J'avoue avoir volée cette recette chez Isabelle. C'était beaucoup trop tentant, surtout que ça fait deux jours que je me dis qu'il faudrait que je passe la tonne de crevettes que j'ai au congélateur (on dirait que je deviens compulsive quand les crevettes sont en spécial... et elles le sont tout le temps au Loblaws !).
Quelle belle recette !!! Dans ma précipitation à l'essayer, j'ai même oublié de décortiquer mes crevettes... OUPS ! Évidemment, je m'en suis rendue compte au moment même où je versais du miel sur les crevettes... un peu trop tard pour me rattraper quoi. Qu'à cela ne tienne, mon appréciation du repas n'a pas été altérée ! C'est mon copain qui a trouvé ça difficile à écaler... il n'a pas trop le tour avec les crevettes :)
2 portions
1/2 livre de grosses crevettes congelées, décongelées et DÉCORTIQUÉES !! LOL !
3 c. soupe d'huile d'olive
2 c. soupe de jus de citron
2 c. soupe de vinaigre de vin rouge
3 c. soupe de miel (ou plus !)
2 c. soupe de graines de pavot
1 c. thé de sauce Worcestershire
2 gousses d'ail hachées
Mélanger tous les ingrédients et mariner au frigo durant 1h.
Cuire au four à 450°F durant 8 minutes.
Ben oui, c'est tout ! Niaiseux de même ! :)
samedi 31 mars 2007
Tarte à la crème de menthe (sauterelle)
Voici une recette que je fais depuis plusieurs années... du temps où j'habitais encore chez mes parents ! Certaines personnes la nomment "Tarte à la sauterelle". En cuisine, lorsqu'on associe chocolat et menthe, il arrive qu'on appelle cela "à la sauterelle". Je trouve ça bien drôle ! De la sauterelle, cette tarte n'a que la couleur (et encore, on parle ici de sauterelles vertes !). Et comme le printemps est à nos portes, et bientôt l'été... cette belle recette très fraîche est juste à propos.
Cette tarte est vraiment très bonne, mais en plus on peut la varier à l'infini !!!! Je me souviens, entre autres, d'avoir fait Fraises-Coco et c'était vraiment très bon. Pour varier la recette, il suffit de changer la sorte d'alcool, remplacer une partie du lait par un autre liquide, ajouter des morceaux de fruits dans la tarte et/ou sur la tarte... Mmmm...
La recette provient d'une fiche-recette Cuisine Santé Express de 1995.
6-8 portions
1 sachet de gélatine neutre Knox
1/3 de tasse de crème de menthe verte
2 tasses de lait
1/2 tasse de sucre
3 jaunes d'oeufs
2 tasses de crème fouettée ou de garniture fouettée (type CoolWhip)
1 croûte graham au chocolat
NOTE : Vous pouvez acheter la croûte déjà faite ou la faire vous-même en combinant 1 1/4 tasse de chapelure Oreo et 1/3 tasse de beurre fondu. Il faut ensuite presser ce mélange dans un moule à tarte de 9 pouces. Aucune cuisson requise ! Par contre, ça se coupe moins bien et la croûte a tendance à coller au fond du moule.
Dans un petit bol, saupoudrer la gélatine sur la crème de menthe. Reposer 3 minutes.
Pendant ce temps, chauffer le lait, le sucre et les jaunes d'oeufs à feu moyen environ 5 minutes en brassant constamment. Ajouter le mélange de crème de menthe et cuire 2 minutes supplémentaires en brassant. Verser le tout dans une GRAND bol et réfrigérer environ 30 minutes ou jusqu'à ce que le mélange soit refroidi sans être pris.
Ajouter 1 tasse de crème fouettée et mélanger à l'aide d'un fouet. Étaler dans la croûte. Réfrigérer 3 heures ou toute une nuit. Décorer la tarte avec la crème fouettée restante et avec des copeaux de chocolat, feuilles de menthe, after eight, etc.
NOTE : Fouettez la crème assez solide sinon votre tarte se séparera en deux couches, comme la mienne... !!! La crème fouettée était trop molle et ne s'est pas bien incorporée au mélange de crème de menthe.
Cette tarte est vraiment très bonne, mais en plus on peut la varier à l'infini !!!! Je me souviens, entre autres, d'avoir fait Fraises-Coco et c'était vraiment très bon. Pour varier la recette, il suffit de changer la sorte d'alcool, remplacer une partie du lait par un autre liquide, ajouter des morceaux de fruits dans la tarte et/ou sur la tarte... Mmmm...
La recette provient d'une fiche-recette Cuisine Santé Express de 1995.
6-8 portions
1 sachet de gélatine neutre Knox
1/3 de tasse de crème de menthe verte
2 tasses de lait
1/2 tasse de sucre
3 jaunes d'oeufs
2 tasses de crème fouettée ou de garniture fouettée (type CoolWhip)
1 croûte graham au chocolat
NOTE : Vous pouvez acheter la croûte déjà faite ou la faire vous-même en combinant 1 1/4 tasse de chapelure Oreo et 1/3 tasse de beurre fondu. Il faut ensuite presser ce mélange dans un moule à tarte de 9 pouces. Aucune cuisson requise ! Par contre, ça se coupe moins bien et la croûte a tendance à coller au fond du moule.
Dans un petit bol, saupoudrer la gélatine sur la crème de menthe. Reposer 3 minutes.
Pendant ce temps, chauffer le lait, le sucre et les jaunes d'oeufs à feu moyen environ 5 minutes en brassant constamment. Ajouter le mélange de crème de menthe et cuire 2 minutes supplémentaires en brassant. Verser le tout dans une GRAND bol et réfrigérer environ 30 minutes ou jusqu'à ce que le mélange soit refroidi sans être pris.
Ajouter 1 tasse de crème fouettée et mélanger à l'aide d'un fouet. Étaler dans la croûte. Réfrigérer 3 heures ou toute une nuit. Décorer la tarte avec la crème fouettée restante et avec des copeaux de chocolat, feuilles de menthe, after eight, etc.
NOTE : Fouettez la crème assez solide sinon votre tarte se séparera en deux couches, comme la mienne... !!! La crème fouettée était trop molle et ne s'est pas bien incorporée au mélange de crème de menthe.
Pâtes aux tomates, pesto, olives, chèvre et noix
Encore une recette piquée chez Choupi ! C'est devenu une habitude :) Quand j'ai vu cette recette, j'en ai voulu là, tout de suite, maintenant. J'ai profité de l'absence de mon copain qui ne mange pas de fromage pour me faire ce petit festin !! J'ai dû légèrement modifier la recette. À 2,49$ pour une dizaine de feuilles de basilic, je trouve que c'est pas donné... Par contre, le pesto était en spécial (Marvini Tradizional). Ça fait la job ! :)
J'ai voulu viser une portion, mais j'ai eu les yeux plus grands que la panse et je me suis retrouvée avec 2 à 3 portions... OUPS ! Ça me fait un dîner pour demain aussi :)
2-3 portions
80 g de spaghetti au blé (ou autres pâtes)
75 g de fromage Chèvre des Alpes de Damafro (ou autre chèvre)
4 c. soupe de pesto
1/4 à 1/3 de tasse d'olives noires hachées finement
1/2 tomate en dés
Une poignée de noix de grenoble
Cuire les pâtes selon les indications. Égoutter et remettre dans le chaudron. Ajouter tous les ingrédients sauf le fromage de chèvre. Bien mélanger pour réchauffer. Servir et garnir du fromage de chèvre.
NOTE : Personnellement, j'ai fait chauffer le fromage avec le reste des ingrédients... mais il a vite fondu. J'aurais préféré des morceaux ! Ça m'apprendra à ne pas suivre les indications de Choupi !
J'ai voulu viser une portion, mais j'ai eu les yeux plus grands que la panse et je me suis retrouvée avec 2 à 3 portions... OUPS ! Ça me fait un dîner pour demain aussi :)
2-3 portions
80 g de spaghetti au blé (ou autres pâtes)
75 g de fromage Chèvre des Alpes de Damafro (ou autre chèvre)
4 c. soupe de pesto
1/4 à 1/3 de tasse d'olives noires hachées finement
1/2 tomate en dés
Une poignée de noix de grenoble
Cuire les pâtes selon les indications. Égoutter et remettre dans le chaudron. Ajouter tous les ingrédients sauf le fromage de chèvre. Bien mélanger pour réchauffer. Servir et garnir du fromage de chèvre.
NOTE : Personnellement, j'ai fait chauffer le fromage avec le reste des ingrédients... mais il a vite fondu. J'aurais préféré des morceaux ! Ça m'apprendra à ne pas suivre les indications de Choupi !
Le Tigrocéros !
Oui, j'ai découvert un nouvel animal... Et c'est un VRAI en plus. La preuve : j'ai une photo, regardez ! Je l'ai croqué sur le vif dans son habitat naturel, le champ de Moutmouth.
Bon, ceux qui me connaissent savent que j'aime les choses hors de l'ordinaire. Ce petit tigrocéros tombe justement dans mes goûts. En fait, c'est un produit promotionnel de ING Direct. C'est mon copain qui me l'a ramené du travail :)
Je l'ai tout de suite adopté car il me fait penser à une série de photos d'animaux que j'aime beaucoup, et dont je vous laisse le lien vers le site web. Vous pourrez y observer des charafes, des perrogators, des zébroceros et plus encore !! :)
Bon, ceux qui me connaissent savent que j'aime les choses hors de l'ordinaire. Ce petit tigrocéros tombe justement dans mes goûts. En fait, c'est un produit promotionnel de ING Direct. C'est mon copain qui me l'a ramené du travail :)
Je l'ai tout de suite adopté car il me fait penser à une série de photos d'animaux que j'aime beaucoup, et dont je vous laisse le lien vers le site web. Vous pourrez y observer des charafes, des perrogators, des zébroceros et plus encore !! :)
jeudi 29 mars 2007
Filet de porc aux pommes, canneberges et érable
Voici une petite recette sortie tout droit de ma tête en décembre dernier pour fêter la fin de mes examens ! Officiellement, je l'ai nommée "Filet de porc festif" mais j'ai choisi un titre plus descriptif pour vous présenter la recette. J'attendais simplement de pouvoir prendre une photo avant de mettre la recette sur ce blog. Cette recette a l'avantage d'être réellement très bonne... et adaptable ! Vous pouvez notamment remplacer le liquide par du porto, du vin rouge, du cidre, etc. En plus, ça a beaucoup de classe :) Bon appétit !
3-4 portions
1 gros filet de porc (environ 1 lb)
1 1/2 tasse de canneberges fraîches ou surgelées
1 pomme verte pelée, tranchée
1/3 tasse (environ) de jus de pommes ou de bouillon de poulet (ou autre liquide)
2 c. à soupe de beurre (ou plus)
Sirop d'érable au goût (ou miel)
Essence d'érable, si désiré
Allumer le four à BROIL. Mettre la grille du four sur le deuxième étage en partant du haut, et cuire le filet de porc environ 12-15 minutes de chaque côté (24-30 minutes au total).
Pendant ce temps, faire revenir les pommes dans le beurre à feu moyen, jusqu'à ce qu'elles soient bien dorées des deux côtés. Déglacer avec le liquide puis ajouter les canneberges. Laisser mijoter quelques minutes. Lorsque les canneberges ont éclaté, ajouter le sirop d'érable et l'essence d'érable (si désiré) bien mélanger et laisser réduire quelques minutes. Attention ! Il doit rester du liquide sinon la sauce sera complètement caramélisée... et bien collée dans la poêle. C'est facile à nettoyer, mais vous ne pourrez pas en mettre sur votre porc :)
Lorsque le porc est cuit (je l'aime rosé), détailler en médaillons et napper avec la sauce. J'ai servi le tout avec mini-patates et salade verte.
3-4 portions
1 gros filet de porc (environ 1 lb)
1 1/2 tasse de canneberges fraîches ou surgelées
1 pomme verte pelée, tranchée
1/3 tasse (environ) de jus de pommes ou de bouillon de poulet (ou autre liquide)
2 c. à soupe de beurre (ou plus)
Sirop d'érable au goût (ou miel)
Essence d'érable, si désiré
Allumer le four à BROIL. Mettre la grille du four sur le deuxième étage en partant du haut, et cuire le filet de porc environ 12-15 minutes de chaque côté (24-30 minutes au total).
Pendant ce temps, faire revenir les pommes dans le beurre à feu moyen, jusqu'à ce qu'elles soient bien dorées des deux côtés. Déglacer avec le liquide puis ajouter les canneberges. Laisser mijoter quelques minutes. Lorsque les canneberges ont éclaté, ajouter le sirop d'érable et l'essence d'érable (si désiré) bien mélanger et laisser réduire quelques minutes. Attention ! Il doit rester du liquide sinon la sauce sera complètement caramélisée... et bien collée dans la poêle. C'est facile à nettoyer, mais vous ne pourrez pas en mettre sur votre porc :)
Lorsque le porc est cuit (je l'aime rosé), détailler en médaillons et napper avec la sauce. J'ai servi le tout avec mini-patates et salade verte.
mercredi 28 mars 2007
Muffins aux kiwis et au chocolat blanc
J'avais ENCORE des kiwis qui traînaient au frigo. Décidément, je n'apprendrai jamais ! J'ai beau en acheter, je les oublie toujours. Bien heureusement, j'ai créé cette nouvelle recette pour me débarasser de ces vieux kiwis fripés (et du reste de mon chocolat blanc, avant de le passer dans une TROISIÈME batch de muffins triple chocolat en moins d'une semaine !!! Hihihi !!!). Le goût acidulé des kiwis va très bien avec l'onctuosité sucrée du chocolat blanc. C'est un bien beau mix !
12 muffins
1 1/2 tasse de farine
3/4 tasse de son
1/2 tasse de sucre
1 c. soupe de poudre à pâte
2 oeufs
1/3 tasse d'huile de canola
1 tasse de kiwis pelés, coupés en cubes (5 petits)
1/2 tasse de pépites de chocolat blanc
1 tasse de lait
Dans un bol moyen, mélanger la farine, le son, la poudre à pâte et le sucre.
Dans un grand bol, battre les oeufs. Ajouter l'huile et lait et bien mélanger. Ajouter le mélange sec, remuer et mettre le reste des ingrédients. Bien humecter.
Répartir dans 12 moules à muffins et cuire au four à 400°C pendant 25-30 minutes.
12 muffins
1 1/2 tasse de farine
3/4 tasse de son
1/2 tasse de sucre
1 c. soupe de poudre à pâte
2 oeufs
1/3 tasse d'huile de canola
1 tasse de kiwis pelés, coupés en cubes (5 petits)
1/2 tasse de pépites de chocolat blanc
1 tasse de lait
Dans un bol moyen, mélanger la farine, le son, la poudre à pâte et le sucre.
Dans un grand bol, battre les oeufs. Ajouter l'huile et lait et bien mélanger. Ajouter le mélange sec, remuer et mettre le reste des ingrédients. Bien humecter.
Répartir dans 12 moules à muffins et cuire au four à 400°C pendant 25-30 minutes.
samedi 24 mars 2007
Jus de noix de coco
Aujourd'hui, ce n'est pas une recette que je vous présente mais un produit que j'ai découvert à l'épicerie et que j'aime beaucoup : du jus de noix de coco ! Si vous êtes fan de noix de coco, tout comme moi, vous adorerez. Évidemment, puisque tout ne peut pas être parfait, ce jus contient du sucre. Mais au prix où il est vendu, c'est une excellente alternative au jus de noix de coco naturel qui se vend hors de prix (mais qui est merveilleusement bon !). Par exemple, le VitaCoco se vend environ 3$ pour 200mL chez Tau.
Ce jus a un goût assez doux et pas trop sucré. Il contient aussi des petits morceaux de noix de coco. Il est presque transparent, avec un aspect un peu blancheâtre. Et il me rappelle le jus de noix de coco qu'on buvait directement dans les noix, à Cuba ! :) Je le bois tel quel, ou encore avec un léger soupçon de jus d'ananas (très peu pour ne pas tuer le goût doux du jus de noix de coco). Je ne le recommande pas pour faire de la cuisine étant donné que son goût est facilement caché par celui des autres ingrédients. Je le recommande par contre fortement l'été prochain, près de la piscine ! :)
Pour les intéressés, je vous laisse la liste d'ingrédients, ainsi que la fiche nutritionnelle. J'ai acheté mes canettes de 520 mL chez Loblaws pour moins de 1$ (0,75$ je pense).
Ingrédients : Jus de noix de coco, eau, sucre, chair de noix de coco, métabisulfite de potassium.
Fiche nutritive (par 330 mL, soit 2/3 d'une canette) :
130 calories
1,5 g de gras dont 1 g saturé (mais aucun gras trans)
0 mg de cholesterol
55 mg de sodium
29 g de glucides dont 0 g de fibres et 26 g de sucre
o g de protéines
0% Vitamine A
0% Vitamine C
3% calcium
2% fer
Ce jus a un goût assez doux et pas trop sucré. Il contient aussi des petits morceaux de noix de coco. Il est presque transparent, avec un aspect un peu blancheâtre. Et il me rappelle le jus de noix de coco qu'on buvait directement dans les noix, à Cuba ! :) Je le bois tel quel, ou encore avec un léger soupçon de jus d'ananas (très peu pour ne pas tuer le goût doux du jus de noix de coco). Je ne le recommande pas pour faire de la cuisine étant donné que son goût est facilement caché par celui des autres ingrédients. Je le recommande par contre fortement l'été prochain, près de la piscine ! :)
Pour les intéressés, je vous laisse la liste d'ingrédients, ainsi que la fiche nutritionnelle. J'ai acheté mes canettes de 520 mL chez Loblaws pour moins de 1$ (0,75$ je pense).
Ingrédients : Jus de noix de coco, eau, sucre, chair de noix de coco, métabisulfite de potassium.
Fiche nutritive (par 330 mL, soit 2/3 d'une canette) :
130 calories
1,5 g de gras dont 1 g saturé (mais aucun gras trans)
0 mg de cholesterol
55 mg de sodium
29 g de glucides dont 0 g de fibres et 26 g de sucre
o g de protéines
0% Vitamine A
0% Vitamine C
3% calcium
2% fer
vendredi 23 mars 2007
Crème de chou-fleur Chaï
J'étais à la recherche d'une recette de crème de chou-fleur pour passer un vieux chou-fleur flétri... et Torreon m'a proposé une superbe recette (qui provient de Food TV, de l'émission Surreal Gourmet). J'ai évidemment dû l'adapter car je n'avais pas de Cheerios et que je voulais que mon foie survive à cette recette ! Le résultat est fulgurant ! Une des soupes les plus intéressantes que j'ai goûtées de ma vie :) Ça goûte le thé Chaï et le chou-fleur... Oserez-vous ?
4 portions
1 chou-fleur détaillé en bouquets
1 oignon moyen tranché
1 tasse de crème 15% champêtre
2 tasses de lait
2 c. thé de garam masala
1 pincée de muscade
Sel et poivre au goût
Huile de canola
3/4 tasse de bouillon de poulet
Dans un grand chaudron, faire revenir l'oignon dans l'huile quelques minutes. Ajouter le chou-fleur, la crème, le lait et les épices. Porter à ébullition, réduire le feu puis laisser mijoter jusqu'à ce que le chou-fleur soit cuit, environ 20 minutes. Attention, ne faites pas comme moi ! Surveillez votre chaudron pour éviter que ça déborde ! Ceux qui me connaissent savent que je fais systématiquement déborder tout ce qui implique de faire chauffer du lait ou un sirop de sucre... !! :)
Réduire le tout en purée au blender et remettre dans le chaudron. Ajouter le bouillon de poulet et rectifier l'assaisonnement au besoin. Servir chaud.
4 portions
1 chou-fleur détaillé en bouquets
1 oignon moyen tranché
1 tasse de crème 15% champêtre
2 tasses de lait
2 c. thé de garam masala
1 pincée de muscade
Sel et poivre au goût
Huile de canola
3/4 tasse de bouillon de poulet
Dans un grand chaudron, faire revenir l'oignon dans l'huile quelques minutes. Ajouter le chou-fleur, la crème, le lait et les épices. Porter à ébullition, réduire le feu puis laisser mijoter jusqu'à ce que le chou-fleur soit cuit, environ 20 minutes. Attention, ne faites pas comme moi ! Surveillez votre chaudron pour éviter que ça déborde ! Ceux qui me connaissent savent que je fais systématiquement déborder tout ce qui implique de faire chauffer du lait ou un sirop de sucre... !! :)
Réduire le tout en purée au blender et remettre dans le chaudron. Ajouter le bouillon de poulet et rectifier l'assaisonnement au besoin. Servir chaud.
Muffins triple chocolat
Ces muffins sont DÉBILEMENT bons !! Ils viennent de chez Esther B, et je pense que c'est le plus grand "succès de muffins" que j'ai connu dans ma vie. Ils sont moëlleux, fondants, chocolatés, cochons... Tout ce qu'on peut désirer ! Tellement bons, que j'en ai fait deux fois cette semaine (!!!) et que je n'ai pas eu le temps de prendre une meilleure photo que celle que je vous présente ici... parce qu'ils partent trop vite, et parce qu'une fois sortis du moule, je n'ai pas la capacité de prendre le temps de les photographier !!!! Si je n'avais qu'une seule chose à manger avant de mourir, ça serait CES MUFFINS !! :)
12 muffins
1 1/2 tasse de farine
2/3 tasse de sucre
1/3 tasse de poudre de cacao
1 c. soupe de poudre à pâte
3/4 tasse de vraie mayonnaise
1 tasse d'eau (environ)
1 oeuf
3/4 tasse de pépites de chocolat mi-sucré
3/4 tasse de pépites de chocolat blanc
Dans un bol moyen, mélanger les ingrédients secs (personnellement, je tamise le cacao et la poudre à pâte car les miens sont plein de mottons).
Dans un grand bol, fouetter l'oeuf et la mayonnaise. Ajouter l'eau et fouetter. Ajouter le mélange d'ingrédients secs et mélanger doucement à l'aide d'une fourchette ou d'une cuillère en bois.
Répartir le tout dans 12 moules à muffins et cuire au four à 350°F pendant 25-30 minutes.
12 muffins
1 1/2 tasse de farine
2/3 tasse de sucre
1/3 tasse de poudre de cacao
1 c. soupe de poudre à pâte
3/4 tasse de vraie mayonnaise
1 tasse d'eau (environ)
1 oeuf
3/4 tasse de pépites de chocolat mi-sucré
3/4 tasse de pépites de chocolat blanc
Dans un bol moyen, mélanger les ingrédients secs (personnellement, je tamise le cacao et la poudre à pâte car les miens sont plein de mottons).
Dans un grand bol, fouetter l'oeuf et la mayonnaise. Ajouter l'eau et fouetter. Ajouter le mélange d'ingrédients secs et mélanger doucement à l'aide d'une fourchette ou d'une cuillère en bois.
Répartir le tout dans 12 moules à muffins et cuire au four à 350°F pendant 25-30 minutes.
samedi 17 mars 2007
Moussaka
Je vous présente aujourd'hui ma recette de Moussaka qui provient du site SOS Cuisine (modifiée, comme toujours). La moussaka est un plat à base d'agneau et d'aubergine. Si quelqu'un tente de vous servir de la moussaka contenant des patates pilées et/ou du boeuf, ne vous faites pas avoir ! Ce n'est pas de la vraie moussaka ! Personnellement, j'appellerais plutôt ça un pâté chinois à l'aubergine, héhé :)
Malheureusement, je n'ai aucune photo à vous présenter car ma moussaka est très peu photogénique. Tant qu'elle reste dans le plat, ça va, mais elle se déforme dès qu'on en sort un morceau. Ledit morceau ressemble plutôt à un "tas". Bref, vous devrez me croire sur parole lorsque que je vous dis que de la moussaka, c'est ben ben ben ben bon ! Par contre, c'est pas mal gras à cause de l'agneau mais aussi de l'huile d'olive absorbée par les aubergines.
4 portions
1 oignon haché fin
2 gousses d'ail hachées (au goût, j'en mets plus)
2 aubergines moyennes ou une grosse
1 livre (454 g) d'agneau haché
1/2 tasse de vin rouge
1 1/4 tasse de tomates broyées ou en dés, égouttées
1 c. thé d'origan séché
Sel et poivre au goût
Huile d'olive en quantité suffisante
2 c. soupe de beurre
2 c. soupe de farine
2 tasses de lait
1 1/2 tasse de fromage cheddar blanc râpé (je n'en ai jamais mis)
Chapelure nature pour couvrir
Faire revenir l'ail et l'oignon dans un peu d'huile. Ajouter la viande et la faire brunir. Ajouter le vin, les tomates, l'origan, le sel et le poivre. Cuire à feu élevé à découvert pour faire évaporer la presque totalité du liquide, en brassant souvent, pendant environ 20 à 30 minutes.
Pendant ce temps, trancher les aubergines en tranches de 1/2 cm (1/4 pouce). Faire frire les tranches d'aubergines quelques unes à la fois dans une grande poêle jusqu'à ce qu'elles soient dorées des deux côtés, en prenant soin d'ajouter de l'huile d'olive (quelques cuillères à soupe) à chaque nouvelle batch d'aubergines. Réserver les aubergines frites.
Préparer la sauce béchamel : Faire fondre le beurre dans une petite casserole. Ajouter la farine et fouetter. Incorporer le lait un peu à la fois en fouettant bien entre chaque ajout pour éliminer les grumeaux. Incorporer le fromage et mélanger jusqu'à ce qu'il soit fondu. Épaissir la sauce avec de la veloutine au besoin (je dois toujours épaissir la sauce puisque je ne mets pas de fromage).
Dans un grand plat en pyrex, déposer la moitié des aubergines. Ajouter le mélange de viande. Déposer le reste des aubergines puis couvrir de la sauce béchamel. Parsemer de chapelure et/ou de fromage râpé.
Cuire au four à 375°F pendant 30 minutes.
Dégustez avec un bon chutney maison ! Je voulais prendre le chutney à l'aubergine et à l'ail, mais QUELQU'UN m'a dit qu'on avait déjà trop de pots Mason ouverts au frigo... alors je me suis rabattue sur le chutney aux pommes. MAIS je soutiens que ça serait meilleur avec un chutney à l'aubergine et à l'ail !!! (Je peux mettre la recette s'il y a des intéressés.)
Malheureusement, je n'ai aucune photo à vous présenter car ma moussaka est très peu photogénique. Tant qu'elle reste dans le plat, ça va, mais elle se déforme dès qu'on en sort un morceau. Ledit morceau ressemble plutôt à un "tas". Bref, vous devrez me croire sur parole lorsque que je vous dis que de la moussaka, c'est ben ben ben ben bon ! Par contre, c'est pas mal gras à cause de l'agneau mais aussi de l'huile d'olive absorbée par les aubergines.
4 portions
1 oignon haché fin
2 gousses d'ail hachées (au goût, j'en mets plus)
2 aubergines moyennes ou une grosse
1 livre (454 g) d'agneau haché
1/2 tasse de vin rouge
1 1/4 tasse de tomates broyées ou en dés, égouttées
1 c. thé d'origan séché
Sel et poivre au goût
Huile d'olive en quantité suffisante
2 c. soupe de beurre
2 c. soupe de farine
2 tasses de lait
1 1/2 tasse de fromage cheddar blanc râpé (je n'en ai jamais mis)
Chapelure nature pour couvrir
Faire revenir l'ail et l'oignon dans un peu d'huile. Ajouter la viande et la faire brunir. Ajouter le vin, les tomates, l'origan, le sel et le poivre. Cuire à feu élevé à découvert pour faire évaporer la presque totalité du liquide, en brassant souvent, pendant environ 20 à 30 minutes.
Pendant ce temps, trancher les aubergines en tranches de 1/2 cm (1/4 pouce). Faire frire les tranches d'aubergines quelques unes à la fois dans une grande poêle jusqu'à ce qu'elles soient dorées des deux côtés, en prenant soin d'ajouter de l'huile d'olive (quelques cuillères à soupe) à chaque nouvelle batch d'aubergines. Réserver les aubergines frites.
Préparer la sauce béchamel : Faire fondre le beurre dans une petite casserole. Ajouter la farine et fouetter. Incorporer le lait un peu à la fois en fouettant bien entre chaque ajout pour éliminer les grumeaux. Incorporer le fromage et mélanger jusqu'à ce qu'il soit fondu. Épaissir la sauce avec de la veloutine au besoin (je dois toujours épaissir la sauce puisque je ne mets pas de fromage).
Dans un grand plat en pyrex, déposer la moitié des aubergines. Ajouter le mélange de viande. Déposer le reste des aubergines puis couvrir de la sauce béchamel. Parsemer de chapelure et/ou de fromage râpé.
Cuire au four à 375°F pendant 30 minutes.
Dégustez avec un bon chutney maison ! Je voulais prendre le chutney à l'aubergine et à l'ail, mais QUELQU'UN m'a dit qu'on avait déjà trop de pots Mason ouverts au frigo... alors je me suis rabattue sur le chutney aux pommes. MAIS je soutiens que ça serait meilleur avec un chutney à l'aubergine et à l'ail !!! (Je peux mettre la recette s'il y a des intéressés.)
vendredi 16 mars 2007
De retour de Cuba !
Me voici de retour de Cuba ! J'ai adoré ce pays. Je vous présenterai ici un bref résumé de mon voyage... question de vous donner le goût d'y aller aussi :)
Je diviserai ma présentation en quatre parties. Tout d'abord je ferai une présentation de l'hôtel et de la région de Santa Lucia. Ensuite, je parlerai évidemment de la plage. J'enchaînerai avec les activités que j'ai faites. Ceci inclut quelques expéditions culturelles et mais principalement des expéditions ayant pour but l'observation de la faune et de la flore locale. Finalement, je terminerai avec une brève présentation de la vie à Cuba.
Hôtel Brisas Santa Lucia et province de Camaguëy
Tout d'abord, mentionnons que l'arrivée se fait à l'aéroport de Camaguëy (prononcer CAMAWÉ), soit à environ 1h30 d'autobus de l'hôtel. Bien heureusement, les guides sont présents à l'aéroport et nous dirigent vers le bon autobus (ultra climatisé !) qui nous amènera à l'hôtel à travers les SUPERBES routes en EXCELLENT état de Cuba (lire : si vous pensez qu'on a des nids de poule au Québec, allez voir à Cuba et on s'en reparle !).
Arrivées à l'hôtel, un gentil jeune homme nous sert à boire pendant qu'on attend pour faire notre check-in. Bien heureusement, la guide nous a avisé durant le voyage en autobus que nous pouvions boire l'eau (et donc la glace) sans danger dans les restos et au bar, mais pas l'eau courante du robinet. Ensuite, on nous amène à notre chambre. Notons que nous aurions pu difficilement nous y rendre seules, car le site est gigantesque ! L'hôtel ressemble plutôt à un petit village. Il est composé de blocs qui contiennent entre 10-15 chambres chacun. Chaque chambre possède un balcon, un mini-frigo et une salle de bain privée.
Malgré que le Brisas soit classé 4 étoiles, il ne les fait pas. D'autres vacanciers nous ont affirmé que c'est en fait le chaîne d'hôtel Brisas qui est 4 étoiles, mais que les hôtels ne le sont pas tous. Les chambres sont correctes mais fatiguées et nos deux lits présentaient des creux assez importants. Mais bon, on ne va pas à Cuba pour dormir, alors on s'en fout un peu ! Et de toutes façons, ce ne sont pas les lits qui nous ont empêché de dormir, mais bien les ??%!? de voisins qui faisaient du bruit pendant toute la nuit.
Avant de partir pour Cuba, j'avais lu à plusieurs endroits que les petits cadeaux pour les femmes de chambre étaient bien appréciés, même plus appréciés qu'un pourboire en argent. Étant donné que les Cubains sont rationnés sur plusieurs choses, voici quelques petits cadeaux que j'ai amené, en me fiant sur les commentaires des gens qui y sont allés : savon (un gros paquet d'Ivory), shampoing, revitalisant, rasoirs jetables, bas de nylon, produits pour le corps (crèmes, etc.). Pour nous montrer son appréciation, notre femme de chambre nous faisait des petites surprises dans notre chambre incluant des fleurs, ce que nous appréciions énormément :)
Côté nourriture, nous n'avons pas eu de surprises. Nous savions que la nourriture n'allait pas être très fameuse ! Par contre, d'autres vacanciers nous ont dit que parmi les 4 hôtels de Santa Lucia, c'est le nôtre qui avait la meilleure nourriture. OUHLA ! Mais bon, étant donné que je suis habituée de me faire de la bonne bouffe maison, il se peut que je sois un peu difficile...
La nourriture se présente sous forme de buffet. Le concept est assez intéressant car ce n'est pas un buffet classique comme on les connait ici. Il y a évidemment des réchauds contenant de la nourriture mais aussi différents "bars" comme le bar à pain, bar à pâtes, bar à fruits, bar à viande, etc. Dans les réchauds, on trouvait toujours un plat de poisson, un plat de poulet, un plat de porc et parfois un plat de boeuf. On y trouvait aussi des légumes comme de la citrouille, des pommes de terre, des carottes, des patates sucrées (oranges ou roses) et des bananes plantains. Il y avait aussi nécessairement une section salade et crudités. En ce qui concerne le bar à viande, il s'agissait d'un gril sur lequel un cuisinier faisait griller de la viande avant de nous la servir. Le principe du bar à pâtes (mon préféré pour les plats de résistance !) était le suivant : on met dans une assiette les pâtes qu'on désire (2 sortes), des légumes au choix (congelés ou en boîte car non-locaux ou moins chers comme brocolis, choux de bruxelles, champignons, épinards etc). On ajoute ensuite la sauce de notre choix (tomate, rosée ou béchamelle) et un cuisinier s'occupe de faire chauffer le tout pour nous. Bien entendu, les sauces sont loin de goûter la même chose qu'ici, mais elles sont bonnes. Mon autre bar préféré : le bar à fruits !! De bons fuits locaux coupés devant nous : papaye, ananas, orange, pamplemousse, melon d'eau, goyave, ainsi qu'une montagne de bananes ! Malheureusement, malgré l'abondance de fruits, impossible de trouver du vrai jus à l'hôtel. Même le jus d'ananas goûte le TANG.
On a aussi accès au snackbar, au bar et au coffee bar 24h sur 24. Au snackbar, les frites sont incroyablement bonnes !!! Malheureusement, le ketchup est particulièrement horrible. Il goûte bizarre et a une texture gélatineuse. Bah, on s'habitue ! :) Au bar, on peut avoir toutes sortes de drinks intéressants dont l'incontournable Cuba Libre (rhum and coke) et le Mojito (citron et menthe fraîche). Et ils sont TRÈS généreux sur l'alcool !!! Au coffee bar, il FAUT prendre un café espagnol !! Je ne bois jamais de café... mais j'ai bu en une semaine à Cuba l'équivalent de ce que je bois au Québec en 5 ans.
Finalement, il y a beaucoup d'animation à l'hôtel et d'activités incluses dans le forfait comme des cours d'espagnol, des cours de danse (mais les cours sont très basic...), de l'aquaforme etc. À tous les soirs, il y a un spectacle, principalement de musique et/ou de danse. On a même eu droit à une adaptation de Chicago. Les animateurs sont vraiment excellents. En plus, ils parlent couramment 5 langues (français, anglais, espagnol, allemand et italien) et je trouve ça assez impressionnant !
Petite note pour les amateurs d'observation d'étoiles : À Cuba, il y a très peu de pollution atmosphérique (presque pas d'autos !) et le ciel est très clair car il y a peu de lumière "de ville". Là-bas, la Grande Ourse se tient debout sur le bout de la queue, et on peut voir Orion en entier, incluant son arc !! Dans le coin de Montréal, on ne voit souvent que la ceinture d'Orion et je n'avais jamais réussi à voir l'arc. Aussi, on peut y voir très facilement la constellation du Grand Chien (incluant la très brillante étoile Sirius) que j'ai d'abord baptisé la constellation de la Girafe, étant donné que la forme visible des étoiles les plus brillantes ressemble étrangement à cet animal au long cou ! À ma connaissance, la constellation du Grand chien n'est pas visible au Québec (du moins l'été)... sinon je l'aurais remarquée bien avant ! J'ai maintenant décidé que cette constellation serait ma préférée :) Pensez-vous que c'est un hasard si le parrain de Harry Potter, Sirius Black, soit un animagus qui se transforme en chien noir, et que l'étoile Sirius fasse partie de la constellation du Grand chien ??
Plage de Santa Lucia
Bien sûr, il y a une piscine à l'hôtel... mais pourquoi aller à la piscine quand on a accès à la mer juste à côté ?? :) Évidemment, la plupart des gens vont à Cuba pour la plage. La plage de Santa Lucia totalise 21 km en tout. C'est une plage de sable blanc très fin. Il y a quelques bien quelques algues, mais elles sont très courtes et pas fatigantes du tout. Étant donné que je ne m'étais baignée que dans les lacs du Québec, ce n'est certainement pas ces quelques petites algues qui allaient me faire peur !
La plage est équipée de nombreux palapas (parasol en feuilles de palmiers) et d'une grande quantité de chaises longues. Il y en a toujours pour tout le monde ! En plus, il y a un "club nautique" sur la plage où on peut louer différents équipements (inclus dans le forfait) comme des pédalos, kayaks, catamarans, masque et tuba, planche à voile, etc. Fait intéressant : on peut observer des poissons tropicaux (à l'aide du masque) tout près de la plage. Il faut aussi noter que l'eau est très peu profonde. Pour vous donner une idée : la barrière de corail est située à 2 km du rivage, et l'eau y est profonde de 1,5 m à 3 m seulement. Il y a aussi peu de vagues près de la plage (sauf les jours de grand vent) car la barrière de corail les empêche de s'y rendre. Étant donné la faible profondeur, l'eau est très clair et d'un beau bleu turquoise. Aussi, il y a toujours quelqu'un sur la plage qui offre des noix de cocos fraîches pour qu'on puisse y boire l'eau de coco (avec ou sans rhum !).
Activités et expéditions
Durant mon séjour, j'ai eu la chance de faire différentes activités et expéditions. Celles-ci sont évidemment payantes, puisque le tout inclus... n'inclut pas tout !
Lors de la première visite, nous avons visité une fabrique artisanale de violons. En fait, les gens y fabriquaient aussi d'autres instruments de musique, comme des guitares, des maracas, des claves et des poissons. Il y avait aussi quelques sculptures de bois.
Nous avons ensuite visité le village de Minas (que j'appelais évidemment Minas Tirith, héhé), tout près de la fabrique. On a entré dans différentes boutiques, dont l'épicerie (dont je reparlerai plus tard). Nous avons aussi eu la chance de visiter la maison d'une dame. Contre toute attente, la maison était bien belle ! Petite (la taille d'un appartement 4 et 1/2 environ) mais bien décorée et bien équipée. Bon, c'est pas le gros luxe canadien, mais la dame avait de beaux meubles, des électroménagers et même une télévision !
La visite principale consistait en la visite d'une ferme d'élevage de crocodiles. Ces crocodiles n'étaient PAS destinés à la fabrication de bottes ou de sacoches, mais bien à la remise en liberté lorsqu'ils atteignent l'âge de 12 à 15 ans. Nous avons pu observer des crocodiles âgées de quelques mois à 15 ans. Nous pouvions prendre dans nos mains le plus jeune et flatter ceux de quelques années (bien sûr, ils étaient bien attachés !). Je me sentais comme Steve Irwin :) Nous avons aussi visité les grands crocodiles de 15 ans dans leur enclos. Nous étions à quelques mètres d'eux, sans aucune barrière, et les employés les nourrissaient. Wow ! :) Ne vous inquiétez pas, ils sont bien nourris et ne mangent pas les touristes :)
Nous avons ensuite dîné dans un petit restaurant (délicieux, le seul bon repas à Cuba !) où nous avons découvert un merveilleux petit fruit mauve à l'extérieur et blanc à l'intérieur... dont je ne me souviens pas du nom. Mais il est introuvable à Montréal (notre guide avait habité 8 ans à Montréal et me l'a confirmé). Nous avons terminé la visite avec une démonstration de Santeria, une religion cubaine provenant d'Afrique. Heureusement pour nous, la chèvre n'a pas été sacrifiée (mais elle l'est normalement !).
La deuxième expédition à laquelle nous avons participé commençait par un trajet en catamaran durant lequel nous avons pu observer, entre autres, une ancienne forteresse, mais aussi principalement une colonie de flamants roses. Nous avons eu de la chance, car nous avons croisé les flamants le matin en catamaran. Ils se dirigeaient vers leur colonie à laquelle nous sommes arrivés vers midi. Nous nous sommes lentement approchés des oiseaux et une fois tout près, ils se sont tous envolés. C'était magnifique ! Pour ceux qui ne le savent pas, les flamants tiennent leur couleur rose des crevettes qu'ils mangent au cours de leur vie. Nous avons donc aussi pu observer des flamants juvéniles qui étaient tout blanc !
Nous nous sommes ensuite dirigés vers l'îles aux iguanes ! En effet, nous avons visité une île sur laquelle habitent une grande quantité d'iguanes. Elles sont habituées de voir des touristes et savent que nous allons les nourrir. Elles aiment beaucoup le pain... et les bananes ! Elles mangent même la pelure (bleh!).
Nous avons aussi dîné sur cette île, et comme le restaurant était plutôt une terrasse couverte de feuilles de palmiers, les iguanes sont montées sur la terrasse et ont dîné avec nous ! Il y en avait une très grosse qui m'aimait beaucoup... et c'était réciproque :)
Lors du voyage de retour, nous avons fait de la plongée en apnée dans la barrière de corail. Je ne suis malheureusement pas très douée pour la plongée (principalement pour le maniement du tuba) et je peux vous dire que j'en ai bu de l'eau de mer ! YEUK ! Le capitaine était adorable et m'a aidé à chaque fois que je retournais le voir pour lui dire qu'il y avait de l'eau dans mon masque, dans mon tuba, ou que j'avais une crampe aux pieds à cause des palmes ! Malgré tout, je suis très têtue et j'ai insisté pour faire mon 1h de plongée en entier. J'ai vu des très beaux poissons (les photos seront développées bientôt) et j'ai découvert que du corail... ça érafle des jambes !
Après la plongée, nous nous sommes arrêtés dans une colonie d'étoiles de mer. Un membre de l'équipage a plongé et nous a ramené une gigantesque étoile de mer ! Notre guide nous a fait tout un discours sur les étoiles de mer... et la seule chose que j'ai retenue est que les étoiles de mer ont le trou de cul sur la tête !! Ben coudonc :) C'est original comme bibitte hein !
Lors de notre dernière journée à Cuba, nous avons profité de nos derniers pesos pour faire une petite excursion à cheval sur la plage. Les chevaux étaient de vraies picouilles, mais c'était quand même amusant ! :)
Je diviserai ma présentation en quatre parties. Tout d'abord je ferai une présentation de l'hôtel et de la région de Santa Lucia. Ensuite, je parlerai évidemment de la plage. J'enchaînerai avec les activités que j'ai faites. Ceci inclut quelques expéditions culturelles et mais principalement des expéditions ayant pour but l'observation de la faune et de la flore locale. Finalement, je terminerai avec une brève présentation de la vie à Cuba.
Hôtel Brisas Santa Lucia et province de Camaguëy
Tout d'abord, mentionnons que l'arrivée se fait à l'aéroport de Camaguëy (prononcer CAMAWÉ), soit à environ 1h30 d'autobus de l'hôtel. Bien heureusement, les guides sont présents à l'aéroport et nous dirigent vers le bon autobus (ultra climatisé !) qui nous amènera à l'hôtel à travers les SUPERBES routes en EXCELLENT état de Cuba (lire : si vous pensez qu'on a des nids de poule au Québec, allez voir à Cuba et on s'en reparle !).
Petite note sur la province de Camaguëy : C'est la plus grande province de Cuba. Elle est située environ au centre de l'île de Cuba. C'est une région très plane avec très peu de montagnes et beaucoup de champs. On y élève notamment beaucoup de bétail. Les vaches élevées là-bas sont en fait des zébus (vaches avec une bosse sur le dos) qui ont été mélangés avec des vaches canadiennes Holstein dans les années 60. Elles résistent très bien à la chaleur mais donnent peu de lait (1-2 litres par jour), d'où la raison pour laquelle on les a mêlées à des vaches canadiennes qui donnent 5-6 litres de lait par jour. La région où nous avons séjournée est le village de Santa Lucia. On y trouve 4 hôtels situés les uns à côté des autres ainsi que la deuxième plus grande barrière de corail au monde, après celle de l'Australie.
Arrivées à l'hôtel, un gentil jeune homme nous sert à boire pendant qu'on attend pour faire notre check-in. Bien heureusement, la guide nous a avisé durant le voyage en autobus que nous pouvions boire l'eau (et donc la glace) sans danger dans les restos et au bar, mais pas l'eau courante du robinet. Ensuite, on nous amène à notre chambre. Notons que nous aurions pu difficilement nous y rendre seules, car le site est gigantesque ! L'hôtel ressemble plutôt à un petit village. Il est composé de blocs qui contiennent entre 10-15 chambres chacun. Chaque chambre possède un balcon, un mini-frigo et une salle de bain privée.
Malgré que le Brisas soit classé 4 étoiles, il ne les fait pas. D'autres vacanciers nous ont affirmé que c'est en fait le chaîne d'hôtel Brisas qui est 4 étoiles, mais que les hôtels ne le sont pas tous. Les chambres sont correctes mais fatiguées et nos deux lits présentaient des creux assez importants. Mais bon, on ne va pas à Cuba pour dormir, alors on s'en fout un peu ! Et de toutes façons, ce ne sont pas les lits qui nous ont empêché de dormir, mais bien les ??%!? de voisins qui faisaient du bruit pendant toute la nuit.
Avant de partir pour Cuba, j'avais lu à plusieurs endroits que les petits cadeaux pour les femmes de chambre étaient bien appréciés, même plus appréciés qu'un pourboire en argent. Étant donné que les Cubains sont rationnés sur plusieurs choses, voici quelques petits cadeaux que j'ai amené, en me fiant sur les commentaires des gens qui y sont allés : savon (un gros paquet d'Ivory), shampoing, revitalisant, rasoirs jetables, bas de nylon, produits pour le corps (crèmes, etc.). Pour nous montrer son appréciation, notre femme de chambre nous faisait des petites surprises dans notre chambre incluant des fleurs, ce que nous appréciions énormément :)
Côté nourriture, nous n'avons pas eu de surprises. Nous savions que la nourriture n'allait pas être très fameuse ! Par contre, d'autres vacanciers nous ont dit que parmi les 4 hôtels de Santa Lucia, c'est le nôtre qui avait la meilleure nourriture. OUHLA ! Mais bon, étant donné que je suis habituée de me faire de la bonne bouffe maison, il se peut que je sois un peu difficile...
La nourriture se présente sous forme de buffet. Le concept est assez intéressant car ce n'est pas un buffet classique comme on les connait ici. Il y a évidemment des réchauds contenant de la nourriture mais aussi différents "bars" comme le bar à pain, bar à pâtes, bar à fruits, bar à viande, etc. Dans les réchauds, on trouvait toujours un plat de poisson, un plat de poulet, un plat de porc et parfois un plat de boeuf. On y trouvait aussi des légumes comme de la citrouille, des pommes de terre, des carottes, des patates sucrées (oranges ou roses) et des bananes plantains. Il y avait aussi nécessairement une section salade et crudités. En ce qui concerne le bar à viande, il s'agissait d'un gril sur lequel un cuisinier faisait griller de la viande avant de nous la servir. Le principe du bar à pâtes (mon préféré pour les plats de résistance !) était le suivant : on met dans une assiette les pâtes qu'on désire (2 sortes), des légumes au choix (congelés ou en boîte car non-locaux ou moins chers comme brocolis, choux de bruxelles, champignons, épinards etc). On ajoute ensuite la sauce de notre choix (tomate, rosée ou béchamelle) et un cuisinier s'occupe de faire chauffer le tout pour nous. Bien entendu, les sauces sont loin de goûter la même chose qu'ici, mais elles sont bonnes. Mon autre bar préféré : le bar à fruits !! De bons fuits locaux coupés devant nous : papaye, ananas, orange, pamplemousse, melon d'eau, goyave, ainsi qu'une montagne de bananes ! Malheureusement, malgré l'abondance de fruits, impossible de trouver du vrai jus à l'hôtel. Même le jus d'ananas goûte le TANG.
On a aussi accès au snackbar, au bar et au coffee bar 24h sur 24. Au snackbar, les frites sont incroyablement bonnes !!! Malheureusement, le ketchup est particulièrement horrible. Il goûte bizarre et a une texture gélatineuse. Bah, on s'habitue ! :) Au bar, on peut avoir toutes sortes de drinks intéressants dont l'incontournable Cuba Libre (rhum and coke) et le Mojito (citron et menthe fraîche). Et ils sont TRÈS généreux sur l'alcool !!! Au coffee bar, il FAUT prendre un café espagnol !! Je ne bois jamais de café... mais j'ai bu en une semaine à Cuba l'équivalent de ce que je bois au Québec en 5 ans.
Finalement, il y a beaucoup d'animation à l'hôtel et d'activités incluses dans le forfait comme des cours d'espagnol, des cours de danse (mais les cours sont très basic...), de l'aquaforme etc. À tous les soirs, il y a un spectacle, principalement de musique et/ou de danse. On a même eu droit à une adaptation de Chicago. Les animateurs sont vraiment excellents. En plus, ils parlent couramment 5 langues (français, anglais, espagnol, allemand et italien) et je trouve ça assez impressionnant !
Petite note pour les amateurs d'observation d'étoiles : À Cuba, il y a très peu de pollution atmosphérique (presque pas d'autos !) et le ciel est très clair car il y a peu de lumière "de ville". Là-bas, la Grande Ourse se tient debout sur le bout de la queue, et on peut voir Orion en entier, incluant son arc !! Dans le coin de Montréal, on ne voit souvent que la ceinture d'Orion et je n'avais jamais réussi à voir l'arc. Aussi, on peut y voir très facilement la constellation du Grand Chien (incluant la très brillante étoile Sirius) que j'ai d'abord baptisé la constellation de la Girafe, étant donné que la forme visible des étoiles les plus brillantes ressemble étrangement à cet animal au long cou ! À ma connaissance, la constellation du Grand chien n'est pas visible au Québec (du moins l'été)... sinon je l'aurais remarquée bien avant ! J'ai maintenant décidé que cette constellation serait ma préférée :) Pensez-vous que c'est un hasard si le parrain de Harry Potter, Sirius Black, soit un animagus qui se transforme en chien noir, et que l'étoile Sirius fasse partie de la constellation du Grand chien ??
Plage de Santa Lucia
Bien sûr, il y a une piscine à l'hôtel... mais pourquoi aller à la piscine quand on a accès à la mer juste à côté ?? :) Évidemment, la plupart des gens vont à Cuba pour la plage. La plage de Santa Lucia totalise 21 km en tout. C'est une plage de sable blanc très fin. Il y a quelques bien quelques algues, mais elles sont très courtes et pas fatigantes du tout. Étant donné que je ne m'étais baignée que dans les lacs du Québec, ce n'est certainement pas ces quelques petites algues qui allaient me faire peur !
La plage est équipée de nombreux palapas (parasol en feuilles de palmiers) et d'une grande quantité de chaises longues. Il y en a toujours pour tout le monde ! En plus, il y a un "club nautique" sur la plage où on peut louer différents équipements (inclus dans le forfait) comme des pédalos, kayaks, catamarans, masque et tuba, planche à voile, etc. Fait intéressant : on peut observer des poissons tropicaux (à l'aide du masque) tout près de la plage. Il faut aussi noter que l'eau est très peu profonde. Pour vous donner une idée : la barrière de corail est située à 2 km du rivage, et l'eau y est profonde de 1,5 m à 3 m seulement. Il y a aussi peu de vagues près de la plage (sauf les jours de grand vent) car la barrière de corail les empêche de s'y rendre. Étant donné la faible profondeur, l'eau est très clair et d'un beau bleu turquoise. Aussi, il y a toujours quelqu'un sur la plage qui offre des noix de cocos fraîches pour qu'on puisse y boire l'eau de coco (avec ou sans rhum !).
Activités et expéditions
Durant mon séjour, j'ai eu la chance de faire différentes activités et expéditions. Celles-ci sont évidemment payantes, puisque le tout inclus... n'inclut pas tout !
Lors de la première visite, nous avons visité une fabrique artisanale de violons. En fait, les gens y fabriquaient aussi d'autres instruments de musique, comme des guitares, des maracas, des claves et des poissons. Il y avait aussi quelques sculptures de bois.
Nous avons ensuite visité le village de Minas (que j'appelais évidemment Minas Tirith, héhé), tout près de la fabrique. On a entré dans différentes boutiques, dont l'épicerie (dont je reparlerai plus tard). Nous avons aussi eu la chance de visiter la maison d'une dame. Contre toute attente, la maison était bien belle ! Petite (la taille d'un appartement 4 et 1/2 environ) mais bien décorée et bien équipée. Bon, c'est pas le gros luxe canadien, mais la dame avait de beaux meubles, des électroménagers et même une télévision !
Nous avons ensuite dîné dans un petit restaurant (délicieux, le seul bon repas à Cuba !) où nous avons découvert un merveilleux petit fruit mauve à l'extérieur et blanc à l'intérieur... dont je ne me souviens pas du nom. Mais il est introuvable à Montréal (notre guide avait habité 8 ans à Montréal et me l'a confirmé). Nous avons terminé la visite avec une démonstration de Santeria, une religion cubaine provenant d'Afrique. Heureusement pour nous, la chèvre n'a pas été sacrifiée (mais elle l'est normalement !).
La deuxième expédition à laquelle nous avons participé commençait par un trajet en catamaran durant lequel nous avons pu observer, entre autres, une ancienne forteresse, mais aussi principalement une colonie de flamants roses. Nous avons eu de la chance, car nous avons croisé les flamants le matin en catamaran. Ils se dirigeaient vers leur colonie à laquelle nous sommes arrivés vers midi. Nous nous sommes lentement approchés des oiseaux et une fois tout près, ils se sont tous envolés. C'était magnifique ! Pour ceux qui ne le savent pas, les flamants tiennent leur couleur rose des crevettes qu'ils mangent au cours de leur vie. Nous avons donc aussi pu observer des flamants juvéniles qui étaient tout blanc !
Nous nous sommes ensuite dirigés vers l'îles aux iguanes ! En effet, nous avons visité une île sur laquelle habitent une grande quantité d'iguanes. Elles sont habituées de voir des touristes et savent que nous allons les nourrir. Elles aiment beaucoup le pain... et les bananes ! Elles mangent même la pelure (bleh!).
Nous avons aussi dîné sur cette île, et comme le restaurant était plutôt une terrasse couverte de feuilles de palmiers, les iguanes sont montées sur la terrasse et ont dîné avec nous ! Il y en avait une très grosse qui m'aimait beaucoup... et c'était réciproque :)
Lors du voyage de retour, nous avons fait de la plongée en apnée dans la barrière de corail. Je ne suis malheureusement pas très douée pour la plongée (principalement pour le maniement du tuba) et je peux vous dire que j'en ai bu de l'eau de mer ! YEUK ! Le capitaine était adorable et m'a aidé à chaque fois que je retournais le voir pour lui dire qu'il y avait de l'eau dans mon masque, dans mon tuba, ou que j'avais une crampe aux pieds à cause des palmes ! Malgré tout, je suis très têtue et j'ai insisté pour faire mon 1h de plongée en entier. J'ai vu des très beaux poissons (les photos seront développées bientôt) et j'ai découvert que du corail... ça érafle des jambes !
Après la plongée, nous nous sommes arrêtés dans une colonie d'étoiles de mer. Un membre de l'équipage a plongé et nous a ramené une gigantesque étoile de mer ! Notre guide nous a fait tout un discours sur les étoiles de mer... et la seule chose que j'ai retenue est que les étoiles de mer ont le trou de cul sur la tête !! Ben coudonc :) C'est original comme bibitte hein !
Lors de notre dernière journée à Cuba, nous avons profité de nos derniers pesos pour faire une petite excursion à cheval sur la plage. Les chevaux étaient de vraies picouilles, mais c'était quand même amusant ! :)
Les bonnes vieilles picouilles de Cuba :)
Vie à Cuba
On s'en doute, la vie à Cuba est bien différente de celle au Canada. Les Cubains vivent présentement sous un régime communiste (tout le monde connaît Fidel, pas besoin de résumé ?). Évidemment, ce régime a des pours et des contres. Parmi les pours, le système de santé est excellent. Aussi, le taux d'alphabétisation est presque de 100% (et bien meilleur qu'aux États-Unis entk !). Notre guide nous expliquait que le gouvernement installe des écoles partout où il y a des enfants. Nous avons vu une école qui ne sert qu'à 4 enfants. Les écoles doivent être équipées avec l'électricité (dans ce cas, c'étaient des panneaux solaires) et d'ordinateurs, car les enfants ont des cours d'informatique très tôt.
Un pour/contre est que les gens sont rationnés sur la nourriture. Cela permet à tout le monde d'avoir une minimum à manger à tous les mois. Nous avons d'ailleurs visité une épicerie cubaine où les gens s'approvisionnent pour leurs rations. Rien à voir avec nos supermarchés ! Ce que vous voyez sur la photo, c'est exactement la moitié de l'épicerie. L'épicerie fournit la farine, le riz, le lait en poudre, les compotes de fruits, etc. Pas de viande, pas de légumes. J'en ai parlé avec le guide, et il a confirmé ce que je pensais : les gens élèvent toujours quelques animaux chez eux, surtout du porc et des poulets. Aussi, j'ai remarqué que plusieurs terrains possédaient des bananiers. Notez toutefois que les rations de nourriture ne sont pas le MAXIMUM qu'un Cubain peut acheter. Ceux qui ont plus d'argent peuvent acheter de la nourriture supplémentaire. Par contre, je ne suis pas au courant des salaires et de la valeur des choses à Cuba, alors reste à voir qui peut VRAIMENT acheter plus à manger. Toutefois, le niveau de vie des Cubains a augmenté de 200% dans les dernières années, et ils savent que même si leur vie n'est pas parfaite, il y a des pays où les gens n'ont même pas à manger.
Un contre est que le gouvernement contrôle tout. Les gens n'ont pas le droit d'avoir de grandes entreprises privées. Par exemple, notre guide nous expliquait que si quelqu'un veut avoir un restaurant, il ne peut pas avoir plus de 12 places dans le restaurant. Les entreprises privées doivent toujours rester très petites.
Étant donné ma visite en Camaguëy, j'ai pu observer principalement des paysages campagnards. Les maisons sont généralement petites avec un toit en feuilles de palmiers. Peu de Cubains possèdent une voiture, et on voit énormément de gens circuler en vélo ou à cheval. À ce sujet, il y a énormément de chevaux à Cuba ! Ça m'a vraiment étonner d'en voir autant. J'ai même vu un char tiré par des boeufs :)
Une autre chose très présente dans les campagnes de Cuba : les chiens sauvages. En effet, ceux-ci se déplacent en horde et tuent du bétail (veaux et agneaux) sans même les manger. Les paysans les détestent comme la peste. À toutes les semaines, ils tuent un chien sauvage et le pendent à un arbre, pour montrer aux autres chiens ce qui les attend ! Nous avons d'ailleurs vu un de ces chiens pendus près de la route.
Pour terminer, Cuba est un pays où il y a eu énormément de métissage dans le passé (autochtones, colons espagnols, esclaves africains). La culture et les gens sont très variés. Aussi, les gens sont extrêmement accueillants, et c'est un plaisir de les visiter.
Vie à Cuba
On s'en doute, la vie à Cuba est bien différente de celle au Canada. Les Cubains vivent présentement sous un régime communiste (tout le monde connaît Fidel, pas besoin de résumé ?). Évidemment, ce régime a des pours et des contres. Parmi les pours, le système de santé est excellent. Aussi, le taux d'alphabétisation est presque de 100% (et bien meilleur qu'aux États-Unis entk !). Notre guide nous expliquait que le gouvernement installe des écoles partout où il y a des enfants. Nous avons vu une école qui ne sert qu'à 4 enfants. Les écoles doivent être équipées avec l'électricité (dans ce cas, c'étaient des panneaux solaires) et d'ordinateurs, car les enfants ont des cours d'informatique très tôt.
Un pour/contre est que les gens sont rationnés sur la nourriture. Cela permet à tout le monde d'avoir une minimum à manger à tous les mois. Nous avons d'ailleurs visité une épicerie cubaine où les gens s'approvisionnent pour leurs rations. Rien à voir avec nos supermarchés ! Ce que vous voyez sur la photo, c'est exactement la moitié de l'épicerie. L'épicerie fournit la farine, le riz, le lait en poudre, les compotes de fruits, etc. Pas de viande, pas de légumes. J'en ai parlé avec le guide, et il a confirmé ce que je pensais : les gens élèvent toujours quelques animaux chez eux, surtout du porc et des poulets. Aussi, j'ai remarqué que plusieurs terrains possédaient des bananiers. Notez toutefois que les rations de nourriture ne sont pas le MAXIMUM qu'un Cubain peut acheter. Ceux qui ont plus d'argent peuvent acheter de la nourriture supplémentaire. Par contre, je ne suis pas au courant des salaires et de la valeur des choses à Cuba, alors reste à voir qui peut VRAIMENT acheter plus à manger. Toutefois, le niveau de vie des Cubains a augmenté de 200% dans les dernières années, et ils savent que même si leur vie n'est pas parfaite, il y a des pays où les gens n'ont même pas à manger.
Un contre est que le gouvernement contrôle tout. Les gens n'ont pas le droit d'avoir de grandes entreprises privées. Par exemple, notre guide nous expliquait que si quelqu'un veut avoir un restaurant, il ne peut pas avoir plus de 12 places dans le restaurant. Les entreprises privées doivent toujours rester très petites.
Étant donné ma visite en Camaguëy, j'ai pu observer principalement des paysages campagnards. Les maisons sont généralement petites avec un toit en feuilles de palmiers. Peu de Cubains possèdent une voiture, et on voit énormément de gens circuler en vélo ou à cheval. À ce sujet, il y a énormément de chevaux à Cuba ! Ça m'a vraiment étonner d'en voir autant. J'ai même vu un char tiré par des boeufs :)
Une autre chose très présente dans les campagnes de Cuba : les chiens sauvages. En effet, ceux-ci se déplacent en horde et tuent du bétail (veaux et agneaux) sans même les manger. Les paysans les détestent comme la peste. À toutes les semaines, ils tuent un chien sauvage et le pendent à un arbre, pour montrer aux autres chiens ce qui les attend ! Nous avons d'ailleurs vu un de ces chiens pendus près de la route.
Pour terminer, Cuba est un pays où il y a eu énormément de métissage dans le passé (autochtones, colons espagnols, esclaves africains). La culture et les gens sont très variés. Aussi, les gens sont extrêmement accueillants, et c'est un plaisir de les visiter.
Pogos maison
Une petite gâterie qui coûte bien moins cher à faire chez soi qu'à acheter à l'épicerie ! Quand on pense que ça se vend environ 6-7$ pour 8 pogos... Et que ça coûte moins de 5$ pour en faire 24 ! J'ai dû en faire une batch avant de partir à Cuba, parce que QUELQU'UN m'achalait pour en avoir depuis un petit moment :)
La recette provient du site Recettes.qc.ca. Je l'ai légèrement modifiée. Ça fait plusieurs années que j'en fait et c'est toujours aussi bon ! (Pour des pogos... on s'entend) On peut varier les proportions de farine blanche et farine de maïs pour changer le goût de la pâte, ou remplacer une partie par de la semoule de maïs.
2 tasses de farine tout usage
3/4 tasse de farine de maïs
1/4 tasse de sucre
1 c. thé de bicarbonate de soude
1 1/2 c. thé de sel (au goût)
1 3/4 tasse de lait, environ
2 jaunes d'oeuf
24 saucisses
24 bâtons à café/popsicle
1 litre d'huile de canola pour la friture
Dans un grand bol, bien mélanger les farines, le sucre, le sel et le bicarbonate de soude.
Dans un petit bol (j'utilise une tasse à mesurer d'une capacité de 2 tasses), verser le lait et ajouter les jaunes d'oeuf. Battre ensemble puis incorporer au mélange sec. Fouetter le mélange jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de grumeaux. La texture de la pâte doit être plus épaisse que de la pâte à crêpe, mais moins épaisse que de la pâte à muffins. Ajouter du lait au besoin, une petite quantité à la fois.
Verser l'huile dans un chaudron et la faire chauffer sur le poêle (c'est sans danger si vous surveillez la cuisson !). Personnellement, je pars l'huile à HIGH et quand je sens qu'elle est bien chaude, je fais tomber une goutte de pâte dans l'huile. Si la goutte de pâte remonte immédiatement, l'huile est à la bonne température. Je baisse alors un tout petit peu la température du rond (d'une ou deux coches, pas plus car on ne veut pas perdre la chaleur !).
NOTE : Si l'huile est trop chaude, les pogos seront trop cuits. Si l'huile n'est pas assez chaude, les pogos prendront beaucoup de temps à cuire et absorberont énormément d'huile. En général, ça prend environ 1-2 minute pour cuire un pogo.
Les étapes suivantes sont plus faciles à réaliser à deux. Je vous conseille donc de vous trouver un associé !
Tout d'abord, goûter une saucisse pour s'assurer qu'elles sont bonnes (hum-hum... :)
Préparer une grande assiette garnie d'essuie-touts. Garder cette assiette à portée de main. Déposer le bol de pâte sur le poêle, près du chaudron.
Travail de la première personne : Tremper les saucisses hotdog une à une dans la pâte en prenant soin de bien les enrober puis de les égoutter légèrement avant de les déposer dans l'huile chaude. Les pogos devraient immédiatement remonter à la surface, sinon l'huile n'est pas assez chaude. On peut déposer 2-3 pogos à la fois dans le chaudron, dépendamment de sa taille. Après quelques saucisses trempées, vous aurez les mains bien pleines de pâte à pogo séchée... d'où l'importance de la deuxième personne !
Travail de la deuxième personne : S'assurer que les pogos cuisent des deux côtés (on manipule délicatement les pogos à l'aide de deux fourchettes pour les faire pivoter) puis les déposer dans l'assiette garnie d'essuie-touts lorsqu'ils sont dorés.
Lorsque tous les pogos sont frits, les enfiler sur un bâtonnet en bois. Conserver au congélateur. Faire cuire les pogos au four environ 20 minutes à 350°F-400°F avant de les manger (même si vous venez juste de les faire frire).
Si mes explications vous semblent fastidieuses, dites-vous que j'ai simplement mis beaucoup de détails pour m'assurer que vous comprenez bien comment faire ! :) La recette en soi est très facile, mais peut demander un peu de pratique si on n'est pas habitué à travailler la friture (ce qui était mon cas, mais maintenant c'est réglé).
Si votre huile est à la bonne température, vous ne devriez absorber qu'environ 1/4 à 1/3 de tasse d'huile pour la fabrication de 24 pogos, ce qui est assez bien en soi (au gros maximum 1 c. thé d'huile par pogo, en étant généreux). Par contre, ça ne tient pas compte de la cochonnerie qu'on retrouve dans la saucisse... :) Bien sûr, vous pouvez utiliser des Veggiedog ou des Tofudog, mais ça va vous coûter par mal plus cher !
En ce qui concerne l'huile à friture usagée : je la filtre et la conserve au frigo pour une utilisation ultérieure.
Bon appétit !
La recette provient du site Recettes.qc.ca. Je l'ai légèrement modifiée. Ça fait plusieurs années que j'en fait et c'est toujours aussi bon ! (Pour des pogos... on s'entend) On peut varier les proportions de farine blanche et farine de maïs pour changer le goût de la pâte, ou remplacer une partie par de la semoule de maïs.
2 tasses de farine tout usage
3/4 tasse de farine de maïs
1/4 tasse de sucre
1 c. thé de bicarbonate de soude
1 1/2 c. thé de sel (au goût)
1 3/4 tasse de lait, environ
2 jaunes d'oeuf
24 saucisses
24 bâtons à café/popsicle
1 litre d'huile de canola pour la friture
Dans un grand bol, bien mélanger les farines, le sucre, le sel et le bicarbonate de soude.
Dans un petit bol (j'utilise une tasse à mesurer d'une capacité de 2 tasses), verser le lait et ajouter les jaunes d'oeuf. Battre ensemble puis incorporer au mélange sec. Fouetter le mélange jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de grumeaux. La texture de la pâte doit être plus épaisse que de la pâte à crêpe, mais moins épaisse que de la pâte à muffins. Ajouter du lait au besoin, une petite quantité à la fois.
Verser l'huile dans un chaudron et la faire chauffer sur le poêle (c'est sans danger si vous surveillez la cuisson !). Personnellement, je pars l'huile à HIGH et quand je sens qu'elle est bien chaude, je fais tomber une goutte de pâte dans l'huile. Si la goutte de pâte remonte immédiatement, l'huile est à la bonne température. Je baisse alors un tout petit peu la température du rond (d'une ou deux coches, pas plus car on ne veut pas perdre la chaleur !).
NOTE : Si l'huile est trop chaude, les pogos seront trop cuits. Si l'huile n'est pas assez chaude, les pogos prendront beaucoup de temps à cuire et absorberont énormément d'huile. En général, ça prend environ 1-2 minute pour cuire un pogo.
Les étapes suivantes sont plus faciles à réaliser à deux. Je vous conseille donc de vous trouver un associé !
Tout d'abord, goûter une saucisse pour s'assurer qu'elles sont bonnes (hum-hum... :)
Préparer une grande assiette garnie d'essuie-touts. Garder cette assiette à portée de main. Déposer le bol de pâte sur le poêle, près du chaudron.
Travail de la première personne : Tremper les saucisses hotdog une à une dans la pâte en prenant soin de bien les enrober puis de les égoutter légèrement avant de les déposer dans l'huile chaude. Les pogos devraient immédiatement remonter à la surface, sinon l'huile n'est pas assez chaude. On peut déposer 2-3 pogos à la fois dans le chaudron, dépendamment de sa taille. Après quelques saucisses trempées, vous aurez les mains bien pleines de pâte à pogo séchée... d'où l'importance de la deuxième personne !
Travail de la deuxième personne : S'assurer que les pogos cuisent des deux côtés (on manipule délicatement les pogos à l'aide de deux fourchettes pour les faire pivoter) puis les déposer dans l'assiette garnie d'essuie-touts lorsqu'ils sont dorés.
Lorsque tous les pogos sont frits, les enfiler sur un bâtonnet en bois. Conserver au congélateur. Faire cuire les pogos au four environ 20 minutes à 350°F-400°F avant de les manger (même si vous venez juste de les faire frire).
Si mes explications vous semblent fastidieuses, dites-vous que j'ai simplement mis beaucoup de détails pour m'assurer que vous comprenez bien comment faire ! :) La recette en soi est très facile, mais peut demander un peu de pratique si on n'est pas habitué à travailler la friture (ce qui était mon cas, mais maintenant c'est réglé).
Si votre huile est à la bonne température, vous ne devriez absorber qu'environ 1/4 à 1/3 de tasse d'huile pour la fabrication de 24 pogos, ce qui est assez bien en soi (au gros maximum 1 c. thé d'huile par pogo, en étant généreux). Par contre, ça ne tient pas compte de la cochonnerie qu'on retrouve dans la saucisse... :) Bien sûr, vous pouvez utiliser des Veggiedog ou des Tofudog, mais ça va vous coûter par mal plus cher !
En ce qui concerne l'huile à friture usagée : je la filtre et la conserve au frigo pour une utilisation ultérieure.
Bon appétit !
dimanche 4 mars 2007
Absence
Aucun nouveau message ne sera affiché entre aujourd'hui et le 13 mars prochain... car je m'en vais à Cuba pour une semaine !!! Je vous mettrai des photos au retour :)
Katia
Katia
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