruits et légumes. Pour ma part, ce sera ma deuxième année avec la ferme Aux Jardins de la Bergère et j'adore mon expérience. Non seulement Isabelle et Benoît sont des personnes ultra sympathiques et accueillantes, mais ils essaient TOUT ! Des poivrons ? De toutes les couleurs ! Des tomates ? De toutes les formes, de toutes les tailles et de toutes les couleurs ! Des morelles ? (Des QUOI ??) Ben je vous dis que c'est bon en maudit des morelles !
Si vous désirez comme moi encourager les producteurs de votre région et vous assurer une bonne portion de légumes de qualité cet été, le temps des inscriptions bat son plein. N'hésitez pas !
J'ai adhéré au mouvement de l'ASC il y a environ 6 ans et ce sera ma quatrième année en 2011. J'ai dû sauter 2 ans pour cause d'habiter seule et de ne pas avoir accès à des paniers pour une seule personne. Certaines personnes trouvent que c'est cher (dans mon cas : 327$ pour 4 mois de légumes). Considérant que vous aurez accès à des légumes plus frais qu'à l'épicerie, locaux (donc moins d'émission de gaz à effet de serre pour le transport + encourager l'économie locale), variés (incluant des trucs que vous n'avez jamais goûté de votre vie !), biologiques, en grande quantité et que vous aurez l'opportunité de développer une relation privilégiée avec la personne qui fait pousser vos légumes, en plus de pouvoir visiter la ferme et participer aux travaux (pour les fermes qui permettent aux partenaires de visiter et participer), je crois qu'au bout du compte, l'investissement en vaut la peine. Et puis on a la certitude de faire une bonne action. Re - "et puis", quand on fait les comptes, on se rend compte que ça ne revient pas nécessairement plus cher qu'à l'épicerie (et là je ne compare pas avec les tomates du Mexique molles, pockées et pleines d'eau qu'on nous vend à 1$ la livre, ni aux fraises de Californie qui n'ont pas de goût !).
Des beaux paquets de carottes multicolores que j'ai préparé pour les paniers des partenaires lors de ma visite à la ferme
Comment ça marche ? Il suffit de s'inscrire auprès de la ferme qui livre au point de chute de notre choix (voir le site web d'Équiterre ici). Il y a des points de chute presque partout au Québec, vous ne devriez pas avoir de difficulté à en trouver un près de chez vous ou près du travail. Ensuite, vous devez passer chercher vos légumes chaque semaine au point de chute, à l'heure prescrite. Je vous recommande fortement de prendre un panier plus petit que plus gros (j'ai un panier pour 1 personne et même à deux, on avait de la difficulté à en venir à bout l'été dernier). Au pire, vous rectifierez le tir l'an prochain.
Un exemple d'un panier pour 1 personne en début de saison : 5 tomates, deux concombres libanais, 1 poivron blanc, une botte d'oignons verts, une laitue, un paquet de pois mange-tout, un paquet de haricots violets, un paquet de gadelles, un paquet de cerises de terre, un pâtisson, un paquet de mini tomates variées. Les paniers de fin de saison sont beaucoup plus garnis quand on arrive à la récolte des melons, courges, patates, carottes, oignons, poireaux, betteraves, etc.
Qu'est-ce que ça contient un panier bio ? Ça dépend des fermes. Certaines sont plus traditionnelles, d'autres explorent des avenues peu connues. Certaines régions permettent d'offrir des produits particuliers (ex. pommes dans le sud du Québec). Certaines fermes offrent aussi des produits transformés comme du jus, du fromage, des oeufs qu'on peut acheter en surplus. Si ce n'est pas déjà fait, vous pourrez découvrir des trucs comme le chou-rave, les tomates jaunes, les concombres porc-épic (!!!!) et une panoplie d'autres fruits et légumes. Pour ma part, ce sera ma deuxième année avec la ferme Aux Jardins de la Bergère et j'adore mon expérience. Non seulement Isabelle et Benoît sont des personnes ultra sympathiques et accueillantes, mais ils essaient TOUT ! Des poivrons ? De toutes les couleurs ! Des tomates ? De toutes les formes, de toutes les tailles et de toutes les couleurs ! Des morelles ? (Des QUOI ??) Ben je vous dis que c'est bon en maudit des morelles !
Si vous désirez comme moi encourager les producteurs de votre région et vous assurer une bonne portion de légumes de qualité cet été, le temps des inscriptions bat son plein. N'hésitez pas !
vendredi 18 mars 2011
Sauté de crevettes au gingembre sur nouilles soba
J'ai fait cette recette avec ce que j'avais sous la main. C'est rapide, délicieux et étonnamment bourratif, probablement à cause des nouilles soba qui sont faites à base de sarrasin. Si vous n'avez pas de nouilles soba, vous pouvez les remplacer par tout autre type de nouilles - udon (facile à trouver chez Loblaws, Provigo, Maxi dans la section asiatique), ramen, vermicelles, nouilles de riz plates - ou encore tout simplement du riz.
1 portion
150g de crevettes
200g de légumes mélangés surgelés
40g de nouilles soba
1 cuillère à soupe d'huile
Une pointe de sambal oelek
1 cuillère à soupe de gingembre haché finement
1 cuillère à soupe de mirin
Sauce soya au goût
Sel et poivre au goût
Coriandre fraîche pour décorer
Cuire les nouilles selon les instructions du fabricant. Égoutter et réserver.
Pendant ce temps, faire revenir les légumes dans l'huile. Lorsqu'ils sont presque à point, ajouter les crevettes et les assaisonnements, sauf la coriandre. Lorsque les crevettes sont cuites, incorporer les nouilles et bien mélanger.
Servir avec de la coriandre ciselée.
1 portion
150g de crevettes
200g de légumes mélangés surgelés
40g de nouilles soba
1 cuillère à soupe d'huile
Une pointe de sambal oelek
1 cuillère à soupe de gingembre haché finement
1 cuillère à soupe de mirin
Sauce soya au goût
Sel et poivre au goût
Coriandre fraîche pour décorer
Cuire les nouilles selon les instructions du fabricant. Égoutter et réserver.
Pendant ce temps, faire revenir les légumes dans l'huile. Lorsqu'ils sont presque à point, ajouter les crevettes et les assaisonnements, sauf la coriandre. Lorsque les crevettes sont cuites, incorporer les nouilles et bien mélanger.
Servir avec de la coriandre ciselée.
mercredi 16 mars 2011
Salade de haricots
Cette semaine, j'ai emprunté à la bibliothèque le livre de Jamie Oliver "Jamie's dinner". Je ne suis pas vraiment fan de Jamie en partant, mais en feuilletant le livre, j'ai trouvé quelques recettes qui avaient l'air bien. Bon, le seul problème avec ce livre, et ça me met hors de moi, c'est la traduction. Le livre est en français, mais dans un espèce de français parlé au "je", et non pas littéraire comme la plupart des livres de recettes. Pas que ce style me dérange en soi (mon blog aussi est écrit de cette façon, après tout !). C'est juste qu'en le lisant, j'ai l'impression d'entendre un espèce de mauvais "voice over". Vous savez ces traductions pas naturelles du tout qu'on voit dans les émissions de cuisine traduites en français, avec des intonations de voix étranges propres à la traduction de bas niveau (pensez aux info-pubs, c'est le meilleur exemple !). Je l'entends dans ma tête quand je lis ce livre !! C'est insupportable !
Bref, tout ça pour dire que cette recette a attiré mon attention car on y parle de "2 à 3 cuillérées à soupe bombées de moutarde forte". Mmmmm... Je suis complètement folle de la moutarde. Je dois bien en avoir 7 pots de saveurs différentes dans mon frigo. Et j'adore aussi les petites fèves. Cette recette était toute indiquée pour moi !
3-4 portions
4 grosses poignées de haricots verts, équeutés
3 cuillères à soupe bombées de moutarde de Dijon
Une touche de vinaigre de riz
1/3 tasse d'huile d'olive
Sel et poivre au goût
2 cuillères à soupe d'oignon rouge finement haché
Une bonne pincée de poudre d'ail
Porter un grand chaudron d'eau à ébullition. Y plonger les haricots et cuire pendant environ 5 minutes, ou jusqu'à ce que les haricots soient cuits mais encore légèrement croquants. Égoutter.
Dans un grand bol, fouetter la moutarde, l'huile, le vinaigre, la poudre d'ail, le sel et le poivre. Ajouter les oignons et bien mélanger. Ajouter les haricots encore chauds et brasser pour bien enrober.
Servir immédiatement.
Bref, tout ça pour dire que cette recette a attiré mon attention car on y parle de "2 à 3 cuillérées à soupe bombées de moutarde forte". Mmmmm... Je suis complètement folle de la moutarde. Je dois bien en avoir 7 pots de saveurs différentes dans mon frigo. Et j'adore aussi les petites fèves. Cette recette était toute indiquée pour moi !
3-4 portions
4 grosses poignées de haricots verts, équeutés
3 cuillères à soupe bombées de moutarde de Dijon
Une touche de vinaigre de riz
1/3 tasse d'huile d'olive
Sel et poivre au goût
2 cuillères à soupe d'oignon rouge finement haché
Une bonne pincée de poudre d'ail
Porter un grand chaudron d'eau à ébullition. Y plonger les haricots et cuire pendant environ 5 minutes, ou jusqu'à ce que les haricots soient cuits mais encore légèrement croquants. Égoutter.
Dans un grand bol, fouetter la moutarde, l'huile, le vinaigre, la poudre d'ail, le sel et le poivre. Ajouter les oignons et bien mélanger. Ajouter les haricots encore chauds et brasser pour bien enrober.
Servir immédiatement.
lundi 14 mars 2011
Ceviche de tilapia
Ce mois-ci avec les Daring Cooks, nous étions propulsés au Pérou ! Deux recettes étaient proposées, mais puisque les dernières semaines ont été très occupées pour moi, j'ai seulement réalisé une des deux, soit le ceviche. Habituellement, je réalise mes ceviches avec des pétoncles car je ne savais pas trop quel poisson choisir. J'aurais voulu utiliser du vivaneau, qui était d'ailleurs annoncé dans la circulaire, mais il n'y en avait plus à l'épicerie. J'ai plutôt opté pour du tilapia.
La recette est somme toute classique et facile à réaliser. Si vous n'êtes pas habitué au poisson cru, c'est une bonne manière de commencer car la chair se trouve à être cuite par le jus de lime. On s'entend, cette "cuisson" n'a rien à voir avec celle au four et la texture en bouche est plus près du poisson cru que du poisson cuit. C'est une recette rafraîchissante qui se sert autant en entrée qu'en plat principal.
1 portion
150g de tilapia frais
1 gousse d'ail écrasée
Une pointe de sambal oelek
1/4 tasse de jus de lime
Coriandre hachée au goût
Un peu d'oignon rouge tranché très finement
Sel et poivre
Mélanger l'ail, le sambal, le jus de lime et la coriandre. Bien mélanger. Ajouter le poisson découpé en bouchées (cubes de 1 cm de côté pour moi). Bien enrober le poisson avec le mélange de jus de lime et laisser reposer une dizaine de minutes environ.
Pendant ce temps, faire tremper les oignons tranchés dans l'eau froide.
Après le temps de repos, ajouter le sel et le poivre. Bien mélanger. Servir en prenant soin d'égoutter le surplus de liquide. Décorer avec les oignons. Déguster immédiatement.
La recette est somme toute classique et facile à réaliser. Si vous n'êtes pas habitué au poisson cru, c'est une bonne manière de commencer car la chair se trouve à être cuite par le jus de lime. On s'entend, cette "cuisson" n'a rien à voir avec celle au four et la texture en bouche est plus près du poisson cru que du poisson cuit. C'est une recette rafraîchissante qui se sert autant en entrée qu'en plat principal.
1 portion
150g de tilapia frais
1 gousse d'ail écrasée
Une pointe de sambal oelek
1/4 tasse de jus de lime
Coriandre hachée au goût
Un peu d'oignon rouge tranché très finement
Sel et poivre
Mélanger l'ail, le sambal, le jus de lime et la coriandre. Bien mélanger. Ajouter le poisson découpé en bouchées (cubes de 1 cm de côté pour moi). Bien enrober le poisson avec le mélange de jus de lime et laisser reposer une dizaine de minutes environ.
Pendant ce temps, faire tremper les oignons tranchés dans l'eau froide.
Après le temps de repos, ajouter le sel et le poivre. Bien mélanger. Servir en prenant soin d'égoutter le surplus de liquide. Décorer avec les oignons. Déguster immédiatement.
samedi 12 mars 2011
Gâteau aux noix de grenoble
J'ai vu Laura Calder réaliser cette recette il y a plusieurs semaines maintenant. Je me suis jurée de la préparer à plusieurs reprises, mais elle passait toujours en dernier sur ma liste car elle salit passablement de vaisselle. Ce soir fut enfin le grand soir !
Ce gâteau est tout simplement sublime : moelleux, riche, sucré juste ce qu'il faut. Il serait merveilleux avec de la crème fouettée. Vous remarquerez qu'il ne contient pas de farine et à peine deux cuillérées de chapelure. Il est donc très facile à adapter pour nos amis intolérants au gluten car on peut remplacer la chapelure par n'importe quel produit sans gluten (pain rassis sans gluten réduit en chapelure, craquelins sans gluten réduits en poudre, farine sans gluten, fécule de maïs à la limite !).
Attention de ne pas trop faire cuire le gâteau. Il aura une texture humide mais c'est normal étant donné sa composition.
8 portions
115g de noix de grenoble
2 cuillères à soupe de chapelure nature
3 gros oeufs
1/2 tasse de sucre
1/4 tasse de beurre fondu
1 cuillère à soupe de Ricard (ou café, Bailey's, Cognac, etc.)
Préchauffer le four à 350°F. Chemiser un moule rond de 8 pouces avec du papier parchemin. Réserver.
Au robot culinaire, réduire en poudre les noix de grenoble avec la chapelure. Réserver dans un grand bol.
Déposer les blancs d'oeufs dans un bol et les jaunes dans un autre bol. Monter les blancs en pics fermes. Réserver.
Déposer le bol contenant les jaunes sur une casserole d'eau bouillante, sans que le bol ne touche à l'eau. Ajouter le sucre et battre pendant quelques minutes, jusqu'à ce que le mélange ait triplé, blanchi et qu'il tombe en rubans. Verser sur les noix. Ajouter le beurre et le Ricard et mélanger délicatement jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène.
Ajouter une bonne cuillérée de blancs d'oeufs et brasser pour détendre le mélange. Incorporer le reste des blancs et plier délicatement jusqu'à homogénéité.
Verser dans le moule et cuire à four jusqu'à ce qu'un cure-dent inséré au centre du gâteau en ressorte propre, environ 35 minutes.
Laisser refroidir quelques minutes puis renverser dans une assiette. Laisser tiédir et saupoudrer de sucre à glacer. Décorer de quelques noix entières. Servir.
Ce gâteau est tout simplement sublime : moelleux, riche, sucré juste ce qu'il faut. Il serait merveilleux avec de la crème fouettée. Vous remarquerez qu'il ne contient pas de farine et à peine deux cuillérées de chapelure. Il est donc très facile à adapter pour nos amis intolérants au gluten car on peut remplacer la chapelure par n'importe quel produit sans gluten (pain rassis sans gluten réduit en chapelure, craquelins sans gluten réduits en poudre, farine sans gluten, fécule de maïs à la limite !).
Attention de ne pas trop faire cuire le gâteau. Il aura une texture humide mais c'est normal étant donné sa composition.
8 portions
115g de noix de grenoble
2 cuillères à soupe de chapelure nature
3 gros oeufs
1/2 tasse de sucre
1/4 tasse de beurre fondu
1 cuillère à soupe de Ricard (ou café, Bailey's, Cognac, etc.)
Préchauffer le four à 350°F. Chemiser un moule rond de 8 pouces avec du papier parchemin. Réserver.
Au robot culinaire, réduire en poudre les noix de grenoble avec la chapelure. Réserver dans un grand bol.
Déposer les blancs d'oeufs dans un bol et les jaunes dans un autre bol. Monter les blancs en pics fermes. Réserver.
Déposer le bol contenant les jaunes sur une casserole d'eau bouillante, sans que le bol ne touche à l'eau. Ajouter le sucre et battre pendant quelques minutes, jusqu'à ce que le mélange ait triplé, blanchi et qu'il tombe en rubans. Verser sur les noix. Ajouter le beurre et le Ricard et mélanger délicatement jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène.
Ajouter une bonne cuillérée de blancs d'oeufs et brasser pour détendre le mélange. Incorporer le reste des blancs et plier délicatement jusqu'à homogénéité.
Verser dans le moule et cuire à four jusqu'à ce qu'un cure-dent inséré au centre du gâteau en ressorte propre, environ 35 minutes.
Laisser refroidir quelques minutes puis renverser dans une assiette. Laisser tiédir et saupoudrer de sucre à glacer. Décorer de quelques noix entières. Servir.
mercredi 9 mars 2011
Chez le Thaï
Prix : 15-25$ l'assiette ; 25-35$ table d'hôte
Décor : Chaleureux
Quartier : Vieux-Hull
Type de cuisine : Thaïlandaise
Adresse : 39 rue Laval
Tél. : 819-770-7227
En visite à Gatineau dans le cadre d'une formation, je ne savais pas trop où manger. Nous avons finalement abouti dans le Vieux-Hull et avons opté pour un restaurant thaïlandais, Chez le Thaï. Le truc avec les restos asiatiques, c'est qu'on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Parfois c'est petit, c'est laid mais c'est authentique. D'autre fois c'est plus tape à l'oeil mais c'est plutôt américanisé. Ici, nous avons eu droit à un petit restaurant chaleureux et à la cuisine authentique. Quel plaisir !
Le décor est composé de couleurs chaudes : rouge, orange, or, avec beaucoup de détails et d'objets rappelant la Thaïlande, les lumières légèrement tamisées. Les tables sont un peu tassées mais le bruit d'ambiance est suffisant pour ne pas avoir l'impression d'être assis avec les gens de la table d'à côté. Le service était impeccable, courtois et rapide.
Au niveau menu, on retrouve les classiques (soupe au lait de coco, curry vert, jaune ou rouge, pad thaï, salade de papaye verte, etc.). J'ai opté pour l'entrée de soupe de lait de coco et crevettes, un classique dont je ne me tanne pas et que je suis incapable de reproduire à la maison. La soupe est servie dans un petit bol bleu et blanc avec un couvercle. Mignon comme tout. Et excellente en plus. Comme plat principal, j'ai choisi le tilapia à la mangue. Le menu mentionne que le tilapia est en pâte tempura mais c'était beaucoup trop épais pour un tempura, quoique délicieux. Le poisson, une quantité généreuse, est servi garni d'une salade de mangue verte fraîche et légère et accompagné d'une bonne quantité de riz et de légumes. Le menu mentionne que ce plat est piquant, ce qui est le cas, particulièrement quand on avale un petit morceau de piment oiseau frais... !! Mon estomac a irradié pendant un bon 10 minutes et j'en ai eu les larmes aux yeux ! Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça réchauffe ! Si tout comme moi votre tolérance au piquant est limitée, prenez soin de mettre les morceaux de piment fort de côté, le plat conserver alors un niveau de piquant acceptable.
En tout et partout, ce fut un souper très apprécié et je n'hésiterais pas à recommander ce restaurant ni à y retourner. Si vous cherchez un bon thaïlandais abordable et authentique dans la région de l'Outaouais, c'est l'endroit où aller !
Décor : Chaleureux
Quartier : Vieux-Hull
Type de cuisine : Thaïlandaise
Adresse : 39 rue Laval
Tél. : 819-770-7227
En visite à Gatineau dans le cadre d'une formation, je ne savais pas trop où manger. Nous avons finalement abouti dans le Vieux-Hull et avons opté pour un restaurant thaïlandais, Chez le Thaï. Le truc avec les restos asiatiques, c'est qu'on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Parfois c'est petit, c'est laid mais c'est authentique. D'autre fois c'est plus tape à l'oeil mais c'est plutôt américanisé. Ici, nous avons eu droit à un petit restaurant chaleureux et à la cuisine authentique. Quel plaisir !
Le décor est composé de couleurs chaudes : rouge, orange, or, avec beaucoup de détails et d'objets rappelant la Thaïlande, les lumières légèrement tamisées. Les tables sont un peu tassées mais le bruit d'ambiance est suffisant pour ne pas avoir l'impression d'être assis avec les gens de la table d'à côté. Le service était impeccable, courtois et rapide.
Au niveau menu, on retrouve les classiques (soupe au lait de coco, curry vert, jaune ou rouge, pad thaï, salade de papaye verte, etc.). J'ai opté pour l'entrée de soupe de lait de coco et crevettes, un classique dont je ne me tanne pas et que je suis incapable de reproduire à la maison. La soupe est servie dans un petit bol bleu et blanc avec un couvercle. Mignon comme tout. Et excellente en plus. Comme plat principal, j'ai choisi le tilapia à la mangue. Le menu mentionne que le tilapia est en pâte tempura mais c'était beaucoup trop épais pour un tempura, quoique délicieux. Le poisson, une quantité généreuse, est servi garni d'une salade de mangue verte fraîche et légère et accompagné d'une bonne quantité de riz et de légumes. Le menu mentionne que ce plat est piquant, ce qui est le cas, particulièrement quand on avale un petit morceau de piment oiseau frais... !! Mon estomac a irradié pendant un bon 10 minutes et j'en ai eu les larmes aux yeux ! Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça réchauffe ! Si tout comme moi votre tolérance au piquant est limitée, prenez soin de mettre les morceaux de piment fort de côté, le plat conserver alors un niveau de piquant acceptable.
En tout et partout, ce fut un souper très apprécié et je n'hésiterais pas à recommander ce restaurant ni à y retourner. Si vous cherchez un bon thaïlandais abordable et authentique dans la région de l'Outaouais, c'est l'endroit où aller !
lundi 7 mars 2011
Gelées Pina Colada
Voici la deuxième bouchées sucrées que j'ai préparées pour la soirée des Oscars. Cette recette provient de mon kit de cuisine moléculaire. C'est plutôt simple à préparer mais il faut vraiment verser les ingrédients au bon moment, alors que la couche inférieur commence à gélifier sinon les couches se séparent.
Cette bouchée aurait été beaucoup plus spectaculaire présentée à la lumière du jour car la couche centrale est translucide. Mais que voulez-vous, les Oscars sont présentés en soirée !
36 petites bouchées
200 mL de lait de coco
15g de sucre
1.4g d'agar agar (1/2 cuillère à thé)
160 mL de rhum brun
0.8g d'agar agar (1/4 cuillère à thé)
200 mL de jus d'ananas
1.4g d'agar agar (1/2 cuillère à thé)
Noix de coco grillée sucrée
Préparer un plat carré de 15 cm de côté en le chemisant d'une pellicule plastique. Réserver. On peut aussi utiliser un plat rectangulaire qui permet d'obtenir une superficie d'environ 200-225 cm carré.
Dans une petite casserole, chauffer le lait de coco avec le sucre. Au point d'ébullition, ajouter l'agar agar en pluie puis fouetter sans incorporer trop d'air pendant 2 minutes, pendant que le mélange bout. Verser dans le moule.
Attendre 4 minutes (un peu plus pour moi, il faut que le mélange commence seulement à gélifier). Dans une petite casserole, chauffer le rhum. Au point d'ébullition, ajouter l'agar agar en pluie puis fouetter sans incorporer trop d'air pendant 2 minutes, pendant que le mélange bout. Refroidir pendant 1 minute en fouettant doucement. Verser doucement dans le moule, sur la couche de lait de coco.
Attendre 5 minutes (un peu plus pour moi, il faut que le mélange commence seulement à gélifier). Dans une petite casserole, chauffer le jus d'ananas. Au point d'ébullition, ajouter l'agar agar en pluie puis fouetter sans incorporer trop d'air pendant 2 minutes, pendant que le mélange bout. Refroidir pendant 1 minute en fouettant doucement. Verser doucement dans le moule, sur la couche de rhum.
Laisser à température ambiante 30 minutes puis réfrigérer au moins 30 minutes. Démouler sur une planche à couper, retirer le plastique puis découper en petits carrés. Saupoudrer de noix de coco grillée.
Cette bouchée aurait été beaucoup plus spectaculaire présentée à la lumière du jour car la couche centrale est translucide. Mais que voulez-vous, les Oscars sont présentés en soirée !
36 petites bouchées
200 mL de lait de coco
15g de sucre
1.4g d'agar agar (1/2 cuillère à thé)
160 mL de rhum brun
0.8g d'agar agar (1/4 cuillère à thé)
200 mL de jus d'ananas
1.4g d'agar agar (1/2 cuillère à thé)
Noix de coco grillée sucrée
Préparer un plat carré de 15 cm de côté en le chemisant d'une pellicule plastique. Réserver. On peut aussi utiliser un plat rectangulaire qui permet d'obtenir une superficie d'environ 200-225 cm carré.
Dans une petite casserole, chauffer le lait de coco avec le sucre. Au point d'ébullition, ajouter l'agar agar en pluie puis fouetter sans incorporer trop d'air pendant 2 minutes, pendant que le mélange bout. Verser dans le moule.
Attendre 4 minutes (un peu plus pour moi, il faut que le mélange commence seulement à gélifier). Dans une petite casserole, chauffer le rhum. Au point d'ébullition, ajouter l'agar agar en pluie puis fouetter sans incorporer trop d'air pendant 2 minutes, pendant que le mélange bout. Refroidir pendant 1 minute en fouettant doucement. Verser doucement dans le moule, sur la couche de lait de coco.
Attendre 5 minutes (un peu plus pour moi, il faut que le mélange commence seulement à gélifier). Dans une petite casserole, chauffer le jus d'ananas. Au point d'ébullition, ajouter l'agar agar en pluie puis fouetter sans incorporer trop d'air pendant 2 minutes, pendant que le mélange bout. Refroidir pendant 1 minute en fouettant doucement. Verser doucement dans le moule, sur la couche de rhum.
Laisser à température ambiante 30 minutes puis réfrigérer au moins 30 minutes. Démouler sur une planche à couper, retirer le plastique puis découper en petits carrés. Saupoudrer de noix de coco grillée.
samedi 5 mars 2011
Mini choux à la pâte de spéculoos
Depuis plusieurs semaines, je voulais faire cette recette. Au début, j'ai pensé des éclairs. Ensuite, un Paris-Brest. Finalement, j'ai fait des mini choux pour la soirées des Oscars. Il était temps que je prépare ces choux car il me restait tout juste assez de pâte de spéculoos ! Un peu plus et je finissais le pot à la cuillère avant même d'avoir tenté cette recette. Jamais je n'aurais su à quel point cette garniture est totalement divine. La texture est parfaite et que dire du goût... J'y repense et je ne suis pas certaine que j'ai envie de partager la recette tellement c'est trop bon !!
J'ai utilisé la recette de base de chez Isa, modifiée en saveur spéculoos.
25 mini choux
Pâte à choux
1/4 tasse d'eau
1/4 tasse de lait
60 g de beurre
1 pincée de sucre
1/2 tasse de farine
2 oeufs
Dans une casserole, porter à ébullition l'eau, le lait, le beurre et le sucre. Lorsque le mélange bout, verser d'un seul coup la farine et remuer à l'aide d'une cuillère en bois durant 1 minute jusqu'à l'obtention d'une boule de pâte qui se détache complètement du fond de la casserole.
Mettre la boule dans le bol du robot culinaire. Mettre le robot en marche puis ajouter les oeufs un à un jusqu'à l'obtention d'une pâte souple et lisse (un peu comme un glaçage).
Remplir une poche à douille (sans douille) et façonner des mini choux sur une plaque à biscuits recouverte d'un papier parchemin. Attention, ils gonfleront et élargiront en cuisant.
Cuire 15 minutes à 425°F puis 12 minutes à 375°F sans jamais ouvrir la porte du four. Refroidir.
Crème mousseline à la pâte de spéculoos
1 tasse de lait
1/2 tasse de beurre
3/8 tasse de sucre
3 jaunes d'oeufs
1/4 tasse de fécule de maïs
75g de pâte de spéculoos
Déposer le lait et une cuillère à soupe de sucre dans un chaudron. Réserver.
Blanchir le reste du sucre avec les jaunes d'oeufs. Incorporer la fécule jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène. Réserver.
Chauffer le lait jusqu'au point d'ébullition. Verser tranquillement le lait chaud dans le mélange de jaunes d'oeufs en battant constamment. Remettre le tout dans le chaudron et chauffer à feu moyen en fouettant constamment, jusqu'à ce que le mélange épaississe. Attention, ça a été très rapide pour moi !
Verser dans un grand bol. Ajouter la pâte de spéculoos et fouetter vigoureusement pour l'incorporer. Ajouter la moitié du beurre en petits cubes et fouetter vigoureusement jusqu'à ce que la consistance devienne homogène. Couvrir d'une pellicule plastique et réfrigérer.
Lorsque la crème est complètement refroidie, battre en crème la moitié du beurre restant. Incorporer la moitié de la garniture. Ajouter le reste du beurre. Lorsque le mélange est homogène, incorporer le reste de la garniture.
Remplir une poche à douille et garnir les minis choux coupés en deux. Servir.
J'ai utilisé la recette de base de chez Isa, modifiée en saveur spéculoos.
25 mini choux
Pâte à choux
1/4 tasse d'eau
1/4 tasse de lait
60 g de beurre
1 pincée de sucre
1/2 tasse de farine
2 oeufs
Dans une casserole, porter à ébullition l'eau, le lait, le beurre et le sucre. Lorsque le mélange bout, verser d'un seul coup la farine et remuer à l'aide d'une cuillère en bois durant 1 minute jusqu'à l'obtention d'une boule de pâte qui se détache complètement du fond de la casserole.
Mettre la boule dans le bol du robot culinaire. Mettre le robot en marche puis ajouter les oeufs un à un jusqu'à l'obtention d'une pâte souple et lisse (un peu comme un glaçage).
Remplir une poche à douille (sans douille) et façonner des mini choux sur une plaque à biscuits recouverte d'un papier parchemin. Attention, ils gonfleront et élargiront en cuisant.
Cuire 15 minutes à 425°F puis 12 minutes à 375°F sans jamais ouvrir la porte du four. Refroidir.
Crème mousseline à la pâte de spéculoos
1 tasse de lait
1/2 tasse de beurre
3/8 tasse de sucre
3 jaunes d'oeufs
1/4 tasse de fécule de maïs
75g de pâte de spéculoos
Déposer le lait et une cuillère à soupe de sucre dans un chaudron. Réserver.
Blanchir le reste du sucre avec les jaunes d'oeufs. Incorporer la fécule jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène. Réserver.
Chauffer le lait jusqu'au point d'ébullition. Verser tranquillement le lait chaud dans le mélange de jaunes d'oeufs en battant constamment. Remettre le tout dans le chaudron et chauffer à feu moyen en fouettant constamment, jusqu'à ce que le mélange épaississe. Attention, ça a été très rapide pour moi !
Verser dans un grand bol. Ajouter la pâte de spéculoos et fouetter vigoureusement pour l'incorporer. Ajouter la moitié du beurre en petits cubes et fouetter vigoureusement jusqu'à ce que la consistance devienne homogène. Couvrir d'une pellicule plastique et réfrigérer.
Lorsque la crème est complètement refroidie, battre en crème la moitié du beurre restant. Incorporer la moitié de la garniture. Ajouter le reste du beurre. Lorsque le mélange est homogène, incorporer le reste de la garniture.
Remplir une poche à douille et garnir les minis choux coupés en deux. Servir.
jeudi 3 mars 2011
Trempette mexicaine
Je vous présente mon plat salé que j'ai préparé pour la soirée des Oscars, tradition qui perdure depuis quelques années déjà où nous passons une soirée entre amis à manger des bouchées, à bitcher les robes des vedettes et à parier sur les gagnants des fameux trophées.
Cette recette, elle me vient de ma mère. Quand j'étais petite, elle faisait parfois cette trempette mexicaine et tout le monde chez nous adorait ça. Elle en fait encore pour les occasions spéciales comme à Noël, en entrée. Le problème, c'est que je me bourre de trempette et après je n'ai plus de place pour le reste. C'est vraiment trop bon ce truc, et vraiment trop facile à faire ! La recette que je présente ici n'est pas l'originale que ma mère faisait mais plutôt une version à mon goût où j'ai notamment ajouté un beau bouquet de coriandre fraîche.
Pour un look optimal, présentez cette trempette dans un bol en verre. On verra alors les trois étages de couleurs.
6-8 portions
2 avocats bien mûrs
2 cuillère à soupe de jus de lime
Sel et poivre au goût
1 tasse de crème sûre (ou plus)
Un petit bouquet de coriandre fraîche, au goût
1 tasse de salsa (ou plus)
150g de fromage monterey jack râpé
Tostitos
Réduire les avocats en purée à la fourchette puis ajouter le jus de lime, le sel et le poivre. Étaler au fond d'un grand plat, de préférence transparent.
Étaler la crème sûre sur la guacamole.
Hacher finement la coriandre, feuilles et tiges, et saupoudrer sur la crème sûre.
Étaler une bonne couche de salsa.
Recouvrir le tout de fromage râpé.
Conserver au frais et servir avec des croustilles de maïs.
Cette recette, elle me vient de ma mère. Quand j'étais petite, elle faisait parfois cette trempette mexicaine et tout le monde chez nous adorait ça. Elle en fait encore pour les occasions spéciales comme à Noël, en entrée. Le problème, c'est que je me bourre de trempette et après je n'ai plus de place pour le reste. C'est vraiment trop bon ce truc, et vraiment trop facile à faire ! La recette que je présente ici n'est pas l'originale que ma mère faisait mais plutôt une version à mon goût où j'ai notamment ajouté un beau bouquet de coriandre fraîche.
Pour un look optimal, présentez cette trempette dans un bol en verre. On verra alors les trois étages de couleurs.
6-8 portions
2 avocats bien mûrs
2 cuillère à soupe de jus de lime
Sel et poivre au goût
1 tasse de crème sûre (ou plus)
Un petit bouquet de coriandre fraîche, au goût
1 tasse de salsa (ou plus)
150g de fromage monterey jack râpé
Tostitos
Réduire les avocats en purée à la fourchette puis ajouter le jus de lime, le sel et le poivre. Étaler au fond d'un grand plat, de préférence transparent.
Étaler la crème sûre sur la guacamole.
Hacher finement la coriandre, feuilles et tiges, et saupoudrer sur la crème sûre.
Étaler une bonne couche de salsa.
Recouvrir le tout de fromage râpé.
Conserver au frais et servir avec des croustilles de maïs.
mardi 1 mars 2011
Défi lecture 2011 - Résumé février
Le mois de février a été plutôt prolifique du côté lecture pour moi avec 1421 pages officielles + 500 pages du livre que je suis en train de lire, pour un grand total de près de 2000 pages. C'est simple, si le livre est bon, je lis tout le temps : sur mon heure de dîner, après le souper, avant de dormir, la fin de semaine quand je ne sais pas quoi faire... ça passe vite ! Et puis l'hiver quand il fait froid ou qu'il y a une tempête, ce n'est pas comme si on avait beaucoup d'autres choses à faire. Partie comme je suis là, je n'aurai aucun problème à lire les 52 livres du défi !
Le goût des jeunes filles - Dany Laferrière, 331 pages
Ce que j'ai retrouvé dans le livre de Dany, ce sont plutôt des personnages qui doivent vivre dans un milieu difficile, en Haïti des années 70. Les jeunes filles riches ne veulent pas montrer qu'elles le sont et les jeunes filles pauvres veulent paraître riches. Les personnages principaux sont une bande d'adolescentes hystériques qui se crient des insultes à savoir laquelle est la plus pute. Elles traitent les hommes comme de la merde. Je comprends que c'est une façon de survivre dans un monde hostile mais je ne me sentais pas du tout près des personnages. On alterne entre les aventures des adolescentes vu par les yeux d'un garçon de 15 ans et le journal d'une des filles de la bande qui provient du milieu riche. C'est peut-être moi qui n'a pas compris le deuxième niveau de l'histoire remarquez...
Le goût des jeunes filles - Dany Laferrière, 331 pages
J'aurais peut-être pu choisir un meilleur livre de Dany Laferrière. Disons que celui-ci n'était pas pour moi, mais il faut l'avoir lu pour pouvoir le savoir. Le style de Dany est intéressant. Beaucoup de dialogues et de phrases courtes, ce qui fait en sorte que tout se déroule plutôt rapidement. C'est aussi un désavantage car il n'y a pas de descriptions dans ce roman. Je n'ai pas pu imaginer les lieux ni les personnages. Je devrais seulement les découvrir à travers leurs dialogues (ou monologues, selon les sections du livre), ce qui ne m'a pas tellement plu. Je dois en venir à l'évidence : j'aime les romans descriptifs. J'aime qu'on décrive les couleurs, les textures et les odeurs, qu'on nomme les plantes et les arbres présents dans le décor (même si très souvent, je n'ai aucune idée à quoi ressemblent ces plantes et ces arbres). J'aime sentir que les lieux et les personnages existent réellement.
Ce que j'ai retrouvé dans le livre de Dany, ce sont plutôt des personnages qui doivent vivre dans un milieu difficile, en Haïti des années 70. Les jeunes filles riches ne veulent pas montrer qu'elles le sont et les jeunes filles pauvres veulent paraître riches. Les personnages principaux sont une bande d'adolescentes hystériques qui se crient des insultes à savoir laquelle est la plus pute. Elles traitent les hommes comme de la merde. Je comprends que c'est une façon de survivre dans un monde hostile mais je ne me sentais pas du tout près des personnages. On alterne entre les aventures des adolescentes vu par les yeux d'un garçon de 15 ans et le journal d'une des filles de la bande qui provient du milieu riche. C'est peut-être moi qui n'a pas compris le deuxième niveau de l'histoire remarquez...
Le chardon et le tartan - Diana Gabaldon, 647 pages
Là je dois avouer que je viens de trouver la prochaine série que je vais lire avidement cette année. Le chardon et le tartan, c'est exactement le genre de livre que j'aime : autre lieu, autre époque. Une note de fantastique, juste ce qu'il faut. Des personnages charismatiques, des lieux envoûtants. Je ne saurais quoi demander de mieux.
Là je dois avouer que je viens de trouver la prochaine série que je vais lire avidement cette année. Le chardon et le tartan, c'est exactement le genre de livre que j'aime : autre lieu, autre époque. Une note de fantastique, juste ce qu'il faut. Des personnages charismatiques, des lieux envoûtants. Je ne saurais quoi demander de mieux.
Claire Beauchamp est en vacances avec son mari, Frank Randall, en Écosse, quelques temps après la fin de la deuxième guerre mondiale durant laquelle elle a travaillé à titre d'infirmière. Séparé deFrank pendant plusieurs années, ils sont heureux de se retrouver enfin. Lors d'un balade en forêt, ils découvrent un cercle de pierre (du genre Stonehenge). Claire y retourne toute seule, passe à travers une pierre fendue et se retrouve 200 ans plus tôt, en 1743, au beau milieu d'une échaufourrée entre les Anglais et les Écossais. Elle sera sauvée par les Écossais, le clan des McKenzie plus précisément, et ramenée au château de Leoch. Étant elle-même anglaise, les Écossais prendront du temps avant de lui faire confiance et l'accuseront de sorcellerie étant donné ses connaissances en tant qu'infirmière. Pour se sauver du méchant capitaine anglais Jonathan Randall, elle devra épouser contre son gré un Écossais dont la tête est mise à prix, Jamie Fraser, duquel elle tombera finalement amoureuse. S'ensuit toute une série d'aventures pour sauver la peau de l'un et de l'autre et se sortir des griffes des Anglais.
Les personnages sont attachants, les paysages époustouflants et les méchants détestables. L'époque semble être bien racontée. Ça me rappelle un peu le genre des Piliers de la terre de Ken Follett (avis aux intéressés !).
Brigitte des Colères - Jérôme Lafond, 178 pages
J'ai lu ce livre car il a été écrit par un ami d'un ami. Au premier abord c'était prometteur car il met en scène une adolescente avec une personnalité atypique qui habite des Basses-Laurentides, à Ste-Scholastique. Elle aime les chats abandonnés, les vampires, les sorcières, les cimetières, les tueurs et les mauvais garçons. Bref, vous voyez le portrait. Malgré des personnages très intéressants et des situations hors du commun (par exemple un meurtrier qui sévit dans la région et laisse les corps de ses victimes dans des fosses à purins ou des abreuvoirs pour les vaches), j'ai trouvé que ce roman manquait de profondeur et qu'il était plutôt décousu. On saute d'une scène à l'autre sans enchaînement. On commence à raconter quelque chose mais il n'y a pas de suite. J'ai un peu eu l'impression de lire l'ébauche d'un roman prometteur. Comme une bande-annonce de film. J'ai trouvé qu'il y avait du potentiel dans l'histoire, je ne me suis pas ennuyée en le lisant mais je suis restée sur ma faim. J'espère que le prochain roman sera plus étoffé car celui-ci contenait tout un monde qu'on a à peine effleuré.
J'ai lu ce livre car il a été écrit par un ami d'un ami. Au premier abord c'était prometteur car il met en scène une adolescente avec une personnalité atypique qui habite des Basses-Laurentides, à Ste-Scholastique. Elle aime les chats abandonnés, les vampires, les sorcières, les cimetières, les tueurs et les mauvais garçons. Bref, vous voyez le portrait. Malgré des personnages très intéressants et des situations hors du commun (par exemple un meurtrier qui sévit dans la région et laisse les corps de ses victimes dans des fosses à purins ou des abreuvoirs pour les vaches), j'ai trouvé que ce roman manquait de profondeur et qu'il était plutôt décousu. On saute d'une scène à l'autre sans enchaînement. On commence à raconter quelque chose mais il n'y a pas de suite. J'ai un peu eu l'impression de lire l'ébauche d'un roman prometteur. Comme une bande-annonce de film. J'ai trouvé qu'il y avait du potentiel dans l'histoire, je ne me suis pas ennuyée en le lisant mais je suis restée sur ma faim. J'espère que le prochain roman sera plus étoffé car celui-ci contenait tout un monde qu'on a à peine effleuré.
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran - Éric Emmanuel Schmitt, 85 pages
Cet auteur m'a été recommandé par des amis. Parmi tous ses livres, j'ai choisi celui-là car j'avais déjà entendu le titre en quelque part mais je ne saurais dire où. C'est un livre court : 85 pages. Beaucoup plus court que ce que je suis habituée de lire. Et c'est écrit très gros. Pour être franche, je l'ai lu d'une traite sur mon heure de dîner. Ça m'a pris 30 minutes gros maximum. J'ai eu l'impression de lire une nouvelle plutôt qu'un roman. On y racontre l'histoire de Momo, un adolescent de 16 ans qui habite Paris avec son père, un homme désabusé qui ne sourit jamais. Momo se prend d'amitié pour Ibrahim, un musulman qui tient l'épicerie du coin dans un quartier juif. Je n'en dirai pas plus sinon il ne vous restera plus rien à vous mettre sous la dent quand vous lirez le livre.
En toute honnêteté, ce n'est pas le genre de livre que je préfère et ce pour deux raisons. D'abord, c'est un livre que je classerais dans la catégorie Philosophie et morale aux côtés de L'histoire de Pi ou encore de l'Alchimiste, deux livres que je n'ai pas particulièrement aimé mais que plusieurs ont adoré. Ce sont des histoires courtes et relativement simples qui apportent des réflexions sur la vie. Personnellement, je ne lis pas pour réfléchir, je lis pour m'évader. Ce type de livre me convient donc très peu. Deuxièmement, 85 pages écrit en caractère 16, c'est beaucoup trop court pour moi. Je n'ai pas le temps de m'imprégner des lieux et des personnages que c'est déjà fini. Trente petites minutes dans ma vie qui ont passé comme l'éclair et dont je ne me souviendrai probablement pas dans une semaine. Je crois que je suis faite pour lire des sagas de longue haleine et des romans avec une intrigue. C'est plutôt ce genre de lecture qui me satisfait.
Je vous recommande le livre si vous aimez ce genre de littérature. Je ne doute pas un instant que vous prendrez plaisir à le lire. Pour ma part, je m'en remets au deuxième tome de la série Outlander de Diana Gabaldon !
La frousse autour du monde volume 1 - Bruno Blanchet, 180 pages
Je n'avais aucune attente pour ce livre. J'aime Bruno Blanchet, j'aime les histoires de voyages, j'ai donc emprunté le livre. Je ne m'attendais pas à ce que j'allais découvrir. Le livre est constitué d'une série de chroniques publiées dans le journal La Presse en 2004-2005 et présenté sous une forme scrapbooking avec des photos, des copies de billets d'avion, etc. On suit Bruno à travers les Îles du Pacifique et une partie de l'Asie (Myanmar, Laos, Chine). Il y raconte ses aventures. C'est parfois drôle, parfois triste, parfois instructif mais toujours très bien écrit. C'est qu'il a toute une plume notre Tite-Dents ! J'ai ri à gorge déployée lors de plusieurs passages, notamment la chasse au cochon sauvage (comme dans Lost !), j'en ai même pleuré de rire quand il a raconté son premier repas en Chine ou la façon qu'il a de reconnaître les caractères chinois. C'est un livre léger qui se lit rapidement et qui nous amène ailleurs. Je le recommande à tout le monde, sans exception. Le seul bémol : les photos imprimées volontairement en mauvaise qualité. J'aurais aimé voir les détails des images mais on se retrouve avec des photos sous forme de point, comme si on avait grossi des photos couleur de journal. J'imagine que c'est un style qu'on a voulu donner au livre.
Présentement, je lis Le Talisman, le deuxième tome de la série le Chardon et le Tartan (Outlander) de Diana Gabaldon. Une bonne partie du livre se passe dans la région de Paris, à la cour du roi et parmi les gens de la noblesse. C'est encore aussi bon, mais je préférais nettement les paysages de l'Écosse. Je devrais terminer ce livre dans la première semaine de mars. Sur ma liste pour ce mois-ci, j'ai les deux derniers volumes de la Frousse autour du monde de Bruno Blanchet ainsi que deux Kathy Reichs qui s'en viennent par prêt inter-bibliothèques.
La frousse autour du monde volume 1 - Bruno Blanchet, 180 pages
Je n'avais aucune attente pour ce livre. J'aime Bruno Blanchet, j'aime les histoires de voyages, j'ai donc emprunté le livre. Je ne m'attendais pas à ce que j'allais découvrir. Le livre est constitué d'une série de chroniques publiées dans le journal La Presse en 2004-2005 et présenté sous une forme scrapbooking avec des photos, des copies de billets d'avion, etc. On suit Bruno à travers les Îles du Pacifique et une partie de l'Asie (Myanmar, Laos, Chine). Il y raconte ses aventures. C'est parfois drôle, parfois triste, parfois instructif mais toujours très bien écrit. C'est qu'il a toute une plume notre Tite-Dents ! J'ai ri à gorge déployée lors de plusieurs passages, notamment la chasse au cochon sauvage (comme dans Lost !), j'en ai même pleuré de rire quand il a raconté son premier repas en Chine ou la façon qu'il a de reconnaître les caractères chinois. C'est un livre léger qui se lit rapidement et qui nous amène ailleurs. Je le recommande à tout le monde, sans exception. Le seul bémol : les photos imprimées volontairement en mauvaise qualité. J'aurais aimé voir les détails des images mais on se retrouve avec des photos sous forme de point, comme si on avait grossi des photos couleur de journal. J'imagine que c'est un style qu'on a voulu donner au livre.
Présentement, je lis Le Talisman, le deuxième tome de la série le Chardon et le Tartan (Outlander) de Diana Gabaldon. Une bonne partie du livre se passe dans la région de Paris, à la cour du roi et parmi les gens de la noblesse. C'est encore aussi bon, mais je préférais nettement les paysages de l'Écosse. Je devrais terminer ce livre dans la première semaine de mars. Sur ma liste pour ce mois-ci, j'ai les deux derniers volumes de la Frousse autour du monde de Bruno Blanchet ainsi que deux Kathy Reichs qui s'en viennent par prêt inter-bibliothèques.
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