Livres lus
Les deux tours, JRR Tolkien
Astérix ches les Helvètes, Goscinny et Uderzo
Le goût des jeunes filles, Dany Laferrière
Le chardon et le tartan t.1, Diana Gabaldon
Le chardon et le tartan t.2, Diana Gabaldon
Le chardon et le tartan t.3, Diana Gabaldon
206 bones, Kathy Reichs
Brigitte des colères, Jérôme Lafond
La frousse autour du monde t.1, Bruno Blanchet
La frousse autour du monde t.2, Bruno Blanchet
La frousse autour du monde t.3, Bruno Blanchet
Le sumo qui ne pouvait pas grossir, Éric Emmanuel Schmitt
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Éric Emmanuel Schmitt
Folle, Nelly Arcan
Livres à lire
L'art de l'essentiel, Dominique Loreau
En plein coeur, Louise Penny
Nora Roberts
Game of thrones
Sherlock Holmes
Nelly Arcan
vendredi 31 décembre 2010
Trempette à l'oignon français
Pour accompagner mes légumes lors de mon cocktail dînatoire, j'ai opté pour une recette de Guy Fieri que Jasmine a réalisé lors de notre souper thématique Guy Fieri. Comme toujours, elle a été très appréciée. Je crois que c'est le premier plat qui m'a valu des "faut que tu me donnes ta recette" !!!
2 tasses de trempette
1 oignon Vidalia (oignon doux) tranché mince
2 échalotes françaises tranchées mince
2 gousses d'ail hachées
Huile de canola et beurre en quantité suffisante
1 tasse de crème sûre
1/2 tasse de mayonnaise
1/2 cuillère à thé de sel de céleri
1/2 cuillère à thé de sauce Worcestershire
Sel et poivre au goût
Faire revenir l'oignon, l'échalote et l'ail dans un mélange d'huile et de beurre. Cuire à feu moyen-doux pendant 20 minutes, jusqu'à ce que les oignons soient dorés et caramélisés. Laisser tiédir.
Au robot culinaire, pulser le mélange d'oignons pour obtenir des petits morceaux, mais pas une purée. Mélanger dans un bol avec le reste des ingrédients. Réfrigérer au moins 2 heures ou encore mieux, toute une nuit. Servir avec des crudités et des craquelins.
2 tasses de trempette
1 oignon Vidalia (oignon doux) tranché mince
2 échalotes françaises tranchées mince
2 gousses d'ail hachées
Huile de canola et beurre en quantité suffisante
1 tasse de crème sûre
1/2 tasse de mayonnaise
1/2 cuillère à thé de sel de céleri
1/2 cuillère à thé de sauce Worcestershire
Sel et poivre au goût
Faire revenir l'oignon, l'échalote et l'ail dans un mélange d'huile et de beurre. Cuire à feu moyen-doux pendant 20 minutes, jusqu'à ce que les oignons soient dorés et caramélisés. Laisser tiédir.
Au robot culinaire, pulser le mélange d'oignons pour obtenir des petits morceaux, mais pas une purée. Mélanger dans un bol avec le reste des ingrédients. Réfrigérer au moins 2 heures ou encore mieux, toute une nuit. Servir avec des crudités et des craquelins.
jeudi 30 décembre 2010
Cocktail dînatoire entre amis 2010
C'est que ça devient une habitude ! Pour la 3e fois en 4 ans, j'ai reçu mes amis à souper dans le temps des fêtes sur le thème du cocktail dînatoire. Non seulement c'est une formule qui plaît beaucoup, mais ça m'arrange car ma table de cuisine ne peut accommoder que 4 personnes. Il suffit de garnir la table de plats préparés plus tôt ou la veille et tout le monde prend ce qu'il veut. J'ai opté pour la version "bite size" pour qu'aucun ustensile supplémentaire ne soit requis. Étant donné que mes invités ont tout mangé - comme Obélix chez Mannekenpix - (même pas de restants pour mes lunchs !!!), je peux conclure que ce fut un succès !
Voici donc le menu que j'ai choisi. Je publierai les recettes manquantes au cours des prochains jours.
À l'accueil :
Seabreeze
Au repas :
Accras de morue servis avec sauce chien (environ 25)
Champignons farcis au fromage, bacon et noix de grenoble (3 paquets de champignons)
Mini scones au fromage (1/2 recette)
Crudités avec trempette aux fines herbes et trempette à l'oignon français
Saucisson aux champignons forestiers et rillette de porc (le tout de chez Cochon cent façons)
Petits choux à l'indienne (environ 30)
Canapés au fromage de chèvre et poivron grillé (environ 15)
Au dessert :
Chocolats assortis
Biscuits chocolat et éclats d'amandes
Et pour terminer le tout, du thé à profusion !
Selon mon livre Apéros et Mini-bouchées de Marabout, il faut calculer 12-14 bouchées par convive lors d'un cocktail dînatoire qui tient lieu de repas. Nous étions 7 et nous avons consommé environ 20 bouchées chacun sans compter les crudités, les charcuteries et les desserts. Je dirais donc qu'il est préférable de viser 15-20 bouchées par convive et d'ajouter des petits à-côtés (fromages, charcuterie, fruits, etc.) pour que tout le monde mange à sa faim. Bon, j'en soupçonne quelques uns d'avoir excédé leur capacité ou d'avoir une capacité au-delà de la moyenne, hihihi !!
Voici donc le menu que j'ai choisi. Je publierai les recettes manquantes au cours des prochains jours.
À l'accueil :
Seabreeze
Au repas :
Accras de morue servis avec sauce chien (environ 25)
Champignons farcis au fromage, bacon et noix de grenoble (3 paquets de champignons)
Mini scones au fromage (1/2 recette)
Crudités avec trempette aux fines herbes et trempette à l'oignon français
Saucisson aux champignons forestiers et rillette de porc (le tout de chez Cochon cent façons)
Petits choux à l'indienne (environ 30)
Canapés au fromage de chèvre et poivron grillé (environ 15)
Au dessert :
Chocolats assortis
Biscuits chocolat et éclats d'amandes
Et pour terminer le tout, du thé à profusion !
Selon mon livre Apéros et Mini-bouchées de Marabout, il faut calculer 12-14 bouchées par convive lors d'un cocktail dînatoire qui tient lieu de repas. Nous étions 7 et nous avons consommé environ 20 bouchées chacun sans compter les crudités, les charcuteries et les desserts. Je dirais donc qu'il est préférable de viser 15-20 bouchées par convive et d'ajouter des petits à-côtés (fromages, charcuterie, fruits, etc.) pour que tout le monde mange à sa faim. Bon, j'en soupçonne quelques uns d'avoir excédé leur capacité ou d'avoir une capacité au-delà de la moyenne, hihihi !!
samedi 25 décembre 2010
Lait de poule pimpé
Si vous êtes comme moi, vous n'avez pas beaucoup de temps libre dans le temps des fêtes. J'avais quand même le goût de boire du lait de poule !!! N'ayant pas le temps de le préparer moi-même, je dois avouer que j'en ai acheté une pinte à l'épicerie. J'ai toutefois décidé de le transformer en vraie gâterie en y ajoutant du rhum et de la crème fouettée. Mmmmm... En rentrant d'une journée passée dehors, ya rien de mieux !
Lait de poule maison ou du commerce
Rhum ambré
Crème fouettée non sucrée
Muscade (ou autre chose pour décorer)
Fouetter la crème jusqu'à la consistance désirée. Réserver.
Chauffer le lait de poule. Verser dans des tasses, ajouter du rhum au goût et garnir de crème fouettée. Saupoudrer de muscade fraîchement râpée. Déguster bien chaud.
NOTE : N'hésitez pas à diluer votre lait de poule avec du lait régulier avant de le chauffer s'il est trop sucré !
Lait de poule maison ou du commerce
Rhum ambré
Crème fouettée non sucrée
Muscade (ou autre chose pour décorer)
Fouetter la crème jusqu'à la consistance désirée. Réserver.
Chauffer le lait de poule. Verser dans des tasses, ajouter du rhum au goût et garnir de crème fouettée. Saupoudrer de muscade fraîchement râpée. Déguster bien chaud.
NOTE : N'hésitez pas à diluer votre lait de poule avec du lait régulier avant de le chauffer s'il est trop sucré !
vendredi 24 décembre 2010
Joyeux Noël !
Ce matin, Mystic m'a fait un beau cadeau de Noël : il m'a laissé prendre une photo de lui dans une position drôle sans se sauver. C'est qu'il a peur de son ombre le pauvre Mystic !! J'en ai donc profité pour trafiquer légèrement la photo pour le temps des fêtes.
Je me joins donc à Mystic pour vous souhaiter un Joyeux Noël, un bon réveillon plein de bonne bouffe en bonne compagnie et beaucoup de bonheur !
Je me joins donc à Mystic pour vous souhaiter un Joyeux Noël, un bon réveillon plein de bonne bouffe en bonne compagnie et beaucoup de bonheur !
jeudi 23 décembre 2010
Chocolats 2010 - la suite
Voilà, mes essais culinaires en matière de chocolaterie ont été réalisés. Pour mes saveurs exotiques, j'ai opté pour les mariages suivants : chocolat noir et huile d'olive, framboise et thé vert, curry-coco et chocolat fumé piquant. Je dois avouer être très impressionnée par curry-coco et par le chocolat fumé, malgré que j'ai rencontré certaines difficultés avec la ganache au curry. En effet, elle s'est séparée, j'ai rechauffé (doucement car c'est une ganache au beurre) puis rajouté du chocolat fondu. J'ai presque réussi à la rattraper mais la texture est un peu mottonneuse. Selon mes livres, il aurait fallu que j'y incorpore du sirop de maïs légèrement chauffé pour favoriser l'émulsion. Je le saurai pour la prochaine fois !
Le chocolat fumé est très spécial. Il faut d'abord dire que je suis une fan finie de tout ce qui est fumé. Sachant que l'agencement de saveur chocolat-bacon existait déjà, je me suis dit qu'on pourrait très bien faire un chocolat fumé. Mais je ne me suis pas arrêtée là... J'ai décidé d'y ajouter une touche de piquant (cayenne) et de saupoudrer le tout de fleur de sel. Ça donne un genre de chocolat "texan", style BBQ si on veut. C'est très intéressant. Et ça l'est encore plus lorsqu'on goûte le chocolat car ce sont le sel et la fumée qui apparaissent en premier et le goût de piquant n'apparaît que plusieurs secondes plus tard et très doucement, malgré la quantité de cayenne que j'ai mis.
Je publierai certaines des recettes plus tard. Là je vais aller me reposer un peu, ça fait 10 jours en ligne que je ne fais que du chocolat !
Le chocolat fumé est très spécial. Il faut d'abord dire que je suis une fan finie de tout ce qui est fumé. Sachant que l'agencement de saveur chocolat-bacon existait déjà, je me suis dit qu'on pourrait très bien faire un chocolat fumé. Mais je ne me suis pas arrêtée là... J'ai décidé d'y ajouter une touche de piquant (cayenne) et de saupoudrer le tout de fleur de sel. Ça donne un genre de chocolat "texan", style BBQ si on veut. C'est très intéressant. Et ça l'est encore plus lorsqu'on goûte le chocolat car ce sont le sel et la fumée qui apparaissent en premier et le goût de piquant n'apparaît que plusieurs secondes plus tard et très doucement, malgré la quantité de cayenne que j'ai mis.
Je publierai certaines des recettes plus tard. Là je vais aller me reposer un peu, ça fait 10 jours en ligne que je ne fais que du chocolat !
lundi 20 décembre 2010
Chocolats 2010
Pour la deuxième année consécutive, j'ai vendu des chocolats à mon entourage. L'année dernière, j'étais partie en folie et j'avais fait 24 saveurs. Cette année, j'ai été plus conservatrice et seulement six saveurs étaient dédiées à la vente. De plus, je me suis équipée d'une tempéreuse et de matériel professionnel, ce qui m'a permis de dormir durant le mois de décembre en comparaison à l'an dernier !
J'ai choisi les saveurs en fonction des commentaires que j'ai eu l'année dernière. J'ai donc refait des grands favoris cette année et j'ai aussi créé de nouvelles recettes. Ma sélection 2010 est donc composée de truffes au Grand Marnier et à l'orange confite, de chocolats au praliné noisette croustillant, de chocolats au caramel au beurre salé et aux pacanes surmontés d'une pacane pralinée, de truffes au pain d'épice, de truffes au café et de chocolats au gianduja de macadam.
Ces chocolats étant destinés à la vente, j'ai opté pour des saveurs relativement classiques mais j'ai des plans pour tester des saveurs plus originales dans le courant de la semaine prochaine. À suivre...
J'ai choisi les saveurs en fonction des commentaires que j'ai eu l'année dernière. J'ai donc refait des grands favoris cette année et j'ai aussi créé de nouvelles recettes. Ma sélection 2010 est donc composée de truffes au Grand Marnier et à l'orange confite, de chocolats au praliné noisette croustillant, de chocolats au caramel au beurre salé et aux pacanes surmontés d'une pacane pralinée, de truffes au pain d'épice, de truffes au café et de chocolats au gianduja de macadam.
Ces chocolats étant destinés à la vente, j'ai opté pour des saveurs relativement classiques mais j'ai des plans pour tester des saveurs plus originales dans le courant de la semaine prochaine. À suivre...
samedi 18 décembre 2010
Comment vont les chats ?
Il me semble que ça fait longtemps que je n'ai pas donné de nouvelles des chats ! Ceci dit, ils vont très bien. J'ai un nouveau venu depuis le mois de septembre, Jean Valjean, un chat noir gigantesque et ultra affectueux qui rôdait dans les parages cet été. Étant donné qu'il a un excellent caractère envers mes chats, j'ai décidé de l'adopter. Il a beaucoup d'énergie et met de la vie chez moi en faisant des embuscades aux autres chats. Par contre, il ne faut surtout pas qu'un chat étranger s'approche car il est très territorial !
Puce et Gros Chat, que j'ai adoptés au printemps dernier, vont très bien aussi. Ils étaient plutôt mal en point à leur arrivée mais ils se sont vite replacés. Un peu de nourriture et beaucoup d'affection, c'est tout ce qu'un chat a besoin. Et parfois quelques visite chez le vétérinaire, mais ça fait partie de la réalité quand on trouve des chats abandonnés. Puce est une chatte constamment en manque d'attention. Elle va en chercher partout, autant auprès de moi qu'auprès des autres chats. Elle dort d'ailleurs en boule avec tous les autres et adore "l'interlavage". Elle est aussi complètement addict à l'herbe à chat.
Gros Chat est plutôt coquin, aime bien la bataille (pour jouer !) et s'en donne à coeur joie avec les coups de patte puisqu'il n'a pas de griffes aux pattes de devant. Il se permet donc de donner des coups sur le nez des autres chats sachant très bien qu'il ne les blessera pas. Il a des crises d'affection intense et bave à grosses gouttes quand il est heureux. C'est de loin le plus social de mes chats avec les humains. Les invités apprécient généralement sa présence autant pour sa personnalité que pour sa belle couleur orangée.
Vous vous demandez c'est comment d'avoir autant de chats (j'en ai 5 présentement) ? Eh bien c'est plutôt tranquille. Ils jouent dehors le jour quand la température le permet et dorment tranquillement la nuit jusqu'à l'heure de mon réveil. Il ne faut toutefois pas espérer faire la grasse matinée car les chats ont un cadran interne assez précis ! Sinon, ils ne sont pas dérangeants, ne font pas de dégâts et il n'y a pas de bataille. La belle vie quoi !
Jean Valjean et Puce sont toujours les premiers à aller au lit à l'heure du dodo et ils attendent gentiment que je vienne les rejoindre
Puce et Gros Chat, que j'ai adoptés au printemps dernier, vont très bien aussi. Ils étaient plutôt mal en point à leur arrivée mais ils se sont vite replacés. Un peu de nourriture et beaucoup d'affection, c'est tout ce qu'un chat a besoin. Et parfois quelques visite chez le vétérinaire, mais ça fait partie de la réalité quand on trouve des chats abandonnés. Puce est une chatte constamment en manque d'attention. Elle va en chercher partout, autant auprès de moi qu'auprès des autres chats. Elle dort d'ailleurs en boule avec tous les autres et adore "l'interlavage". Elle est aussi complètement addict à l'herbe à chat.
Gros Chat est plutôt coquin, aime bien la bataille (pour jouer !) et s'en donne à coeur joie avec les coups de patte puisqu'il n'a pas de griffes aux pattes de devant. Il se permet donc de donner des coups sur le nez des autres chats sachant très bien qu'il ne les blessera pas. Il a des crises d'affection intense et bave à grosses gouttes quand il est heureux. C'est de loin le plus social de mes chats avec les humains. Les invités apprécient généralement sa présence autant pour sa personnalité que pour sa belle couleur orangée.
Puce a constamment besoin de la présence et de l'attention des autres et n'hésite pas à se coucher sur eux s'il n'y a pas assez de place à son goût
Vous vous demandez c'est comment d'avoir autant de chats (j'en ai 5 présentement) ? Eh bien c'est plutôt tranquille. Ils jouent dehors le jour quand la température le permet et dorment tranquillement la nuit jusqu'à l'heure de mon réveil. Il ne faut toutefois pas espérer faire la grasse matinée car les chats ont un cadran interne assez précis ! Sinon, ils ne sont pas dérangeants, ne font pas de dégâts et il n'y a pas de bataille. La belle vie quoi !
jeudi 16 décembre 2010
Rôti de porc façon charcutière
J'avais envie de cuisiner mon rôti de porc de chez Cochon cent façons simplement. Pas de sauce, pas de flafla, pas de garniture. Et de préférence une recette polyvalente. J'ai trouvé exactement ce que je cherchais chez Isa.
J'ai modifié légèrement la recette puisque je ne suis pas ultra fan des carottes dans le bouillon (je trouve que ça goûte trop) et je n'avais pas de céleri. Aussi, je voulais éviter de mettre des épices trop fort (comme le thym) mais je voulais beaucoup d'ail.
Au final, on obtient un beau rôti qui a une belle texture, qui n'est pas sec et qui a un léger goût de bouillon. En plus, c'est parfait pour les lunchs car c'est délicieux en sandwich ou en salade.
Voici donc ma version simplifiée du rôti de porc façon charcutière !
4-6 portions
1 rôti de porc de 1.5 lb ficelé et non bardé
Huile et beurre en quantité égale
Sel et poivre au goût
Court bouillon :
5 tasses d'eau
1 oignon coupé en quatre
4 gousses d'ail écrasées
2 feuilles de laurier
2 cuillères à thé de gros sel
1/2 tasse de vin blanc
Faire revenir le rôti de porc dans le mélange d'huile et de beurre jusqu'à ce qu'il soit doré de toutes les côtés. Saler et poivrer. Emballer serré dans un coton fromage et attacher les deux bouts avec de la ficelle. Réserver.
Dans un grand chaudron, mélanger tous les ingrédients du court bouillon. Porter à ébullition puis ajouter le rôti. Couvrir et mijoter 1h à feu doux.
Retirer le chaudron du feu et laisser refroidir le rôti dans son bouillon pendant environ 4-5 heures. Déballer le rôti, l'assécher et le trancher. On peut le servir accompagné d'une salade, en sandwich, dans un buffet, etc.
J'ai modifié légèrement la recette puisque je ne suis pas ultra fan des carottes dans le bouillon (je trouve que ça goûte trop) et je n'avais pas de céleri. Aussi, je voulais éviter de mettre des épices trop fort (comme le thym) mais je voulais beaucoup d'ail.
Au final, on obtient un beau rôti qui a une belle texture, qui n'est pas sec et qui a un léger goût de bouillon. En plus, c'est parfait pour les lunchs car c'est délicieux en sandwich ou en salade.
Voici donc ma version simplifiée du rôti de porc façon charcutière !
4-6 portions
1 rôti de porc de 1.5 lb ficelé et non bardé
Huile et beurre en quantité égale
Sel et poivre au goût
Court bouillon :
5 tasses d'eau
1 oignon coupé en quatre
4 gousses d'ail écrasées
2 feuilles de laurier
2 cuillères à thé de gros sel
1/2 tasse de vin blanc
Faire revenir le rôti de porc dans le mélange d'huile et de beurre jusqu'à ce qu'il soit doré de toutes les côtés. Saler et poivrer. Emballer serré dans un coton fromage et attacher les deux bouts avec de la ficelle. Réserver.
Dans un grand chaudron, mélanger tous les ingrédients du court bouillon. Porter à ébullition puis ajouter le rôti. Couvrir et mijoter 1h à feu doux.
Retirer le chaudron du feu et laisser refroidir le rôti dans son bouillon pendant environ 4-5 heures. Déballer le rôti, l'assécher et le trancher. On peut le servir accompagné d'une salade, en sandwich, dans un buffet, etc.
mardi 14 décembre 2010
Oeufs florentine
Dans le cadre des défis Daring Cooks, ce mois-ci nous devions réaliser une recette à base d'oeufs pochés. Comme j'avais des épinards qui étaient en train de mourir au frigo, j'ai décidé de faire des oeufs florentine.
Je prépare donc tous mes ingrédients : je fais cuire les épinards, je fais griller le fromage sur les muffins anglais, je commence à pocher mes oeufs, je mesure les ingrédients pour la sauce... Puisque je vis seule je ne voulais pas me taper une recette de sauce hollandaise, finir avec des restants que je n'aurais pas mangé donc j'ai décidé d'utiliser un restant de sauce hollandaise en poudre (quelle paresseuse je fais...). Je disais donc : je mesure les ingrédients pour la sauce... Au fait, elle est pas un peu trop foncée cette poudre ?? Ah ben non, une fois mélangée au beurre et à l'eau, ça devrait pâlir. Petit problème : ça ne pâlit pas une fois mélangé. Je mets quand même le tout au micro-ondes, je m'occupe d'un chat pendant quelques secondes à peine et puis j'ouvre le micro-ondes pour découvrir que la sauce a débordé partout et qu'elle est de couleur caramel... Bref, tant pis pour la sauce !!
Mais dites donc, des oeufs florentine sans sauce, est-ce encore des oeufs florentine ? Eh bien j'ai décidé que OUI et que ma recette est la version santé des oeufs florentine habituels. Le jaune des oeufs tiendra lieu de sauce, et voilà. Et vous savez quoi ? Eh bien ça fonctionne et c'est vraiment délicieux. Donc libre à vous de mettre la sauce ou pas, mais ne vous privez pas pour faire la recette si vous n'avez pas la sauce !
1 portion
1 muffin anglais
2 oeufs
75g d'épinards, environ
Fromage Monterey jack (ou autre) en quantité suffisante
Sel et poivre au goût
Sauce hollandaise, si désiré
Cuire les épinards dans un petit fond d'eau. Bien égoutter en pressant et réserver.
Pendant ce temps, déposer les deux moitiés du muffin anglais dans une assiette et garnir de fromage. Mettre au four à BROIL sur le dernier étage pendant quelques minutes, jusqu'à ce que le fromage soit doré. Réserver au chaud (dans le bas du four éteint pour moi).
Pendant ce temps, pocher les oeufs dans un petit chaudron d'eau frémissante additionnée d'un peu de vinaigre. Il est bien important que l'eau ne bouille pas à gros bouillons sinon le blanc d'oeuf va foutre le camp. Pour pocher les oeufs, j'ai utilisé un tout petit chaudron où je pochais un oeuf à la fois. On casse les oeufs un à la fois dans un petit bol en s'assurant de ne pas crever le jaune puis on glisse d'oeuf dans l'eau frémissante doucement. Cuire les oeufs environ 3 minutes et retirer à l'aide d'une cuillère à trous. Éviter de surcuire si on fait la recette sans sauce hollandaise puisque le jaune agira en tant que sauce dans ce cas.
Procéder au montage. Disposer les épinards sur les muffins anglais gratinés. Placer ensuite les oeufs, saler et poivrer. Déguster immédiatement, avec ou sans sauce hollandaise !
Je prépare donc tous mes ingrédients : je fais cuire les épinards, je fais griller le fromage sur les muffins anglais, je commence à pocher mes oeufs, je mesure les ingrédients pour la sauce... Puisque je vis seule je ne voulais pas me taper une recette de sauce hollandaise, finir avec des restants que je n'aurais pas mangé donc j'ai décidé d'utiliser un restant de sauce hollandaise en poudre (quelle paresseuse je fais...). Je disais donc : je mesure les ingrédients pour la sauce... Au fait, elle est pas un peu trop foncée cette poudre ?? Ah ben non, une fois mélangée au beurre et à l'eau, ça devrait pâlir. Petit problème : ça ne pâlit pas une fois mélangé. Je mets quand même le tout au micro-ondes, je m'occupe d'un chat pendant quelques secondes à peine et puis j'ouvre le micro-ondes pour découvrir que la sauce a débordé partout et qu'elle est de couleur caramel... Bref, tant pis pour la sauce !!
Mais dites donc, des oeufs florentine sans sauce, est-ce encore des oeufs florentine ? Eh bien j'ai décidé que OUI et que ma recette est la version santé des oeufs florentine habituels. Le jaune des oeufs tiendra lieu de sauce, et voilà. Et vous savez quoi ? Eh bien ça fonctionne et c'est vraiment délicieux. Donc libre à vous de mettre la sauce ou pas, mais ne vous privez pas pour faire la recette si vous n'avez pas la sauce !
1 portion
1 muffin anglais
2 oeufs
75g d'épinards, environ
Fromage Monterey jack (ou autre) en quantité suffisante
Sel et poivre au goût
Sauce hollandaise, si désiré
Cuire les épinards dans un petit fond d'eau. Bien égoutter en pressant et réserver.
Pendant ce temps, déposer les deux moitiés du muffin anglais dans une assiette et garnir de fromage. Mettre au four à BROIL sur le dernier étage pendant quelques minutes, jusqu'à ce que le fromage soit doré. Réserver au chaud (dans le bas du four éteint pour moi).
Pendant ce temps, pocher les oeufs dans un petit chaudron d'eau frémissante additionnée d'un peu de vinaigre. Il est bien important que l'eau ne bouille pas à gros bouillons sinon le blanc d'oeuf va foutre le camp. Pour pocher les oeufs, j'ai utilisé un tout petit chaudron où je pochais un oeuf à la fois. On casse les oeufs un à la fois dans un petit bol en s'assurant de ne pas crever le jaune puis on glisse d'oeuf dans l'eau frémissante doucement. Cuire les oeufs environ 3 minutes et retirer à l'aide d'une cuillère à trous. Éviter de surcuire si on fait la recette sans sauce hollandaise puisque le jaune agira en tant que sauce dans ce cas.
Procéder au montage. Disposer les épinards sur les muffins anglais gratinés. Placer ensuite les oeufs, saler et poivrer. Déguster immédiatement, avec ou sans sauce hollandaise !
dimanche 12 décembre 2010
Truffes au Grand Marnier et à l'orange confite
Ça y est, la saison des chocolats bat son plein chez moi. Aujourd'hui j'ai fait les chocolats caramel et pacanes ainsi que ces truffes au Grand Marnier et à l'orange confite. C'est absolument délicieux. La texture de la ganache est parfaite, tout simplement. On dirait manger un nuage alcoolisé à l'orange.
Étant donné la quantité de chocolats que je fais, je travaille mes truffes à la poche à douille, ce qui me sauve énormément de temps. Je vous conseille aussi cette technique... à condition que vous sachiez manier la poche à douille ! Assurez-vous d'avoir une poche résistante puisqu'on travaille la ganache alors qu'elle commence à figer (j'utilise celle en polyuréthane de 53 cm) et une douille de taille adaptée (Ateco 806, la même que pour les macarons). Lorsque vous douillez les truffes, placez-vous à environ 1 à 2 cm au-dessus de la plaque pour obtenir de belles truffes rondes. Si vous êtes trop près de la plaque, les truffes s'écraseront en sortant de la poche ; si vous êtes trop haut, elles tomberont n'importe comment par gravité.
L'alcool contenu dans cette ganache en augmente la durée de vie. Pour les conserver encore plus longtemps, trempez vos truffes dans du chocolat tempéré. Ceci permettra de couper le contact avec l'air et ralentira la détérioration de la ganache. Une fois trempées, les truffes se conservent à la température de la pièce - mais loin des sources de chaleur - 3 à 4 semaines (peut-être plus... mais résisterez-vous ?).
100 truffes d'environ 7.25g chacune
180g de crème 35%
60g de sirop de maïs clair
430g de chocolat noir 64% en pistoles ou haché
20g de beurre température pièce
45g de Grand Marnier
60g d'oranges confites
Pour tremper les truffes :
425g de chocolat noir 64% de couverture tempéré
Chocolat blanc fondu pour décorer
Mélanger la crème et le sirop de maïs dans un petit chaudron. Porter au point d'ébullition. Retirer du feu et verser sur le chocolat. Laisser reposer 1 minute puis mélanger jusqu'à ce que le chocolat soit bien fondu. Chauffer légèrement au bain-marie au besoin. Le mélange devrait être tiède, tout au plus.
Ajouter le beurre et brasser doucement jusqu'à ce qu'il soit bien incorporé. Ajouter le Grand Marnier et bien mélanger jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène. Incorporer finalement les oranges confites hachées très finement.
Laisser reposer en brassant de façon sporadique jusqu'à ce que la ganache commence à prendre (au moins 1h sur le comptoir). Lorsque la texture de la ganache n'est ni trop molle ni trop dure (trop molle elle coulera de la poche à douille, trop dure elle n'en sortira pas), remplir une poche à douille garnie d'une douille Ateco 806 et façonner les truffes sur une plaque chemisée d'un papier ciré.
Si vous désirez rouler les truffes :
Laisser reposer les truffes jusqu'à ce qu'il soit possible de les manipuler facilement. Rouler dans la paume des mains puis rouler dans une garniture au choix (cacao, noix hachées, etc.). Conserver dans un contenant hermétique. On peut les garder au frigo pour augmenter leur durée de vie.
Si vous désirez tremper les truffes :
Laisser reposer les truffes à température ambiante pendant 24h recouvertes d'une pellicule plastique. Le lendemain, tempérer le chocolat de couverture et plonger une à une les truffes dans le chocolat tempéré à l'aide d'une fourchette à tremper puis les déposer sur une plaque recouverte d'une feuille de papier ciré propre. Laisser prendre le chocolat (quelques minutes sur le comptoir), faire des lignes de chocolat blanc fondu (j'utilise un petit ziploc avec le coin coupé), laisser prendre à nouveau, puis conserver dans une boîte hermétique à température ambiante pendant 3-4 semaines (PAS AU FRIGO).
Étant donné la quantité de chocolats que je fais, je travaille mes truffes à la poche à douille, ce qui me sauve énormément de temps. Je vous conseille aussi cette technique... à condition que vous sachiez manier la poche à douille ! Assurez-vous d'avoir une poche résistante puisqu'on travaille la ganache alors qu'elle commence à figer (j'utilise celle en polyuréthane de 53 cm) et une douille de taille adaptée (Ateco 806, la même que pour les macarons). Lorsque vous douillez les truffes, placez-vous à environ 1 à 2 cm au-dessus de la plaque pour obtenir de belles truffes rondes. Si vous êtes trop près de la plaque, les truffes s'écraseront en sortant de la poche ; si vous êtes trop haut, elles tomberont n'importe comment par gravité.
L'alcool contenu dans cette ganache en augmente la durée de vie. Pour les conserver encore plus longtemps, trempez vos truffes dans du chocolat tempéré. Ceci permettra de couper le contact avec l'air et ralentira la détérioration de la ganache. Une fois trempées, les truffes se conservent à la température de la pièce - mais loin des sources de chaleur - 3 à 4 semaines (peut-être plus... mais résisterez-vous ?).
100 truffes d'environ 7.25g chacune
180g de crème 35%
60g de sirop de maïs clair
430g de chocolat noir 64% en pistoles ou haché
20g de beurre température pièce
45g de Grand Marnier
60g d'oranges confites
Pour tremper les truffes :
425g de chocolat noir 64% de couverture tempéré
Chocolat blanc fondu pour décorer
Mélanger la crème et le sirop de maïs dans un petit chaudron. Porter au point d'ébullition. Retirer du feu et verser sur le chocolat. Laisser reposer 1 minute puis mélanger jusqu'à ce que le chocolat soit bien fondu. Chauffer légèrement au bain-marie au besoin. Le mélange devrait être tiède, tout au plus.
Ajouter le beurre et brasser doucement jusqu'à ce qu'il soit bien incorporé. Ajouter le Grand Marnier et bien mélanger jusqu'à l'obtention d'un mélange homogène. Incorporer finalement les oranges confites hachées très finement.
Laisser reposer en brassant de façon sporadique jusqu'à ce que la ganache commence à prendre (au moins 1h sur le comptoir). Lorsque la texture de la ganache n'est ni trop molle ni trop dure (trop molle elle coulera de la poche à douille, trop dure elle n'en sortira pas), remplir une poche à douille garnie d'une douille Ateco 806 et façonner les truffes sur une plaque chemisée d'un papier ciré.
Si vous désirez rouler les truffes :
Laisser reposer les truffes jusqu'à ce qu'il soit possible de les manipuler facilement. Rouler dans la paume des mains puis rouler dans une garniture au choix (cacao, noix hachées, etc.). Conserver dans un contenant hermétique. On peut les garder au frigo pour augmenter leur durée de vie.
Si vous désirez tremper les truffes :
Laisser reposer les truffes à température ambiante pendant 24h recouvertes d'une pellicule plastique. Le lendemain, tempérer le chocolat de couverture et plonger une à une les truffes dans le chocolat tempéré à l'aide d'une fourchette à tremper puis les déposer sur une plaque recouverte d'une feuille de papier ciré propre. Laisser prendre le chocolat (quelques minutes sur le comptoir), faire des lignes de chocolat blanc fondu (j'utilise un petit ziploc avec le coin coupé), laisser prendre à nouveau, puis conserver dans une boîte hermétique à température ambiante pendant 3-4 semaines (PAS AU FRIGO).
jeudi 9 décembre 2010
Côtelettes de porc en croûte d'épices
Je commence à écouler mon stock de porc de chez Cochon cent façons. J'ai mangé plus tôt cette semaine leur pain de viande (vraiment délicieux !!) et j'essaie ce soir leurs côtelettes. J'ai choisi une recette très simple qui provient du site web du Porc du Québec. Ils proposaient de servir le tout avec un tartare d'avocat et de tomates séchées mais j'ai préféré refaire ma salsa mangue et avocat puisque c'est trop bon.
Le résultat est très bon mais à mon avis, il y a trop de graines de coriandre. On dirait que ça laisse un petit goût de savon en bouche. La prochaine fois, je mettrais deux fois moins de graines de coriandre et deux fois plus de graines de moutarde, ça devrait bien rebalancer le tout.
Et vous savez quoi ? En écrivant ce message, je me suis dit "avocat et tomates séchées, ça me dit quelque chose...". Figurez-vous que j'ai choisi l'exacte même recette pour apprêter un filet de porc en 2007, au début de mon blog. Comme quoi plus ça change, plus c'est pareil !!
Oh, et si vous vous demandez ce qu'est la drôle de couleur sous les épices, c'est ma moutarde. Elle est aux fines herbes et donc de couleur verte.
4 portions
4 côtelettes de porc désossées (1 lb)
1 cuillère à soupe de graines de moutarde (2 la prochaine fois)
1 cuillère à soupe de poivre en grains
2 cuillères à soupe de graines de coriandre (1 la prochaine fois)
Sel au goût
2 cuillères à soupe de moutarde de Dijon
1 recette de salsa mangue et avocat
Préparer la salsa. Réserver.
Dans un bol à fond plat, mélanger le sel et les épices. Badigeonner chaque côtelette d'un peu de moutarde (un seul côté) et tremper le côté badigeonné dans les épices. Cuire au BBQ ou dans une poêle bien chaude environ 4 minutes de chaque côté ou jusqu'à doré. Servir avec la salsa.
Le résultat est très bon mais à mon avis, il y a trop de graines de coriandre. On dirait que ça laisse un petit goût de savon en bouche. La prochaine fois, je mettrais deux fois moins de graines de coriandre et deux fois plus de graines de moutarde, ça devrait bien rebalancer le tout.
Et vous savez quoi ? En écrivant ce message, je me suis dit "avocat et tomates séchées, ça me dit quelque chose...". Figurez-vous que j'ai choisi l'exacte même recette pour apprêter un filet de porc en 2007, au début de mon blog. Comme quoi plus ça change, plus c'est pareil !!
Oh, et si vous vous demandez ce qu'est la drôle de couleur sous les épices, c'est ma moutarde. Elle est aux fines herbes et donc de couleur verte.
4 portions
4 côtelettes de porc désossées (1 lb)
1 cuillère à soupe de graines de moutarde (2 la prochaine fois)
1 cuillère à soupe de poivre en grains
2 cuillères à soupe de graines de coriandre (1 la prochaine fois)
Sel au goût
2 cuillères à soupe de moutarde de Dijon
1 recette de salsa mangue et avocat
Préparer la salsa. Réserver.
Dans un bol à fond plat, mélanger le sel et les épices. Badigeonner chaque côtelette d'un peu de moutarde (un seul côté) et tremper le côté badigeonné dans les épices. Cuire au BBQ ou dans une poêle bien chaude environ 4 minutes de chaque côté ou jusqu'à doré. Servir avec la salsa.
mardi 7 décembre 2010
Quesadillas de poulet à la salsa de mangue et d'avocat
Décidément, mangue et avocat font bon ménage chez moi. Je me suis inspirée pour cette recette d'un mélange de plusieurs recettes de mon nouveau livre de cuisine mexicaine Mexicali Rose mais honnêtement, c'est une recette que j'aurais pu faire n'importe quand. En effet, j'ai remarqué que mon blog contient déjà plusieurs recettes à base de mangue et d'avocat telles que les bouchées au crabe, ou la salade de poulet. Je marie aussi souvent l'un ou l'autre de ces ingrédients avec la coriandre comme dans le tartare de saumon et pamplemousse, le tartare de saumon mangue et coriandre, ou le ceviche de pétoncles. Enfin, tout ça pour dire que tôt ou tard, j'allais faire cette recette de quesadillas. Toutes les saveurs qu'on y retrouve se complètent à merveille. Il faut dire qu'à mon avis, les recettes d'inspiration mexicaine sont la plupart du temps bien balancées entre le frais, l'acide, le moelleux, le piquant, les couleurs... Et si vous arrivez à mettre la main sur des vrais tortillas de maïs, alors là vous êtes au 7eme ciel.
2 portions
8 petits tortillas de maïs (environ 6 pouces de diamètre)
2 poitrines de poulet
Fromage Monterey Jack en quantité suffisante
Salsa medium en quantité suffisante
Crème sûre au goût
Salsa
1 grosse mangue rouge bien mûre
1 avocat mûri à point
Une bonne poignée de coriandre fraîche
Un trait de jus de lime
Sel et poivre
Dans un chaudron d'eau bouillante, faire bouillir les poitrines de poulet environ 15-20 minutes à feu moyen. Réserver.
Préparer la salsa. Couper l'avocat et la mangue en petits cubes, ajouter la coriandre ciselée, le jus de lime, le sel et le poivre. Bien mélanger. Réserver.
Dans une poêle, déposer quatre tortillas (procéder en plusieurs fois au besoin, selon la taille de la poêle). Garnir de fromage, de poulet et de salsa puis recouvrir des quatre autres tortillas. Frire dans l'huile quelques minutes de chaque côté jusqu'à doré.
Déposer les quesadillas dans une assiette. Garnir d'une généreuse portion de crème sûre et de salsa. Servir.
2 portions
8 petits tortillas de maïs (environ 6 pouces de diamètre)
2 poitrines de poulet
Fromage Monterey Jack en quantité suffisante
Salsa medium en quantité suffisante
Crème sûre au goût
Salsa
1 grosse mangue rouge bien mûre
1 avocat mûri à point
Une bonne poignée de coriandre fraîche
Un trait de jus de lime
Sel et poivre
Dans un chaudron d'eau bouillante, faire bouillir les poitrines de poulet environ 15-20 minutes à feu moyen. Réserver.
Préparer la salsa. Couper l'avocat et la mangue en petits cubes, ajouter la coriandre ciselée, le jus de lime, le sel et le poivre. Bien mélanger. Réserver.
Dans une poêle, déposer quatre tortillas (procéder en plusieurs fois au besoin, selon la taille de la poêle). Garnir de fromage, de poulet et de salsa puis recouvrir des quatre autres tortillas. Frire dans l'huile quelques minutes de chaque côté jusqu'à doré.
Déposer les quesadillas dans une assiette. Garnir d'une généreuse portion de crème sûre et de salsa. Servir.
dimanche 5 décembre 2010
Soupe de courge butternut rôtie au curry
J'essaie ce soir une première recette de mon nouveau livre de cuisine de Ina Garten Back to Basics. J'avais tout ce qu'il fallait pour réaliser cette belle soupe automnale (même si c'est pas mal déjà l'hiver...) bien réconfortante. C'est une soupe ultra veloutée et bien dosée sur tous les plans : sucré/salé, mou/croquant, classique/exotique. Si j'avais à l'améliorer, je la garnirais d'une petite mousse de crème de coco fouettée mais ce serait vraiment juste pour la forme car je la trouve parfaite.
2-3 portions
1 petite courge butternut de 1 1/2 lb, pelée, épépinée
1 oignon jaune
1 pomme McIntosh pelée, évidée
Huile d'olive en quantité suffisante
Sel et poivre au goût
2 tasses de bouillon de poulet, environ
1/4 cuillère à thé de poudre de curry
Garniture :
Oignons verts hachés
Noix de coco sucrée grillée
Cajous rôtis salés, grillés et hachés
Banane en petits dés
Couper la courge, la pomme et l'oignon en dés d'environ un pouce. Mélanger avec l'huile, le sel et le poivre et disposer sur une plaque allant au four. Cuire à 425°F pendant environ 40 minutes, jusqu'à bien rôti. Réserver.
Chauffer le bouillon de poulet. Au mélangeur, réduire les légumes en purée avec le curry en ajoutant la quantité nécessaire de bouillon pour obtenir la texture désirée. Remettre dans le chaudron et garder au chaud.
Servir bien chaud et garnir avec les condiments.
2-3 portions
1 petite courge butternut de 1 1/2 lb, pelée, épépinée
1 oignon jaune
1 pomme McIntosh pelée, évidée
Huile d'olive en quantité suffisante
Sel et poivre au goût
2 tasses de bouillon de poulet, environ
1/4 cuillère à thé de poudre de curry
Garniture :
Oignons verts hachés
Noix de coco sucrée grillée
Cajous rôtis salés, grillés et hachés
Banane en petits dés
Couper la courge, la pomme et l'oignon en dés d'environ un pouce. Mélanger avec l'huile, le sel et le poivre et disposer sur une plaque allant au four. Cuire à 425°F pendant environ 40 minutes, jusqu'à bien rôti. Réserver.
Chauffer le bouillon de poulet. Au mélangeur, réduire les légumes en purée avec le curry en ajoutant la quantité nécessaire de bouillon pour obtenir la texture désirée. Remettre dans le chaudron et garder au chaud.
Servir bien chaud et garnir avec les condiments.
vendredi 3 décembre 2010
Cochon cent façons fait encore des siennes !
Je vous ai déjà parlé de Cochon cent façons, une ferme porcine située près de chez moi. Non seulement ils ont une gamme de saveurs de saucisses absolument délicieuses, ils font la meilleure rillette de porc et ils font même maintenant du boudin blanc (pour mon plus grand plaisir !), mais ils ont une super promotion "Boîte de variétés".
Je vous explique le concept. Vous payez 50$ et vous recevez une boîte qui contient plus de 70$ de viande, le tout sous vide et congelé. C'est pas beau la vie ? Je vais en manger du cochon !!! Et sans aucune crainte en plus car ils élèvent leurs bêtes pour obtenir une viande naturelle et de qualité.
Dans ma boîte, j'ai reçu :
- Côtelettes de porc désossées : 1 lb
- Escalopes de porc : 1 lb
- Soc de porc avec os : 3 lb
- Côtes levées : 1/2 kg
- Pain de viande : 1 kg
- Rôti de côtes désossé : 1.5 lb
- Bacon : 1.5 lb (2x 3/4 lb)
- Porc haché : 1 kg (2x 1/2 kg)
- Saucisses aux canneberges : 1/2 lb
- Saucisses à la Bock de Joliette : 1/2 lb
- Saucisses moutarde et miel : 1/2 lb
En tout et partout, ça revient à 3.33$/lb tout confondu pour de la bonne viande québécoise engraissée sans farine animale et sans hormones !
Ça vous intéresse ? Le comptoir de vente est situé à St-Jacques de Montcalm dans Lanaudière, à mi-chemin entre Joliette et Rawdon. Il faut commander les boîtes au moins 1 semaine d'avance.
Je vous explique le concept. Vous payez 50$ et vous recevez une boîte qui contient plus de 70$ de viande, le tout sous vide et congelé. C'est pas beau la vie ? Je vais en manger du cochon !!! Et sans aucune crainte en plus car ils élèvent leurs bêtes pour obtenir une viande naturelle et de qualité.
Dans ma boîte, j'ai reçu :
- Côtelettes de porc désossées : 1 lb
- Escalopes de porc : 1 lb
- Soc de porc avec os : 3 lb
- Côtes levées : 1/2 kg
- Pain de viande : 1 kg
- Rôti de côtes désossé : 1.5 lb
- Bacon : 1.5 lb (2x 3/4 lb)
- Porc haché : 1 kg (2x 1/2 kg)
- Saucisses aux canneberges : 1/2 lb
- Saucisses à la Bock de Joliette : 1/2 lb
- Saucisses moutarde et miel : 1/2 lb
En tout et partout, ça revient à 3.33$/lb tout confondu pour de la bonne viande québécoise engraissée sans farine animale et sans hormones !
Ça vous intéresse ? Le comptoir de vente est situé à St-Jacques de Montcalm dans Lanaudière, à mi-chemin entre Joliette et Rawdon. Il faut commander les boîtes au moins 1 semaine d'avance.
mardi 30 novembre 2010
Patates Fingerling à l'ail et au romarin
Pour accompagner le fameux poulet aux 40 gousses d'ail, quoi de mieux que des bonnes patates rôties, elles aussi à l'ail. Les patates Fingerling sont absolument merveilleuses. Elles sont petites et faites en long (comme des doigts) et ont une belle texture ferme une fois cuites. Elles sont parfaites pour cette recette. Le résultat final est délicieux, comme savent l'être à peu près toutes les patates rôties ! Le truc : ne pas brasser trop souvent, pour obtenir une belle croûte dorée et craquante.
C'est une recette de Coup de pouce.
4 portions
1 lb de patates Fingerling non pelées
Huile de canola en quantité suffisante (mon huile de cuisson du poulet pour moi)
4 gousses d'ail hachées
1 cuillère à thé de romarin séché
Sel et poivre au goût
Bouillir les patates jusqu'à ce qu'elles soient cuites. Égoutter et laisser tiédir.
Trancher en biseau ou dans le sens de la longueur (selon la taille des patates). Faire rôtir dans l'huile avec l'ail, le sel, le poivre et le romarin en brassant le moins souvent possible pour que les patates soient bien dorées. Servir.
C'est une recette de Coup de pouce.
4 portions
1 lb de patates Fingerling non pelées
Huile de canola en quantité suffisante (mon huile de cuisson du poulet pour moi)
4 gousses d'ail hachées
1 cuillère à thé de romarin séché
Sel et poivre au goût
Bouillir les patates jusqu'à ce qu'elles soient cuites. Égoutter et laisser tiédir.
Trancher en biseau ou dans le sens de la longueur (selon la taille des patates). Faire rôtir dans l'huile avec l'ail, le sel, le poivre et le romarin en brassant le moins souvent possible pour que les patates soient bien dorées. Servir.
dimanche 28 novembre 2010
Poulet aux 40 gousses d'ail
Dans le cadre de notre dîner thématique mensuel ayant l'ail pour thème, je ne pouvais pas passer à côté de cette incontournable recette que je vois passer régulièrement sur le web. J'ai choisi la version présentée chez Passion Cuisine.
Pour ceux qui seraient rebutés par la quantité astronomique d'ail (pas moi, j'adore l'ail !), ne vous inquiétez pas, l'ail ne goûte pas fort du tout au final étant donné qu'il est confit pendant la cuisson, le rendant ainsi tartinable. Nous avons décidé de l'écraser sur notre poulet mais on aurait tout aussi bien pu le servir avec du pain grillé et beurré.
Ce poulet n'est pas le meilleur que j'ai mangé de ma vie, mais il est quand même bon et assez tendre. C'est un repas plutôt facile à préparer, ce qui en fait un bon choix un soir de semaine.
4-5 portions
1 poulet en morceaux (2 cuisses + poitrine entière)
Huile de canola en quantité suffisante
Sel et poivre
40 gousses d'ail non pelées
375 mL de vin blanc
1 cuillère à thé de thym séché
1 cuillère à thé de romarin séché
1 cuillère à thé de cerfeuil séché
Faire revenir le poulet dans l'huile dans une grande poêle jusqu'à ce qu'il soit doré de tous les côtés. Saler et poivrer. Attention, l'huile explose partout au contact du jus de poulet ! Réserver le poulet dans une rôtissoire.
Dans la même poêle, jeter les gousses d'ail et cuire quelques minutes, jusqu'à ce que l'ail commence à dorer. Déposer dans la rôtissoire autour du poulet. Ajouter le reste des ingrédients et cuire au four à 350°F pendant 45 minutes ou jusqu'à ce que le poulet soit cuit (vérifier à l'aide d'un thermomètre à viande).
Servir le poulet avec les gousses d'ail. Presser les gousses pour en retirer l'ail confit et l'écraser sur le poulet.
Pour ceux qui seraient rebutés par la quantité astronomique d'ail (pas moi, j'adore l'ail !), ne vous inquiétez pas, l'ail ne goûte pas fort du tout au final étant donné qu'il est confit pendant la cuisson, le rendant ainsi tartinable. Nous avons décidé de l'écraser sur notre poulet mais on aurait tout aussi bien pu le servir avec du pain grillé et beurré.
Ce poulet n'est pas le meilleur que j'ai mangé de ma vie, mais il est quand même bon et assez tendre. C'est un repas plutôt facile à préparer, ce qui en fait un bon choix un soir de semaine.
4-5 portions
1 poulet en morceaux (2 cuisses + poitrine entière)
Huile de canola en quantité suffisante
Sel et poivre
40 gousses d'ail non pelées
375 mL de vin blanc
1 cuillère à thé de thym séché
1 cuillère à thé de romarin séché
1 cuillère à thé de cerfeuil séché
Faire revenir le poulet dans l'huile dans une grande poêle jusqu'à ce qu'il soit doré de tous les côtés. Saler et poivrer. Attention, l'huile explose partout au contact du jus de poulet ! Réserver le poulet dans une rôtissoire.
Dans la même poêle, jeter les gousses d'ail et cuire quelques minutes, jusqu'à ce que l'ail commence à dorer. Déposer dans la rôtissoire autour du poulet. Ajouter le reste des ingrédients et cuire au four à 350°F pendant 45 minutes ou jusqu'à ce que le poulet soit cuit (vérifier à l'aide d'un thermomètre à viande).
Servir le poulet avec les gousses d'ail. Presser les gousses pour en retirer l'ail confit et l'écraser sur le poulet.
jeudi 25 novembre 2010
Visite gourmande à Toronto
En visite à Toronto pour des raisons professionnelles, j'ai décidé de rallonger mon séjour de quelques heures pour visiter la ville. Avant de partir, je me suis informée sur ce qu'il y avait à voir. J'ai donc mis à mon itinéraire le Cookbook Store, le quartier coréen, le St-Lawrence Market et le Distillery District. Je dirais que ces attractions ont scoré une partie nulle en tout et partout puisque j'ai apprécié deux endroits et été déçue de deux autres endroits.
Cookbook Store
Imaginez une boutique où on ne vend que des livres de cuisine. Maintenant, marchez sur la rue Yonge dans Yorkville à Toronto et entrez dans cette boutique fantastique ! Ce n'est pas très grand, certes, mais les murs sont remplis du plancher au plafond de livres de cuisine. Et il y en a pour tous les goûts ! Sections ethniques, végétarienne, boulangerie, grill, etc. Ce jour-là, la dame venait de recevoir énormément de boîtes de livres et c'était un peu le bordel. D'ailleurs, j'ai dû lui demander de tasser toute une pile de boîtes pour accéder aux livres de recettes mexicaines. Heureusement qu'un des livres me plaisait sinon je me serais sentie mal de l'avoir fait travailler pour rien !!
Je m'en suis sortie pas trop mal avec deux beaux livres qui contiennent plein de recettes qui semblent meilleures les unes que les autres : Back to Basics de Ina Garten (mieux connue sous le nom de Barefoot Contessa à Foodnetwork) et Mexicali Rose (cuisine mexicaine authentique) de Lori Horton. Je vous en redonne des nouvelles !
Quartier coréen
À environ 15 minutes à pied de mon hôtel se trouve le quartier coréen de Toronto. Je me suis dit qu'il serait intéressant d'aller y faire un tour et d'en apprendre un peu plus sur la culture coréenne. Malheureusement, le temps et la lumière m'ont manqué et le quartier n'était constitué presque uniquement que de restaurants et d'épicerie. Puisque j'avais un souper prévu, je n'ai pas mangé quoi que ce soit et puisque je devais rentrer en avion chez moi, je n'ai pas été dans les épiceries (je ne veux pas prendre de chance étant donné tout ce qu'on n'a plus le droit de mettre dans nos bagages de nos jours...). La seule chose que j'ai aimée : le tigre illuminé !
St-Lawrence Market
Quand j'ai entendu parler du St-Lawrence Market, j'ai tout de suite pensé au marché Jean-Talon. Je me suis dit que je ne devais pas rater ça ! Après mon meeting du mardi matin, je me suis donc dirigée tout droit au marché. Ce marché comporte deux étages et une foule de marchands. Par contre, je dirais que la moitié des marchands sont des boucher ou des poissonniers. Il y a quelques boulangeries (rien à envier à Première moisson ni au Pain doré), 2-3 boutiques de cuisine minuscules et des vendeux de cossins. En fait, ça ressemblait plutôt à un mélange en le marché Atwater et un marché aux puces intérieur. Déception... La seule chose qui a attiré mon attention était la boutique de cuisine qui vendait des centaines d'emporte-pièces !! Montréal n'a vraiment rien à envier à Toronto de ce côté-là.
Distillery District
Alors là, chapeau ! Quel beau coin ! Ce secteur de la ville était auparavant constitué de distilleries. Avec le temps, les industries ont été désaffectées et la ville a décidé de rénover le tout et de le transformer en quartier artistique et gastronomique. On y trouve des bistros, pâtisseries, chocolateries et cuisineries en plus de plusieurs oeuvres d'art gigantesques et vraiment intéressantes ainsi que des galleries d'art. C'est un coin avec beaucoup de cachet puisque les anciens édifices ont été en partie conservés. Les allées sont uniquement piétonnes et entièrement pavées de briques rouges, tout comme les murs extérieurs.
Je me suis arrêtée chez Soma, une chocolaterie qui fait aussi des gelatos. J'y ai dégusté un chocolat à l'huile d'olive (très bon), un chocolat au beurre noisette (correct) et un chocolat au vinaigre balsamique (j'ai cherché le goût balsamique en vain). J'ai accompagné le tout d'un chocolat chaud maya épicé absolument délicieux.
Cookbook Store
Imaginez une boutique où on ne vend que des livres de cuisine. Maintenant, marchez sur la rue Yonge dans Yorkville à Toronto et entrez dans cette boutique fantastique ! Ce n'est pas très grand, certes, mais les murs sont remplis du plancher au plafond de livres de cuisine. Et il y en a pour tous les goûts ! Sections ethniques, végétarienne, boulangerie, grill, etc. Ce jour-là, la dame venait de recevoir énormément de boîtes de livres et c'était un peu le bordel. D'ailleurs, j'ai dû lui demander de tasser toute une pile de boîtes pour accéder aux livres de recettes mexicaines. Heureusement qu'un des livres me plaisait sinon je me serais sentie mal de l'avoir fait travailler pour rien !!
Je m'en suis sortie pas trop mal avec deux beaux livres qui contiennent plein de recettes qui semblent meilleures les unes que les autres : Back to Basics de Ina Garten (mieux connue sous le nom de Barefoot Contessa à Foodnetwork) et Mexicali Rose (cuisine mexicaine authentique) de Lori Horton. Je vous en redonne des nouvelles !
Quartier coréen
À environ 15 minutes à pied de mon hôtel se trouve le quartier coréen de Toronto. Je me suis dit qu'il serait intéressant d'aller y faire un tour et d'en apprendre un peu plus sur la culture coréenne. Malheureusement, le temps et la lumière m'ont manqué et le quartier n'était constitué presque uniquement que de restaurants et d'épicerie. Puisque j'avais un souper prévu, je n'ai pas mangé quoi que ce soit et puisque je devais rentrer en avion chez moi, je n'ai pas été dans les épiceries (je ne veux pas prendre de chance étant donné tout ce qu'on n'a plus le droit de mettre dans nos bagages de nos jours...). La seule chose que j'ai aimée : le tigre illuminé !
St-Lawrence Market
Quand j'ai entendu parler du St-Lawrence Market, j'ai tout de suite pensé au marché Jean-Talon. Je me suis dit que je ne devais pas rater ça ! Après mon meeting du mardi matin, je me suis donc dirigée tout droit au marché. Ce marché comporte deux étages et une foule de marchands. Par contre, je dirais que la moitié des marchands sont des boucher ou des poissonniers. Il y a quelques boulangeries (rien à envier à Première moisson ni au Pain doré), 2-3 boutiques de cuisine minuscules et des vendeux de cossins. En fait, ça ressemblait plutôt à un mélange en le marché Atwater et un marché aux puces intérieur. Déception... La seule chose qui a attiré mon attention était la boutique de cuisine qui vendait des centaines d'emporte-pièces !! Montréal n'a vraiment rien à envier à Toronto de ce côté-là.
Distillery District
Alors là, chapeau ! Quel beau coin ! Ce secteur de la ville était auparavant constitué de distilleries. Avec le temps, les industries ont été désaffectées et la ville a décidé de rénover le tout et de le transformer en quartier artistique et gastronomique. On y trouve des bistros, pâtisseries, chocolateries et cuisineries en plus de plusieurs oeuvres d'art gigantesques et vraiment intéressantes ainsi que des galleries d'art. C'est un coin avec beaucoup de cachet puisque les anciens édifices ont été en partie conservés. Les allées sont uniquement piétonnes et entièrement pavées de briques rouges, tout comme les murs extérieurs.
Je me suis arrêtée chez Soma, une chocolaterie qui fait aussi des gelatos. J'y ai dégusté un chocolat à l'huile d'olive (très bon), un chocolat au beurre noisette (correct) et un chocolat au vinaigre balsamique (j'ai cherché le goût balsamique en vain). J'ai accompagné le tout d'un chocolat chaud maya épicé absolument délicieux.
mercredi 24 novembre 2010
Morue à la tomate et à la coriandre
La morue est à mon avis un excellent poisson, autant par son goût doux que par sa belle texture grossièrement floconneuse. C'est un poisson maigre, riche en oméga 3 et qui contient un ratio de protéines élevé. Je la cuisine souvent en fish and chips, mais ce soir j'avais envie de quelque chose de plus frais avec de la coriandre fraîche et de la tomate. J'ai trouvé une recette qui faisait bien mon affaire sur food.com. Ce plat de poisson est absolument parfait... quand il n'y a pas d'arêtes dans vos filets !
1 portion
1 filet de morue d'environ 150g
1/4 tasse de panko
Sel et poivre au goût
1/8 cuillère à thé d'ail en poudre
1/4 cuillère à thé d'oignon en flocons
Une pincée de cerfeuil
Une pincée de flocons de piment fort
Huile de canola
Garniture :
1/2 tomate en petits dés
1 oignon vert haché finement
Coriandre fraîche au goût, ciselée
1 trait de jus de lime
1 trait d'huile d'olive
Mettre le poisson sur une plaque allant au four. Mélanger ensemble les ingrédients secs puis garnir le dessus du poisson. Arroser d'un peu d'huile de canola. Cuire au four à 350°F pendant environ 10 minutes, jusqu'à ce que le poisson soit cuit.
Pendant ce temps, mélanger les ingrédients humides (garniture). Réserver.
Garnir le poisson du mélange de tomates et servir immédiatement.
1 portion
1 filet de morue d'environ 150g
1/4 tasse de panko
Sel et poivre au goût
1/8 cuillère à thé d'ail en poudre
1/4 cuillère à thé d'oignon en flocons
Une pincée de cerfeuil
Une pincée de flocons de piment fort
Huile de canola
Garniture :
1/2 tomate en petits dés
1 oignon vert haché finement
Coriandre fraîche au goût, ciselée
1 trait de jus de lime
1 trait d'huile d'olive
Mettre le poisson sur une plaque allant au four. Mélanger ensemble les ingrédients secs puis garnir le dessus du poisson. Arroser d'un peu d'huile de canola. Cuire au four à 350°F pendant environ 10 minutes, jusqu'à ce que le poisson soit cuit.
Pendant ce temps, mélanger les ingrédients humides (garniture). Réserver.
Garnir le poisson du mélange de tomates et servir immédiatement.
samedi 20 novembre 2010
Cocottes, verrines et compagnie
Ce vendredi 19 novembre, j'ai été invitée à participer à un événement à la Guilde Culinaire. Dans le cadre du lancement de son nouveau livre Recettes mini pour mini cocottes, le chef José Maréchal nous recevait dans une ambiance décontractée pour une démonstration et une dégustation de cocottes et verrines.
José Maréchal, originaire du Nord de la France, est passionné de cuisine. Il possède son propre café à Paris, le Café Noir. On le connait aussi pour les nombreux livres de cuisine qu'il a publié chez Marabout et qui portent principalement sur les verrines, les cocottes et les cuillères.
La soirée, fort sympathique, a commencé avec de petites cuillères au fenouil et à l'orange. Elle s'est poursuivie par une présentation du chef qui a par la suite réalisé pour nous deux variations sur le même thème (saumon frais et ricotta), une version en verrine et une version en ballotin servi en cocotte froide.
Nous avons ensuite eu la chance d'expérimenter nous mêmes les verrines. Un peu de saumon frais et de mangue assaisonnés de menthe, coriandre, sel, poivre, citron et huile d'olive. On intercale le tout d'un mélange de ricotta au curry et on décore d'arachides et de petites pousses. On discute de la méthode de manipulation de la fameuse poche à douille, on prend quelques photos et on se rue pour manger le fruit de notre travail ! Mmmm...
La présentation s'est terminée avec une superbe et délicieuse verrine dessert où on empile crème glacée à la vanille, fruits frais, smoothie fraise-banane, crème fouettée, chocolat et banane caramélisée. Qui aurait cru qu'il était possible de mettre autant de choses dans une petite verrine ?
José Maréchal nous a démontré qu'il est très simple de faire de jolies verrines et cocottes en deux temps trois mouvements. Il sera au salon du livre de Montréal du 19 au 21 novembre si vous désirez le rencontrer ou vous procurer ses livres.
José Maréchal, originaire du Nord de la France, est passionné de cuisine. Il possède son propre café à Paris, le Café Noir. On le connait aussi pour les nombreux livres de cuisine qu'il a publié chez Marabout et qui portent principalement sur les verrines, les cocottes et les cuillères.
La soirée, fort sympathique, a commencé avec de petites cuillères au fenouil et à l'orange. Elle s'est poursuivie par une présentation du chef qui a par la suite réalisé pour nous deux variations sur le même thème (saumon frais et ricotta), une version en verrine et une version en ballotin servi en cocotte froide.
Nous avons ensuite eu la chance d'expérimenter nous mêmes les verrines. Un peu de saumon frais et de mangue assaisonnés de menthe, coriandre, sel, poivre, citron et huile d'olive. On intercale le tout d'un mélange de ricotta au curry et on décore d'arachides et de petites pousses. On discute de la méthode de manipulation de la fameuse poche à douille, on prend quelques photos et on se rue pour manger le fruit de notre travail ! Mmmm...
La présentation s'est terminée avec une superbe et délicieuse verrine dessert où on empile crème glacée à la vanille, fruits frais, smoothie fraise-banane, crème fouettée, chocolat et banane caramélisée. Qui aurait cru qu'il était possible de mettre autant de choses dans une petite verrine ?
José Maréchal nous a démontré qu'il est très simple de faire de jolies verrines et cocottes en deux temps trois mouvements. Il sera au salon du livre de Montréal du 19 au 21 novembre si vous désirez le rencontrer ou vous procurer ses livres.
dimanche 14 novembre 2010
Soufflés au chocolat et aux framboises
Ce mois-ci avec les Daring cooks, nous devions faire un soufflé ! Nous avions le choix entre sucré ou salé, mais, semble-t-il, la version chocolat était plus facile à réaliser et c'est donc pour celle-ci que j'ai opté.
Je n'avais jamais fait de soufflé et comme vous tous, j'ai entendu toutes les horreurs à ce sujet (ça ne lève pas ou encore ça lève et ça désouffle). Et c'est ce qui m'est arrivé, misère... J'aurais voulu des soufflés bien hauts qui montent indéfiniment (!!) à la verticale mais la réalité était toute autre. D'abord, je trouve qu'ils n'ont pas assez gonflé à mon goût, mais que sais-je, je n'en ai jamais fait auparavant. Par contre, je peux vous assurer qu'ils ont dégonflé en moins d'une minute (si si, top chrono !). J'avais prévu le coup. J'ai sorti les soufflés du four d'une main et j'avais l'appareil photo dans l'autre main pour les immortaliser lorsqu'ils seraient à leur apogée !
Bon, somme toute, ils ne sont pas très spectaculaires ces soufflés. Mais une chose est sûre : ils sont bons. Non seulement je n'avais jamais fait de soufflés mais je n'en avais jamais goûté non plus. La texture est exactement à mi chemin entre un gâteau et une mousse. C'est très spécial. Dès la première bouchée, j'ai compris pourquoi la version fromage est un classique parmi les soufflés : cette texture serait tout simplement parfaite avec un goût de fromage et quelques fines herbes. J'imagine déjà une version au chèvre... C'est à suivre !
4 portions
1 cuillère à soupe de farine
1 cuillère à thé de sucre
1/4 cuillère à thé de fécule de maïs
2 jaunes d'oeuf
3 cuillères à soupe de crème 5%
1/4 tasse de framboises surgelées
45g de chocolat noir 64%
1 cuillère à soupe de cacao
3 blancs d'oeufs
3 cuillères à soupe de sucre
Beurre et cacao additionnel pour les ramequins
Beurrer 4 ramequins pouvant contenir environ 1 tasse, puis saupoudrer l'intérieur et les côtés de cacao. Renverser les ramequins à l'envers pour enlever l'excès de cacao. Réserver.
Dans un bol moyen, mélanger la farine, la cuillère à thé de sucre et la fécule. Dans un autre bol, battre les jaunes d'oeufs. Ajouter la moitié du mélange de farine puis mélanger jusqu'à obtenir une pâte. Incorporer le reste du mélange de farine et le cacao. Réserver.
Dans un petit chaudron, chauffer la crème et les framboises jusqu'à ébullition en écrasant bien les framboises avec une fourchette. Retirer du feu puis incorporer le chocolat et brasser jusqu'à ce qu'il soit fondu. Incorporer peu à peu ce mélange dans le mélange de jaune d'oeufs. Réserver.
Battre les blancs d'oeufs en neige jusqu'à l'obtention de pics mous. Ajouter le sucre et battre jusqu'à l'obtention de pics fermes. Incorporer un peu des blancs dans le mélange au chocolat en pliant délicatement. Verser ce mélange dans le bol contenant les blancs puis plier jusqu'à obtenir un mélange homogène.
Déposer de grosses cuillérées du mélange dans les ramequins en les remplissant environ au 2/3. Lisser le dessus avec le dos de la cuillère. Cuire au four à 375°F pendant 15-17 minutes sans ouvrir la porte du four.
Servir immédiatement.
Je n'avais jamais fait de soufflé et comme vous tous, j'ai entendu toutes les horreurs à ce sujet (ça ne lève pas ou encore ça lève et ça désouffle). Et c'est ce qui m'est arrivé, misère... J'aurais voulu des soufflés bien hauts qui montent indéfiniment (!!) à la verticale mais la réalité était toute autre. D'abord, je trouve qu'ils n'ont pas assez gonflé à mon goût, mais que sais-je, je n'en ai jamais fait auparavant. Par contre, je peux vous assurer qu'ils ont dégonflé en moins d'une minute (si si, top chrono !). J'avais prévu le coup. J'ai sorti les soufflés du four d'une main et j'avais l'appareil photo dans l'autre main pour les immortaliser lorsqu'ils seraient à leur apogée !
Bon, somme toute, ils ne sont pas très spectaculaires ces soufflés. Mais une chose est sûre : ils sont bons. Non seulement je n'avais jamais fait de soufflés mais je n'en avais jamais goûté non plus. La texture est exactement à mi chemin entre un gâteau et une mousse. C'est très spécial. Dès la première bouchée, j'ai compris pourquoi la version fromage est un classique parmi les soufflés : cette texture serait tout simplement parfaite avec un goût de fromage et quelques fines herbes. J'imagine déjà une version au chèvre... C'est à suivre !
4 portions
1 cuillère à soupe de farine
1 cuillère à thé de sucre
1/4 cuillère à thé de fécule de maïs
2 jaunes d'oeuf
3 cuillères à soupe de crème 5%
1/4 tasse de framboises surgelées
45g de chocolat noir 64%
1 cuillère à soupe de cacao
3 blancs d'oeufs
3 cuillères à soupe de sucre
Beurre et cacao additionnel pour les ramequins
Beurrer 4 ramequins pouvant contenir environ 1 tasse, puis saupoudrer l'intérieur et les côtés de cacao. Renverser les ramequins à l'envers pour enlever l'excès de cacao. Réserver.
Dans un bol moyen, mélanger la farine, la cuillère à thé de sucre et la fécule. Dans un autre bol, battre les jaunes d'oeufs. Ajouter la moitié du mélange de farine puis mélanger jusqu'à obtenir une pâte. Incorporer le reste du mélange de farine et le cacao. Réserver.
Dans un petit chaudron, chauffer la crème et les framboises jusqu'à ébullition en écrasant bien les framboises avec une fourchette. Retirer du feu puis incorporer le chocolat et brasser jusqu'à ce qu'il soit fondu. Incorporer peu à peu ce mélange dans le mélange de jaune d'oeufs. Réserver.
Battre les blancs d'oeufs en neige jusqu'à l'obtention de pics mous. Ajouter le sucre et battre jusqu'à l'obtention de pics fermes. Incorporer un peu des blancs dans le mélange au chocolat en pliant délicatement. Verser ce mélange dans le bol contenant les blancs puis plier jusqu'à obtenir un mélange homogène.
Déposer de grosses cuillérées du mélange dans les ramequins en les remplissant environ au 2/3. Lisser le dessus avec le dos de la cuillère. Cuire au four à 375°F pendant 15-17 minutes sans ouvrir la porte du four.
Servir immédiatement.
mercredi 10 novembre 2010
Tartes gourmandes au chocolat Oh làlà !
Lundi dernier, j'ai été invitée à une dégustation très tentante : les nouvelles tartes au chocolat Oh làlà ! de la pâtisserie Gaudet. La soirée se déroulait à la Guilde culinaire et avait pour but non seulement de nous faire découvrir les quatre saveurs de tartes mais aussi d'essayer des mariages chocolat et alcool tantôt classiques et tantôt surprenants.
Commençons par les tartes puisque je suis certaine que c'est ce qui vous intéresse réellement ! Elles se déclinent en quatre saveurs à base de chocolat : Chocolat noir, pacanes et écorces d'oranges confites, Chocolat et noisettes pralinées, Chocolat au lait, caramel et fleur de sel et Pommes, chocolat blanc et canneberges. Ce sont des tartes qui contiennent une belle quantité de garniture et dont la croûte s'approche de la texture d'un gâteau, pour mon plus grand bonheur car je ne suis pas très friande des croûtes à tarte habituelles du commerce. Et malgré mon aversion générale pour les produits préparés, je dois avouer que j'ai été très agréablement surprise par ces tartes. Je n'hésiterais pas à en servir à des invités si je n'avais moi-même pas le temps de cuisiner un dessert.
Maintenant que vous savez qu'elles sont bonnes, vous voulez savoir où vous en procurer ? Elles sont présentement disponibles chez IGA partout à travers le Québec et très prochainement chez Métro. Elles se détaillent 9,49$ chacune sauf celle aux Pommes, chocolat blanc et canneberges à 7,99$. En plus, elles arrivent juste à temps pour les Fêtes !
N'oubliez pas qu'il y avait un deuxième objectif à la soirée : marier alcool et chocolat. Chaque tarte était présentée avec deux types d'alcools différents, les mariages étant proposés par Jordan Lebel. Certains agencement étaient plus gagnants que d'autres. Un résultat plutôt surprenant et étonnamment agréable : tarte aux pommes, chocolat blanc et canneberges avec ginger ale. D'autres mariages possibles : tarte Chocolat au lait, caramel et fleur de sel avec Jack Daniel's (ça décape !) ; tarte Chocolat noir, pacanes et écorces d'oranges confites avec bière au cognac XO (étonnant !) et tarte Chocolat et noisettes pralinées avec un vin de Madère 5 ans (pour les becs sucrés !).
Après tout ça, vous vous demandez ce que j'ai préféré ? La tarte Chocolat et noisettes pralinées, bien évidemment ! Et l'alcool pour l'accompagner ? Du Frangelico, quoi de mieux !
Un gros merci à toute l'équipe, aux organisateurs et à la Guilde Culinaire pour nous avoir permis de passer une belle soirée et de découvrir un excellent nouveau produit québécois.
Commençons par les tartes puisque je suis certaine que c'est ce qui vous intéresse réellement ! Elles se déclinent en quatre saveurs à base de chocolat : Chocolat noir, pacanes et écorces d'oranges confites, Chocolat et noisettes pralinées, Chocolat au lait, caramel et fleur de sel et Pommes, chocolat blanc et canneberges. Ce sont des tartes qui contiennent une belle quantité de garniture et dont la croûte s'approche de la texture d'un gâteau, pour mon plus grand bonheur car je ne suis pas très friande des croûtes à tarte habituelles du commerce. Et malgré mon aversion générale pour les produits préparés, je dois avouer que j'ai été très agréablement surprise par ces tartes. Je n'hésiterais pas à en servir à des invités si je n'avais moi-même pas le temps de cuisiner un dessert.
Maintenant que vous savez qu'elles sont bonnes, vous voulez savoir où vous en procurer ? Elles sont présentement disponibles chez IGA partout à travers le Québec et très prochainement chez Métro. Elles se détaillent 9,49$ chacune sauf celle aux Pommes, chocolat blanc et canneberges à 7,99$. En plus, elles arrivent juste à temps pour les Fêtes !
N'oubliez pas qu'il y avait un deuxième objectif à la soirée : marier alcool et chocolat. Chaque tarte était présentée avec deux types d'alcools différents, les mariages étant proposés par Jordan Lebel. Certains agencement étaient plus gagnants que d'autres. Un résultat plutôt surprenant et étonnamment agréable : tarte aux pommes, chocolat blanc et canneberges avec ginger ale. D'autres mariages possibles : tarte Chocolat au lait, caramel et fleur de sel avec Jack Daniel's (ça décape !) ; tarte Chocolat noir, pacanes et écorces d'oranges confites avec bière au cognac XO (étonnant !) et tarte Chocolat et noisettes pralinées avec un vin de Madère 5 ans (pour les becs sucrés !).
Après tout ça, vous vous demandez ce que j'ai préféré ? La tarte Chocolat et noisettes pralinées, bien évidemment ! Et l'alcool pour l'accompagner ? Du Frangelico, quoi de mieux !
Un gros merci à toute l'équipe, aux organisateurs et à la Guilde Culinaire pour nous avoir permis de passer une belle soirée et de découvrir un excellent nouveau produit québécois.
lundi 8 novembre 2010
Soirée sushis !
Non, même pas de recette puisque je fais toujours la même. Les sushis, ça demande beaucoup de temps mais maudit que c'est bon !! Voici la liste d'ingrédients pêle-mêle :
Pétoncles
Crevettes tempura
Saumon frais
Thon kamikaze
Masago (caviar de poisson volant)
Carottes
Concombres
Oignons verts
Avocat
Ma préférence va au thon kamikaze. J'avais déjà fait la version saumon l'an dernier. Honnêtement, si je n'avais à faire qu'une sorte de sushis à l'avenir, ça serait celle-là !
Pétoncles
Crevettes tempura
Saumon frais
Thon kamikaze
Masago (caviar de poisson volant)
Carottes
Concombres
Oignons verts
Avocat
Ma préférence va au thon kamikaze. J'avais déjà fait la version saumon l'an dernier. Honnêtement, si je n'avais à faire qu'une sorte de sushis à l'avenir, ça serait celle-là !
dimanche 7 novembre 2010
Tarte banane, chocolat et beurre d'arachide
Je regardais l'émission Eat, shrink and be merry et j'ai eu une envie folle de faire leur tarte à la banane !! (Non non, je ne suis pas influençable du tout...) J'ai donc couru à l'épicerie chercher ce qui me manquait et j'ai réalisé cette tarte toute simple mais qui demande beaucoup de patience car elle doit être réfrigérée toute une nuit. Quelle torture !!
Le résultat final est une tarte assez légère de type pouding et plutôt estivale. Mais qui n'a pas besoin d'une dose de soleil alors que le temps est si gris ?
Je verrais aussi très bien une version avec une belle couche de caramel versée sur la croûte avant de mettre les bananes. Sérieusement, banane, chocolat, beurre d'arachide et caramel... on atteindrait des sommets de perfection !
8 portions
Croûte :
1 1/2 tasse de chapelure de biscuits graham
1/3 tasse de beurre d'arachide crémeux
1 blanc d'oeuf
Garniture :
1 boîte de lait évaporé (370 mL)
1 enveloppe de gélatine sans saveur
1/2 tasse de cassonnade
1/3 tasse de cacao
3 cuillères à soupe de fécule de maïs
1 1/2 tasses de crème 5%
1 oeuf
1 jaune d'oeuf
1 cuillère à thé de vanille
60g de chocolat noir 64%
3 bananes bien mûres (mais pas trop)
Préparer la croûte. Au robot culinaire, combiner tous les ingrédients jusqu'à obtenir une texture homogène. Presser au fond d'un moule à tarte de 9". Cuire au four à 350°F pendant 12 minutes. Réserver.
Pendant ce temps, préparer la garniture. Dans un petit bol, verser environ 1/4 tasse du lait évaporé et saupoudrer la gélatine dessus. Réserver.
Dans un grand chaudron, mélanger la fécule, la cassonnade et le cacao. Ajouter le reste du lait évaporé et la crème. Bien fouetter. Cuire à feu moyen en fouettant régulièrement jusqu'à ce que le mélange épaississe et bouillonne. Retirer du feu et incorporer lentement environ 1 tasse du mélange dans l'oeuf et le jaune d'oeuf en fouettant continuellement. Verser le mélange d'oeuf dans le chaudron et fouetter vigoureusement. Remettre sur le feu. Incorporer la gélatine et le chocolat et bien brasser pour le faire fondre. Retirer du feu, incorporer la vanille et laisser tiédir.
Procéder au montage. Couper les bananes en tranches épaisses (1/2 pouce) et déposer sur la croûte. Verser le mélange au chocolat et lisser. Réfrigérer environ 8h ou toute une nuit. Déguster bien frais. On peut décorer d'une touche de crème fouettée.
Le résultat final est une tarte assez légère de type pouding et plutôt estivale. Mais qui n'a pas besoin d'une dose de soleil alors que le temps est si gris ?
Je verrais aussi très bien une version avec une belle couche de caramel versée sur la croûte avant de mettre les bananes. Sérieusement, banane, chocolat, beurre d'arachide et caramel... on atteindrait des sommets de perfection !
8 portions
Croûte :
1 1/2 tasse de chapelure de biscuits graham
1/3 tasse de beurre d'arachide crémeux
1 blanc d'oeuf
Garniture :
1 boîte de lait évaporé (370 mL)
1 enveloppe de gélatine sans saveur
1/2 tasse de cassonnade
1/3 tasse de cacao
3 cuillères à soupe de fécule de maïs
1 1/2 tasses de crème 5%
1 oeuf
1 jaune d'oeuf
1 cuillère à thé de vanille
60g de chocolat noir 64%
3 bananes bien mûres (mais pas trop)
Préparer la croûte. Au robot culinaire, combiner tous les ingrédients jusqu'à obtenir une texture homogène. Presser au fond d'un moule à tarte de 9". Cuire au four à 350°F pendant 12 minutes. Réserver.
Pendant ce temps, préparer la garniture. Dans un petit bol, verser environ 1/4 tasse du lait évaporé et saupoudrer la gélatine dessus. Réserver.
Dans un grand chaudron, mélanger la fécule, la cassonnade et le cacao. Ajouter le reste du lait évaporé et la crème. Bien fouetter. Cuire à feu moyen en fouettant régulièrement jusqu'à ce que le mélange épaississe et bouillonne. Retirer du feu et incorporer lentement environ 1 tasse du mélange dans l'oeuf et le jaune d'oeuf en fouettant continuellement. Verser le mélange d'oeuf dans le chaudron et fouetter vigoureusement. Remettre sur le feu. Incorporer la gélatine et le chocolat et bien brasser pour le faire fondre. Retirer du feu, incorporer la vanille et laisser tiédir.
Procéder au montage. Couper les bananes en tranches épaisses (1/2 pouce) et déposer sur la croûte. Verser le mélange au chocolat et lisser. Réfrigérer environ 8h ou toute une nuit. Déguster bien frais. On peut décorer d'une touche de crème fouettée.
vendredi 5 novembre 2010
Twix maison
En furetant sur Tastespotting cette semaine, je suis tombée sur cette recette. C'était trop facile à faire et les Twix font partie de mes barres de chocolat préférées. Je ne pouvais pas rater cette occasion ! Le seul problème avec cette recette : la base de biscuit manque de beurre ! Je trouve qu'elle s'émiette beaucoup trop.
Je n'ai malheureusement pas eu le temps de prendre de photo étant donné mon emploi du temps cette semaine. Mais bon, de toutes façons ça n'aurait pas fait de belles photos à cause du tas de miettes que ça fait !
2 grandes plaques
Biscuit :
1/2 tasse de beurre (3/4 tasse selon moi)
1/4 tasse sucre
2 tasses de farine
2 cuillères à soupe de riz moulu (pas mis)
Caramel :
2 tasses de sucre
3/4 tasse de sirop de maïs clair (miel pour moi)
1/2 tasse de sucre
1 cuillère à thé de jus de citron
1 tasse de crème 35%
1 tasse de lait condensé sucré
1/4 cuillère à thé de fleur de sel
Fleur de sel pour saupoudrer
Chocolat :
12 oz de chocolat au lait
1/4 tasse de beurre
Préparer le biscuit. Au robot culinaire, mélanger le beurre et le sucre. Ajouter le reste des ingrédients et presser au fond de deux grands pyrex 8"x11" chemisés d'un papier parchemin. Cuire au four à 350°F pendant 22-25 minutes, jusqu'à légèrement doré. Réserver.
Pendant ce temps, préparer le caramel. Dans un grand chaudron, mélanger le sucre, le sirop de maïs, l'eau et le jus de citron. Bien mélanger puis chauffer à feu moyen-élevé sans brasser. Attention, le mélange prend beaucoup d'expansion en chauffant.
Lorsque le mélange atteint 300°F, retirer du feu. Attendre 1 minute puis incorporer la crème en brassant. Ajouter ensuite le lait condensé et le sel. Remettre sur le feu et chauffer à feu moyen en brassant continuellement jusqu'à ce que le mélange atteigne 240°F. Retirer du feu, attendre que l'ébullition cesse puis verser sur les bases de biscuit. Saupoudrer le caramel de fleur de sel. Laisser refroidir à température ambiante pendant 2 heures.
Lorsque le caramel est refroidi, préparer le chocolat. Au bain-marie, fondre le mélange de chocolat et de beurre jusqu'à homogénéité. Verser sur le caramel et lisser. Placer au réfrigérateur jusqu'à ce que le chocolat soit figé. Découper en carrés lorsque bien froid.
Je n'ai malheureusement pas eu le temps de prendre de photo étant donné mon emploi du temps cette semaine. Mais bon, de toutes façons ça n'aurait pas fait de belles photos à cause du tas de miettes que ça fait !
2 grandes plaques
Biscuit :
1/2 tasse de beurre (3/4 tasse selon moi)
1/4 tasse sucre
2 tasses de farine
2 cuillères à soupe de riz moulu (pas mis)
Caramel :
2 tasses de sucre
3/4 tasse de sirop de maïs clair (miel pour moi)
1/2 tasse de sucre
1 cuillère à thé de jus de citron
1 tasse de crème 35%
1 tasse de lait condensé sucré
1/4 cuillère à thé de fleur de sel
Fleur de sel pour saupoudrer
Chocolat :
12 oz de chocolat au lait
1/4 tasse de beurre
Préparer le biscuit. Au robot culinaire, mélanger le beurre et le sucre. Ajouter le reste des ingrédients et presser au fond de deux grands pyrex 8"x11" chemisés d'un papier parchemin. Cuire au four à 350°F pendant 22-25 minutes, jusqu'à légèrement doré. Réserver.
Pendant ce temps, préparer le caramel. Dans un grand chaudron, mélanger le sucre, le sirop de maïs, l'eau et le jus de citron. Bien mélanger puis chauffer à feu moyen-élevé sans brasser. Attention, le mélange prend beaucoup d'expansion en chauffant.
Lorsque le mélange atteint 300°F, retirer du feu. Attendre 1 minute puis incorporer la crème en brassant. Ajouter ensuite le lait condensé et le sel. Remettre sur le feu et chauffer à feu moyen en brassant continuellement jusqu'à ce que le mélange atteigne 240°F. Retirer du feu, attendre que l'ébullition cesse puis verser sur les bases de biscuit. Saupoudrer le caramel de fleur de sel. Laisser refroidir à température ambiante pendant 2 heures.
Lorsque le caramel est refroidi, préparer le chocolat. Au bain-marie, fondre le mélange de chocolat et de beurre jusqu'à homogénéité. Verser sur le caramel et lisser. Placer au réfrigérateur jusqu'à ce que le chocolat soit figé. Découper en carrés lorsque bien froid.
dimanche 31 octobre 2010
Chocolats au café et verdict de la Revolation 1
Ça y est, je l'ai testée ma fameuse tempéreuse ! Quel charme de pouvoir préparer une ganache pendant que le chocolat se tempère seul... Le seul défaut que je vois est que malgré que la machine peut contenir 1.5 lbs de chocolat tempéré, on ne peut pas mettre d'un coup 1.5 lbs de pastilles de chocolat car ça a tendance à déborder. Il faut plutôt procéder en 2 ou 3 étapes mais au final, on obtient bel et bien 1.5 lbs de chocolat une fois fondu et tempéré.
Et puis tant qu'à inaugurer ma nouvelle tempéreuse, profitons-en pour inaugurer aussi mes nouveaux moules professionnels et mon nouveau livre de recettes Making fine chocolates. Ça faisait longtemps que je voulais une bonne recette de ganache au café. Je pense que je l'ai enfin trouvée ! Ça goûte le café comme c'est pas possible et la texture est bien crémeuse. Un pur plaisir !
28 chocolats
Couverture :
1 lb de chocolat noir 64% tempéré
Pâte de café :
7g de café fraîchement moulu
84g d'eau
Ganache :
98g de chocolat au lait 38%
28g de chocolat noir 64%
56g de lait entier
14g de café fraîchement moulu
14g de sirop de maïs clair (miel pour moi, je suis à court de sirop)
28g de pâte de café
Préparer la pâte de café. Mettre le café dans un petit bol. Porter l'eau à ébullition. Dès qu'elle bout, verser sur le café. Bien mélanger. Réserver.
Note : Il y aura trop de pâte de café. On peut la conserver au frigo dans un contenant hermétique.
Préparer la ganache. Mettre les chocolats dans un bol. Réserver.
Dans un petit chaudron, mettre le lait et le café. Porter à ébullition. Dès que le mélange bout, retirer du feu et laisser infuser 2 minutes. Passer au tamis fin.
Peser 42g de ce mélange. Compléter avec de la crème 35% au besoin. Remettre dans un chaudron avec le sirop de maïs et porter à ébullition. Verser sur le chocolat et bien mélanger pour faire fondre. Terminer au bain-marie au besoin. Laisser refroidir jusqu'à 35°C puis incorporer la pâte de café. Bien mélanger pour obtenir une ganache homogène.
Mettre la ganache dans une poche à douille ou dans un sac ziploc dont on a coupé un coin.
Utiliser pour garnir des chocolats moulés.
Et puis tant qu'à inaugurer ma nouvelle tempéreuse, profitons-en pour inaugurer aussi mes nouveaux moules professionnels et mon nouveau livre de recettes Making fine chocolates. Ça faisait longtemps que je voulais une bonne recette de ganache au café. Je pense que je l'ai enfin trouvée ! Ça goûte le café comme c'est pas possible et la texture est bien crémeuse. Un pur plaisir !
28 chocolats
Couverture :
1 lb de chocolat noir 64% tempéré
Pâte de café :
7g de café fraîchement moulu
84g d'eau
Ganache :
98g de chocolat au lait 38%
28g de chocolat noir 64%
56g de lait entier
14g de café fraîchement moulu
14g de sirop de maïs clair (miel pour moi, je suis à court de sirop)
28g de pâte de café
Préparer la pâte de café. Mettre le café dans un petit bol. Porter l'eau à ébullition. Dès qu'elle bout, verser sur le café. Bien mélanger. Réserver.
Note : Il y aura trop de pâte de café. On peut la conserver au frigo dans un contenant hermétique.
Préparer la ganache. Mettre les chocolats dans un bol. Réserver.
Dans un petit chaudron, mettre le lait et le café. Porter à ébullition. Dès que le mélange bout, retirer du feu et laisser infuser 2 minutes. Passer au tamis fin.
Peser 42g de ce mélange. Compléter avec de la crème 35% au besoin. Remettre dans un chaudron avec le sirop de maïs et porter à ébullition. Verser sur le chocolat et bien mélanger pour faire fondre. Terminer au bain-marie au besoin. Laisser refroidir jusqu'à 35°C puis incorporer la pâte de café. Bien mélanger pour obtenir une ganache homogène.
Mettre la ganache dans une poche à douille ou dans un sac ziploc dont on a coupé un coin.
Utiliser pour garnir des chocolats moulés.
vendredi 29 octobre 2010
Tartines d'oignons caramélisés au Oka
Voici la dernière recette de trois hors d'oeuvres que j'ai servis la fin de semaine dernière dans le cadre d'un vins et fromages chez des amis. Cette recette prise chez Isa fut très appréciée des invités et s'est envolée assez rapidement. Les oignons n'étaient pas assez caramélisés à mon goût mais l'ensemble était effectivement très bon. Le fromage Oka est toujours un excellent choix comme fromage à gratiner !
20 tartines
1 1/2 cuillère à soupe de beurre
2 gros oignons espagnols, finement tranchés
1/2 cuillère à thé de sel
1 pomme Granny Smith, pelée, parée et finement tranchée
Poivre au goût
1 morceau de fromage Oka en petits morceaux
1 baguette tranchée
Déposer les tranches de baguette sur une grande plaque à pâtisserie et griller à BROIL quelques minutes de chaque côté. Attention de bien surveiller le tout, ça peut griller assez vite ! Réserver sur la plaque.
Dans un grand chaudron, faire revenir les oignons dans le beurre pendant quelques minutes. Incorporer la pomme, le sel et le poivre et cuire à feu moyen-doux en brassant très fréquemment jusqu'à ce que les oignons prennent une belle teinte dorée, environ 30-40 minutes. Réserver.
Déposer un peu d'oignons caramélisés sur chacune des tranches de baguette et garnir d'une tranche de Oka. Griller à BROIL pendant quelques minutes le temps que le fromage fonde et commence à dorer. Servir immédiatement.
20 tartines
1 1/2 cuillère à soupe de beurre
2 gros oignons espagnols, finement tranchés
1/2 cuillère à thé de sel
1 pomme Granny Smith, pelée, parée et finement tranchée
Poivre au goût
1 morceau de fromage Oka en petits morceaux
1 baguette tranchée
Déposer les tranches de baguette sur une grande plaque à pâtisserie et griller à BROIL quelques minutes de chaque côté. Attention de bien surveiller le tout, ça peut griller assez vite ! Réserver sur la plaque.
Dans un grand chaudron, faire revenir les oignons dans le beurre pendant quelques minutes. Incorporer la pomme, le sel et le poivre et cuire à feu moyen-doux en brassant très fréquemment jusqu'à ce que les oignons prennent une belle teinte dorée, environ 30-40 minutes. Réserver.
Déposer un peu d'oignons caramélisés sur chacune des tranches de baguette et garnir d'une tranche de Oka. Griller à BROIL pendant quelques minutes le temps que le fromage fonde et commence à dorer. Servir immédiatement.
S'abonner à :
Messages (Atom)